Catalogue
Les données montrent la vitesse du vent (en m/s) dans le canton de Genève qui a été modélisé avec le modèle climatique urbain FITNAH-3D. Les résultats sont basés sur une résolution spatiale horizontale de 10 m et sur une situation météorologique estivale autochtone (condition météorologique de rayonnement à vent faible). Ils sont valables pour la zone de résidence humaine à 2 m du sol et représentent la situation de nuit à 4:00 heures (refroidissement maximal). Le paramètre climatique est considéré à la fois dans sa caractéristique actuelle et future (y compris le changement climatique et le développement futur).
Les augmentations de température supposées pour les périodes futures se réfèrent aux résultats des scénarios climatiques pour la Suisse (CH2018). Les hausses de température correspondent au signal de changement estival moyen du scénario RCP 8.5 pour l'Ouest de la Suisse.
Le produit est constitué d'un raster par période climatique.
Période climatique:
P0: période de référence 1981-2010 ("1995")
Scénario de développement:
P1, P2 et P3: occupation des sols avec les projets qui devraient être réalisés d'ici 2035
Pour les zones hors canton, les données de base relatives à la couverture du sol ont une précision inférieure à Genève. Les arbres isolés et les surfaces d'imperméabilisation autour des bâtiments, deux facteurs qui influencent les paramètres climatiques, n'ont pas pu être intégrés au modèle d'analyse. Il s'agit dès lors de considérer les données hors canton avec prudence.
Rappel : conformément aux CGU, les informations relatives à l'analyse climatique sont sans valeur juridique.
Les données montrent la vitesse du vent (en m/s) dans le canton de Genève qui a été modélisé avec le modèle climatique urbain FITNAH-3D. Les résultats sont basés sur une résolution spatiale horizontale de 10 m et sur une situation météorologique estivale autochtone (condition météorologique de rayonnement à vent faible). Ils sont valables pour la zone de résidence humaine à 2 m du sol et représentent la situation de nuit à 4:00 heures (refroidissement maximal). Le paramètre climatique est considéré à la fois dans sa caractéristique actuelle et future (y compris le changement climatique et le développement futur).
Les augmentations de température supposées pour les périodes futures se réfèrent aux résultats des scénarios climatiques pour la Suisse (CH2018). Les hausses de température correspondent au signal de changement estival moyen du scénario RCP 8.5 pour l'Ouest de la Suisse.
Le produit est constitué d'un raster par période climatique.
Période climatique:
P1: période future 2020-2049 ("2035") -> + 1,5 °C par rapport à P0
Scénario de développement:
P1, P2 et P3: occupation des sols avec les projets qui devraient être réalisés d'ici 2035
Pour les zones hors canton, les données de base relatives à la couverture du sol ont une précision inférieure à Genève. Les arbres isolés et les surfaces d'imperméabilisation autour des bâtiments, deux facteurs qui influencent les paramètres climatiques, n'ont pas pu être intégrés au modèle d'analyse. Il s'agit dès lors de considérer les données hors canton avec prudence.
Rappel : conformément aux CGU, les informations relatives à l'analyse climatique sont sans valeur juridique.
Les données montrent la vitesse du vent (en m/s) dans le canton de Genève qui a été modélisé avec le modèle climatique urbain FITNAH-3D. Les résultats sont basés sur une résolution spatiale horizontale de 10 m et sur une situation météorologique estivale autochtone (condition météorologique de rayonnement à vent faible). Ils sont valables pour la zone de résidence humaine à 2 m du sol et représentent la situation de nuit à 4:00 heures (refroidissement maximal). Le paramètre climatique est considéré à la fois dans sa caractéristique actuelle et future (y compris le changement climatique et le développement futur).
Les augmentations de température supposées pour les périodes futures se réfèrent aux résultats des scénarios climatiques pour la Suisse (CH2018). Les hausses de température correspondent au signal de changement estival moyen du scénario RCP 8.5 pour l'Ouest de la Suisse.
Le produit est constitué d'un raster par période climatique.
Période climatique:
P2: période future 2045-2074 ("2060") -> + 2,6 °C par rapport à P0
Scénario de développement:
P1, P2 et P3: occupation des sols avec les projets qui devraient être réalisés d'ici 2035
Pour les zones hors canton, les données de base relatives à la couverture du sol ont une précision inférieure à Genève. Les arbres isolés et les surfaces d'imperméabilisation autour des bâtiments, deux facteurs qui influencent les paramètres climatiques, n'ont pas pu être intégrés au modèle d'analyse. Il s'agit dès lors de considérer les données hors canton avec prudence.
