Catalogue
La cartographie du réseau écologique genevois (REG) a été réalisée en 2004 sur la base du réseau écologique national (REN). La méthode utilisée est fondée sur une approche empirique (connaissance du territoire) basée principalement sur un traitement géomatique, très peu de vérifications de terrain ayant été faites spécifiquement pour cette première cartographie.
Le réseau écologique genevois comprend trois continuums permettant de regrouper l'essentiel des milieux naturels et semi-naturels genevois et les espèces qui y sont liées. Un continuum est un ensemble de milieux complémentaires utilisés de manière préférentielle par des groupes d'animaux et/ou de plantes ("guildes").
Pour définir les continuums, on se réfère aux besoins écologiques des espèces animales et végétales caractéristiques de chaque continuum, les "espèces guildes".
Ces guildes d'espèces comprennent à la fois des espèces rares et exigeantes (qui servent notamment à évaluer la valeur des milieux) et des espèces caractéristiques plus abondantes (qui servent surtout à évaluer la connectivité entre les sites).
Les trois continuums sont
- le continuum forestier (vert)
- le continuum aquatique (bleu)
- le continuum ouvert (jaune).
On notera que le continuum bleu regroupe les cours d'eau et les plans d'eau et marais, et le continuum jaune regroupe les milieux agricoles extensifs et les milieux prairiaux secs.
Chaque continuum contient trois types de zones distinctes :
1. les zones nodales sont les milieux les plus favorables aux espèces de la guilde, y-compris les plus exigeantes. Elles correspondent généralement à des réserves biologiques ou des zones de protection particulière.
2. les zones d'extension sont les milieux favorables à une guilde, fournissant une partie des espaces nécessaires à l'accomplissement des phases des cycles vitaux.
3. les zones complémentaires sont des zones libres d'obstacle majeur, offrant des possibilités d'échanges entre les deux premiers types de zones.
Les conflits, sont les obstacles au déplacement de chaque guilde (verte, bleue, jaune). Ils sont tout d'abord déterminés sur la base de données cartographiques (conflits potentiels), puis confirmés par des observations directes et l'avis d'experts
(conflits avérés).
Le continuum vert est la partie forestière du réseau écologique genevois (REG). Il
englobe toutes les zones forestières importantes pour la faune et la flore genevoise.
Les zones nodales sont :
les périmètres proposés pour les réserves en forêt possédant manifestement des espèces particulières.
Les zones d'extension sont :
toutes les surfaces à l'intérieur du cadastre forestier, comprise entre une ou plusieurs zones nodales et des zones complémentaires.
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La cartographie du réseau écologique genevois (REG) a été réalisée en 2004 sur la base du réseau écologique national (REN). La méthode utilisée est fondée sur une approche empirique (connaissance du territoire) basée principalement sur un traitement géomatique, très peu de vérifications de terrain ayant été faites spécifiquement pour cette première cartographie.
Le réseau écologique genevois comprend trois continuums permettant de regrouper l'essentiel des milieux naturels et semi-naturels genevois et les espèces qui y sont liées. Un continuum est un ensemble de milieux complémentaires utilisés de manière préférentielle par des groupes d'animaux et/ou de plantes ("guildes").
Pour définir les continuums, on se réfère aux besoins écologiques des espèces animales et végétales caractéristiques de chaque continuum, les "espèces guildes".
Ces guildes d'espèces comprennent à la fois des espèces rares et exigeantes (qui servent notamment à évaluer la valeur des milieux) et des espèces caractéristiques plus abondantes (qui servent surtout à évaluer la connectivité entre les sites).
Les trois continuums sont
- le continuum forestier (vert)
- le continuum aquatique (bleu)
- le continuum ouvert (jaune).
On notera que le continuum bleu regroupe les cours d'eau et les plans d'eau et marais, et le continuum jaune regroupe les milieux agricoles extensifs et les milieux prairiaux secs.
Chaque continuum contient trois types de zones distinctes :
1. les zones nodales sont les milieux les plus favorables aux espèces de la guilde, y-compris les plus exigeantes. Elles correspondent généralement à des réserves biologiques ou des zones de protection particulière.
