Catalogue
EMPRISE DE LA SISMIQUE 3D
| PolygoneLa carte sismiques 3D représente l'emprise en surface du volume sismiques 3D réalisé dans le cadre de la campagnes d'acquisition sismique du programme cantonal pour le développement de la géothermie à Genève (GEothermies) en 2021.
Le principe de cette méthode géophysique dite de "sismique réflexion" consiste à dresser une image acoustique du sous-sol à partir de l'enregistrement du temps et de l'intensité de retour d'un signal acoustique propagé dans le sous-sol à partir d'une source artificielle en surface, le plus souvent par le biais de camions vibreurs.
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EMPRISE DU LAC LEMAN (Complet)
| PolygoneCouche représentant le lac Léman, le Rhône et l'Arve pour production de cartes devant comporter un élément hydrographique sous forme de surface.
Constituée à partir des données de la mensuration (couverture du sol) des cantons de Genève, de Vaud et du Valais, et des données francaises de l'IGN (surface eau).
L'attribut "Nom" décrit les entités.
La mise à jour est périodique.
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EMPRISE DU LAC LEMAN (Petit-lac)
| PolygoneCouche représentant le lac Léman, le Rhône et l'Arve pour production de cartes devant comporter un élément hydrographique sous forme de surface.
Constituée à partir des données de la mensuration (couverture du sol) des cantons de Genève, de Vaud et du Valais, et des données francaises de l'IGN (surface eau).
L'attribut "Nom" décrit les entités.
La mise à jour est périodique.
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Les souterrains des anciennes fortifications (XVIe-XVIIIe siècle) ont été digitalisés sur la base de plans d'origine et de relevés anciens (XVIIIe-XXe siècle), de relevés effectués dans les années 1970 par le Service cantonal de géologie, de reconstitutions hypothétiques (Louis Blondel et Anastazja Winiger-Labuda) et de relevés réalisés dans les années 2010-2020 par la Direction de l'information du territoire, par mandat (Hydro-Geol, Archéotech) ou en collaboration avec la Brigade Recherches et Technique du Département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS).
Le plan mis ici à disposition résulte par conséquent de l'association de sources très diverses, certaines ne présentant pas une fiabilité absolue.
Néanmoins, les relevés dressés du XVIIIe siècle aux années 1970 ont été analysés, confrontés, comparés et géolocalisés, afin de proposer une hypothèse la plus probable.
Par ailleurs, faute de relevés, une partie du réseau est purement hypothétique ; son tracé résulte des logiques du plan d'ensemble et d'emprunts aux caractéristiques des ouvrages connus.
Ces distinctions sont clairement identifiées dans la table attributaire.
La connaissance des souterrains des anciennes fortifications est essentiellement celle des espaces de circulation. Les structures maconnées dans lesquelles ceux-ci s'insèrent sont en revanche très mal connues. Des photographies anciennes et des constats opérés à l'occasion de travaux permettent d'imaginer que les gaines atteignent jusqu'à deux mètres d'épaisseur (ouvrages de 4 à 5 m de largeur en tout) et peuvent se développer en hauteur quasiment jusqu'à la surface (en fonction des démolitions opérées au XIXe siècle). La couche distingue par conséquent une «emprise bâtie supposée» (2D).
Les premiers éléments de cette couche ont été rassemblés en 2021 par M. Francois Florimond Fluck, dans le cadre d'un stage organisé conjointement par la Direction de l'information du territoire et le Service de l'inventaire des monuments d'art et d'histoire. La couche publiée a été réalisée en 2022 par M. Juan Felipe Aguilera Barreto, dans le cadre d'une convention de stage passée par l'Office du patrimoine et des sites avec le Département de géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique.
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ESPACE MINIMAL DES COURS D'EAU
| PolygoneL'espace minimal est constitué à partir d'une composante liquide, solide et nature.
La composante liquide est issue de la carte indicative des dangers (CID), le couloir de crue et les zones de stockage proches du cours d'eau.
La composante solide est délimitée à partir des zones instables au bord des cours d'eau.
La composante nature est une largeur définie sur la base d'une liste d'espèces faunistiques typique du cours d'eau.
L'espace issu de la superposition des ces couches est ensuite confronté aux constructions existantes afin de le diminuer aux endroits 'perdus' pour le cours d'eau
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