Rappel : conformément aux CGU, les informations relatives à l'analyse climatique sont sans valeur juridique.
Les données montrent la vitesse du vent (en m/s) dans le canton de Genève qui a été modélisé avec le modèle climatique urbain FITNAH-3D. Les résultats sont basés sur une résolution spatiale horizontale de 10 m et sur une situation météorologique estivale autochtone (condition météorologique de rayonnement à vent faible). Ils sont valables pour la zone de résidence humaine à 2 m du sol et représentent la situation de nuit à 4:00 heures (refroidissement maximal). Le paramètre climatique est considéré à la fois dans sa caractéristique actuelle et future (y compris le changement climatique et le développement futur).
Les augmentations de température supposées pour les périodes futures se réfèrent aux résultats des scénarios climatiques pour la Suisse (CH2018). Les hausses de température correspondent au signal de changement estival moyen du scénario RCP 8.5 pour l'Ouest de la Suisse.
Le produit est constitué d'un raster par période climatique.
Période climatique:
P3: période future 2070-2099 ("2085") -> + 4,6 °C par rapport à P0
Scénario de développement:
P1, P2 et P3: occupation des sols avec les projets qui devraient être réalisés d'ici 2035
Pour les zones hors canton, les données de base relatives à la couverture du sol ont une précision inférieure à Genève. Les arbres isolés et les surfaces d'imperméabilisation autour des bâtiments, deux facteurs qui influencent les paramètres climatiques, n'ont pas pu être intégrés au modèle d'analyse. Il s'agit dès lors de considérer les données hors canton avec prudence.
Rappel : conformément aux CGU, les informations relatives à l'analyse climatique sont sans valeur juridique.
BATIMENTS GRANGE (1896-1911)
| PolygoneLe principe de base consiste à superposer une couche récente de vecteurs sur une image d'un plan raster plus ancien et à les comparer.
La digitalisation des bâtiments Grange à été obtenue par la superposition de la couche CAD_BATIMENT_HORSOL (2004) sur le plan raster GRANGE (1896-1911) et par comparaison des objets entre eux, selon la méthode régressive, tous les bâtiments présentant la même géométrie que ceux issus de la couche CAD_BATIMENT_HORSOL ont été récupérés depuis celle-ci et ceux exprimant une différence partielle ou totale ont été digitalisés sur la base du plan raster GRANGE (1896-1911).
Les cours, sont traitées comme des objets distincts des bâtiments et ont été interprétées comme étant des espaces libres de construction à l'intérieur ou à l'extérieur des bâtiments sur une même parcelle.
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BATIMENTS SUSCEPTIBLES D'ETRE SURELEVES
Consultation par géoservices | PolygoneBâtiment susceptible d'être surélevés au sens des articles 23 et 27 de la LCI (loi 10088).
Après étude des possibilités de surélévation d'immeubles situés dans
les zones déterminées, certains bâtiment sont susceptibles de surélévation.
Les critères pris en compte pour cette détermination sont d'ordre d'ensemble architectural, de gabarit, de protection du patrimoine, de zone d'affectation du sol essentiellement.
La couche des surélévations se repose sur les informations plus précises décrites dans le guide suivant:
https://www.ge.ch/document/surelevation-immeubles-logements-methode-evaluation
Cette carte est à disposition pour indiquer une potentialité de surélévation de certains immeubles.
CADASTRE - MENSURATION (Groupe)
| ProduitRegroupement permettant d'obtenir l'ensemble des données utilisées lors de la confection du plan cadastral.