2. les zones d'extension sont les milieux favorables à une guilde, fournissant une partie des espaces nécessaires à l'accomplissement des phases des cycles vitaux.
3. les zones complémentaires sont des zones libres d'obstacle majeur, offrant des possibilités d'échanges entre les deux premiers types de zones.
Les conflits, sont les obstacles au déplacement de chaque guilde (verte, bleue, jaune). Ils sont tout d'abord déterminés sur la base de données cartographiques (conflits potentiels), puis confirmés par des observations directes et l'avis d'experts
(conflits avérés).
Les conflits identifiés dans le continuum vert correspondent principalement à des
axes de transport.
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RELEVE DE LA LISIERE FORESTIERE
| LigneLe cadastre forestier présente de manière indicative l'étendue de la forêt au sens de la législation forestière.
Sa mise à jour s'effectue par le biais de "constats" ou de "relevés de nature forestière" lors desquels l'appartenance des boisés à la forêt est constatée et la lisière précisément relevée sur les indications de l'inspecteur cantonal des forêts.
Les "constats de nature forestière" font l'objet de publications dans la FAO et comprennent des voies de recours.
Une fois la procédure dûment terminée, la lisière précisément relevée et validée est reportée sur le présent plan. Le pourtour du cadastre forestier est adapté en conséquence. La ligne de lisière représente ainsi la lisière ayant force de chose jugée, tout en conservant son caractère dynamique.
Les relevés n'ayant pas été publiés dans la FAO ne figurent pas sur cette couche.
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RESERVES NATURELLES ET PLANS DE SITE
| PolygoneCouche présentant les différents sites naturels du Canton, bénéficiant d'une protection légale en faveur de la nature.
Ces périmètres ont été définis sur la base d'inventaires fédéraux et cantonaux ou encore de connaissances d'experts. Ils ont été validés par Arrêtés du Conseil d'Etat.
Cette couche répertorie les deux grands types de protections de sites naturels du Canton, précise les bases légales de référence ainsi que la date d'adoption du périmètre par Arrêté du Conseil d'Etat. Ces deux types de protections sont :
- Les réserves naturelles : définies sur la base du règlement sur la protection du paysage, des milieux naturels et de la flore (RPPMF, L 4 05.11).
- Les plans de sites : définies sur la base de la loi sur la protection des monuments, de la nature et des sites (LPMNS, L 4 05).
Ces deux types de protection présentent plusieurs différences notoires, les principales étant listées ci-dessous :
Réserve naturelle Plan de site
Base légale L 4 05.11 (art.18 à 21) L 4 05 (art.38 à 41)
Validation Arrêté du Conseil d'Etat Arrêté du Conseil d'Etat
Mention au OUI, dans tous les cas (art.6) Possibilité (at. 64)
Registre Foncier
Durée de validité Illimité Illimité
Accord du OUI, nécessité d'obtenir Non, soumis à enquête
propriétaire un accord signé. public, plan de site
opposable au propriétaire.
Document de Plan de gestion Plan(s) et éventuellement
référence règlement.
Validité du 10 à 15 ans, en principe lllimité. Toute modification
document (pas de contrainte légale) engendre une nouvelle
référence approbation par le Conseil
d'Etat.
Restrictions Toute activité proscrite (art.19) Uniquement maintenir voire
sauf les travaux agricoles et améliorer l'état du site ou
sylvicoles compatibles avec le restrictions précisées dans
but de protection. un éventuel règlement.
Dérogations Activités autorisées Aucune
dans le plan de gestion (art.20)
Les réserves naturelles situées en forêt (soit dans le cadastre forestier selon la loi cantonale sur les forêts M 5 10 ) sont également des réserves forestières, au sens de l'article 36 de la loi cantonale sur les forêts (LForêts M 5 10).
- Les réserves intégrales ou sanctuaires forestiers, où toute exploitation de bois et gestion active de milieux naturels est proscrite, seuls les chemins sont sécurisés.
- Les réserves forestières, correspondent à un mode d'exploitation en taillis sous futaie. Ce type de réserve est historique et correspond à une volonté post seconde guerre mondiale de redéfinir durablement des zones d'exploitation plus traditionnelles et optimales d'un bois de qualité. Ce type de réserve n'est aujourd'hui plus utilisé.
