Catalogue
VERANDAS
| PolygoneLa véranda (ou jardin d'hiver) est englobée dans l'emprise du bâtiment hors-sol attenant. Elle est également décrite dans cette couche de données comme un objet divers surfacique Véranda.
Les critères cumulatifs définissant une véranda sont:
- surface brute inférieur à 20 m2,
- entièrement vitrée, y compris la toiture (remontée en dur depuis le sol de 40 cm autorisée) et structure légère,
- non chauffée, avec une fermeture physique entre la véranda et l'habitation (porte-fenêtre).
En dehors de ces critères, la construction est considérée comme un agrandissement du bâtiment hors-sol attenant ou, le cas échéant, comme un bâtiment indépendant.
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VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS GRANGE (1896-1911)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS ;
- le plan Grange
- les plans de ville de l'époque (Mayer 1875 et Briquet 1915)
- l'orthophoto de 1932
- la couche de couverture du sol actuelle
- le plan Billon
L'inventaire de l'ICOMOS a été utilisé prioritairement et a permis d'identifier la majorité des espaces verts. Le plan Grange a permis de localiser certains arbres et talus, tandis que les plans de ville de l'époque (Mayer et Briquet) ont surtout facilité la localisation des alignements d'arbres. L'orthophoto de 1932 et la couche de couverture du sol actuelle ont permis la localisation des espaces arborés. Quant au plan Billon, il a confirmé la présence de jardins en vieille ville. Un avis extérieur de la part du service des espaces verts de la ville de Genève a permis de confirmer l'identification de certains objets. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
VISIBILITE DE L'ECLAIRAGE ARTIFICIEL
| RasterLa couche « Visibilité de l'éclairage artificiel » représente pour chaque pixel du territoire le nombre de sources lumineuses visibles la nuit.
Ce modèle prend en compte la topographie tridimensionnelle, un paramètre de décalage vertical par rapport au sol (1 m) et un rayon d'analyse (250 m), représentant le rayon pour lequel la lumière est considérée comme potentiellement impactante pour la faune terrestre.
Les données de base utilisées pour aboutir à ce résultat sont : images satellites jilin-1 (2021) à partir de laquelle sont obtenues les sources lumineuses, les modèles numériques de surface et de terrain de l'agglomération (2019) ainsi que les données d'éclairage public de la ville de Genève (SIG).
Cette donnée est la base de la couche dérivée « Continuum nocturne » (FFP_CONTINUUM_NOCTURNE).
Cette donnée est issue d'un travail réalisé par la Haute Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'Architecture de Genève (HEPIA) à l'institut de recherche Terre-Nature-Environnement (InTNE).
Il fait suite au travail de référence publié en collaboration avec l'Université de Genève et l'Office cantonale de l'agriculture et de la nature: https://doi.org/10.1016/j.rsase.2019.100268
Auteurs de la donnée : Laurent Huber, Jessica Ranzoni sous la supervision de Claude Fischer / HEPIA