Ce groupe contient les données suivantes :
- Adresse géoréférencées à l'entrée du bâtiment cad_adresse
- Bâtiments hors-sol cad_batiment_horsol
- Bâtiments souterrains cad_batiment_sousol
- Bâtiments projetés cad_bati_projet
- Bâtiments spéciaux cad_batiment_special
- Communes genevoises cad_commune
- Couverts cad_couvert
- Vérandas cad_veranda
- Droits distincts permanents cad_ddp
- Couverture du sol domaine routier cad_domaine_routier
- Conduites de combustible, carburant, lignes HT cad_element_conduite
- Délimitation cantonale genevoise cad_limite_canton
- Marquises cad_marquise
- Couverture du sol cad_nature_sol
- Nomenclature des noms locaux, lieux-dit cad_nomenclature_noms_locaux
- Objets divers de la couverture du sol (lignes) cad_objetdivers_ligne
- Objets divers de la couverture du sol (polygones) cad_objetdivers_poly
- Parcellaire mensuration cad_parcelle_mensu
- Piscines cad_piscine
- Plans registre foncier cad_planrf
- Points limites territoriaux cad_pointfixe_bf
- Points fixes altimétriques catégories 1 et 2 cad_pointfixe_niv
- Points fixes altimétriques catégorie 3 cad_pointfixe_niv_pfa3
- Points fixes planimétriques catégorie 3 cad_pointfixe_pp
- Points fixes planimétriques catégories 1 et 2 cad_pointfixe_tri
- Points limites cad_point_limite
- Graphe de l'eau lce_graphe_eau_aggrege
- Graphe de la mobilité - Graphe ferroviaire gmo_ferroviaire
- Graphe de la mobilité -Graphe des voies officielles
gmo_graphe_voies_officielles
- Cadastre technique du sous-sol (CTSS) - Conduites diverses
ctss_divers_conduite
- Cadastre technique du sous-sol (CTSS) - Surfaces diverses
ctss_divers_surface
- Cadastre technique du sous-sol (CTSS) - Conduites de chauffage
ctss_chauffage_conduite
- Cadastre forestier ffp_cadastre_foret
État et caractéristiques des installations de combustion stationnaires (chaudières) présentes sur le territoire genevois.
Objectif:
Centralisation et mise à disposition de l'information sur les installations de combustion stationnaires (chaudières).
Ces données sont notamment utilisées dans le cadre de la planification énergétique territoriale, pour l'élaboration de concepts énergétiques territoriaux (CET). Elles pourront également servir à l'élaboration d'autres couches de données géo-référencées concernant des indicateurs énergie-territoire, notamment au niveau des sous-secteurs statistiques (GIREC).
Source:
Ces informations sont extraites de l'application ramonage du Portail Energie (base de donnée RAMONAGE).
L'exactitude des données dépend de l'information contenue dans la BD RAMONAGE, laquelle est renseignée :
- pour les installations d'une puissance inférieure à 1000 kW par les Maîtres Ramoneurs,
- pour les installations d'une puissance supérieure ou égale à 1000 kW par le service de l'air,
du bruit et des rayonnements non ionisants (SABRA), et
- pour les installations industrielles par le service de l'environnement des entreprises (SEN),
lors des mises en service et des contrôles périodiques d'émissions conformément à l'OPair.
Le suivi administratif est sous la responsabilité du SABRA pour toutes les puissances.
Précisions IMPORTANTE relatives à la qualité des données de la BD RAMONAGE :
Une partie des données de la base de données RAMONAGE ne sont plus à jour, un travail informatique est en cour afin que ces données soient mises jour d'ici mi 2016.
Le service de l'air, du bruit et des rayonnements non ionisants (SABRA) assure depuis le 2ème semestre 2012 la compétence pour le suivi administratif de l'ensemble des installations de combustion destinées au chauffage des locaux. Selon la volonté du Conseil d'Etat, la priorité du SABRA consiste à garantir que ces chaudières respectent les valeurs limites d'émission prescrites par l'ordonnance sur la protection de l'air (OPair), notamment pour ce qui est des installations situées dans les communes où la qualité de l'air n'est pas satisfaisante (les valeurs limites d'immisssion fixées par l'OPair sont dépassées) .
A ce jour, il n'existe aucun système automatique de remontée des données issues des contrôles des maîtres ramoneurs ou des entreprises de réglages pour les chaudières de puissance inférieure ou égale à 1000 kW. Certaines données relatives à ces installations de combustion sont toutefois saisies manuellement par le SABRA, notamment en cas de non-conformité depuis le second semestre 2012, et sont disponibles dans la couche SCANE_CHAUDIERE.
Le SABRA peut donc garantir l'exactitude des données uniquement pour :
les installations de combustion d'une puissance supérieure à 1000 kW, et ce quel que soit la date de leur contrôle. Le contrôle de la limitation préventive des émissions desdites chaudières est en effet assuré par le SABRA.
les installations d'une puissance inférieure ou égale à 1000 kW qui ont été déclarées non conformes par les entreprises de réglage spécialisées, agréées par le canton, qui ont dû procéder à leur réglage (sur ordre des ramoneurs) et ce depuis 2012.
Remarques concernant le type de combustible (attribut LIBELLE_COMBUSTIBLE) :
Les types: "Bois a", "Bois b", "Bois C", correspondent à la dénomination donnée dans l'annexe 5 de l'OPair:
a. le bois à l'état naturel et en morceaux, y compris son écorce, en particulier les bûches, les briquettes, les brindilles et les pives;
b. le bois à l'état naturel sous une autre forme qu'en morceaux, en particulier les granulés, le bois déchiqueté, les copeaux, la sciure, la poussière d'une ponceuse et les écorces;
c. les résidus de l'industrie du bois et de son artisanat, dans la mesure où le bois n'est pas imprégné d'un enduit ni recouvert d'un revêtement renfermant des composés organo-halogénés.
La BD RAMONAGE ayant été créée dans le but d'assurer le suivi et le contrôle des émissions dues aux installations de combustion stationnaires (chaudières), la présence de valeurs "Electricité", "Géothermie", "Solaire" est dès lors sujette à caution. Les entités qui ont ces valeurs devraient être utilisées avec beaucoup de prudence, pour plus d'information à ce sujet prendre contact avec le SABRA.
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CADASTRE VITICOLE OU VIGNOBLE
| PolygoneLe cadastre viticole délimite les périmètres en dehors desquels la culture de la vigne est interdite. Il est formé de la zone viticole protégée, de la zone viticole non protégée, des vignes hors zone viticole et des vignes non destinées à la production vinicole.
La zone viticole recense les surfaces appropriées à la culture de la vigne à des fins vinicoles. La zone viticole protégée est la partie de la zone viticole destinée à l'exploitation de la vigne, à l'exclusion de toute autre culture pérenne.
On entend par vignes situées en dehors de la zone viticole, celles sur lesquelles la production vinicole à des fins commerciales a été tolérée par la Confédération avant 1999.
Un terrain peut être classé en zone viticole uniquement si son altitude, sa déclivité et son exposition, le climat local, la nature et les conditions hydrologiques du sol sont propices à la culture de la vigne.
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 100 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 100 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 100m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 200 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les deux-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 200m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 300 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les trois-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 300m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 50 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 50 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les cinquante premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 50m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE DES TERRAINS QUATERNAIRES JUSQU'À LA MOLASSE
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne des terrains quaternaires (jusqu'à la molasse).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CARTE DES MILIEUX NATURELS DU GRAND GENEVE
| PolygoneLa carte des milieux naturels du Grand Genève constitue un volet, encore à affiner, qui sert à l'identification de l'infrastructure écologique transfrontalière. Elle complète ainsi la carte des milieux naturels du canton de Genève.
La carte résulte d'un travail de certificat de géomatique (2018) qui a compilé les données d'utilisation du sol sur le territoire (Genève, Ain, Haute-Savoie) et sur la géométrie issue des informations de SwissTopo (TLM3D) pour la partie suisse et de l'IGN (BD-Topo) pour la partie francaise. Ce premier travail d'assemblage a servi de base statistique pour l'attribution des catégories de milieux naturels à la géométrie TLM3D et BD-Topo. Les données cadastrales connues (routes, bâtiments et cours d'eau) sont ensuite incrustées.
La cartographie est présentée pour près de 542 communes (6'600 km2) et comprend 26 catégories d'utilisation du sol.
Des données satellitaires (Sentinel 2, février-octobre 2018) ont également permis de différencier certaines zones urbaines végétalisées (catégorie végétation urbaine) en réalisant un indice normalisé de végétation moyen.
Cette donnée permet d'avoir une vue d'ensemble sur tout le territoire du Grand Genève des milieux naturels et urbanisés. A partir de cela, il est possible de faire des statistiques, des projections de projets, des analyses de fragmentation ou de déplacement des espèces au travers de l'infrastructure écologique.
Les surfaces décrites et leur géométrie n'ont aucune valeur légale.
Cette donnée est issue d'une collaboration entre divers institutions (Université de Genève, Conservatoire et Jardin botaniques de la Ville de Genève, Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture, l'Etat de Genève et le Grand Genève) sous l'égide du consortium GE-21.
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