- Les réserves biologiques à gestion dirigée, permettent le maintien de milieux particulièrement intéressants et diversifiés. Elles visent, par des interventions plus ou moins intensives à garantir la présence en forêt de certains milieux de types prairies ou zones humides, mais aussi d'associations phytosociologiques particulièrement rares comme les pinèdes à molinie. Ce type de réserve en forêt est le plus courant sur le canton.
L'accès au public à ces sites est indiqué sur place travers d'une signalisation adaptée reprenant les règles et usages pour chaque site. (art.23; RPPMF; L 4 05.11)
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (1 tonne)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (2 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (4 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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SECTEURS DES TECHNICIENS ARBRES
| PolygoneRépartition régionale des techniciens arbres - Secteurs
Les zones représentées permettent de situer les régions rattachées aux secteurs arbres, de connaître les communes attribuées aux différents périmètre en vue de faciliter les contacts avec les personnes en charge du secteur.
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SECTEURS FORESTIERS
| PolygoneLe canton est subdivisé en secteurs forestiers dénommés triages; le nombre de triages et leur délimitation sont fixés par l'office cantonal de facon à permettre une gestion rationnelle et durable des forêts publiques et privées qui les composent.
Ces triages sont placés sous la responsabilité de spécialistes forestiers au bénéfice d'une formation supérieure et d'une expérience pratique, au sens de l'article 51 de la loi fédérale sur les forêts, du 4 octobre 1991.
Les zones représentées permettent de situer les régions rattachées aux différents techniciens forestiers.
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SITE PRIORITAIRE BRYOPHYTE
| PolygoneLes bryophytes (classiquement appelées "mousses") sont des organismes passant facilement inapercus et dont l'identification n'est possible que par quelques expert(e)s sur le canton.
Les sites prioritaires pour les bryophytes synthétisent les zones dignes de protection pour ce groupe. Ces sites sont définis sur la base des connaissances des expert(e)s du canton quant aux espèces rares et menacées. L'intérêt de travailler par site et non par espèce permet une lecture facilitée pour les usagers.
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SITES PRIORITAIRES DES PLANTES VASCULAIRES
| PolygoneSuite à l'élaboration de
"l'inventaire des plantes vasculaires du canton de Genève avec liste rouge"
définissant les degrés de menaces pour la flore, des sites prioritaires ont été identifiés selon une méthodologie décrite dans
"Conservation des plantes vasculaires du canton de Genève : espèces et sites prioritaires".
Ces sites font l'objet de mesures de conservation et sont à considérer dans les plans d'aménagement du territoire.
La classe d'entités permet de localiser les sites particulièrement intéressants pour la flore ainsi que le numéro qui leur est attribué. Afin de prendre connaissance de la valeur de chaque site, on devra croiser ce numéro avec l'information contenue dans la publication
"Conservation des plantes vasculaires du canton de Genève : espèces et sites prioritaires".
De par les valeurs naturelles qu'ils contiennent, les sites prioritaires flores sont considérés au minimum comme espèces ou biotopes digne de protection au sens de la LPN et du Règlement sur la protection du paysage, des milieux naturels et de la flore (RPPMF) L 4 05.11
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SITES PRIORITAIRES POUR LA FAUNE
Consultation par géoservices | PolygoneCette couche cartographique répertorie les principaux sites prioritaires pour la conservation de la faune du canton de Genève connus de l'administration. Cet inventaire n'est donc pas exhaustif et est partiellement accessible pour des raisons de protection des données. Ces sites abritent des espèces menacées ou remarquables et sont donc des biotopes dignes de protection au sens de la législation fédérale et cantonale (voir chapitre législation ci-dessous).
Une partie non négligeable d'entre-eux se trouve en dehors des sites protégés, parfois même dans des habitations (colonies de chauves-souris, de martinets, etc.). Ils sont donc particulièrement sensibles lors de travaux (réfection, destruction, construction) et sont à considérer dans les plans d'aménagement du territoire.
Dans le cadre d'un projet (ou d'un diagnostic de secteur), l'utilisation de la couche ne dispense pas d'une demande d'extraction complète de données aux bases nationales (Infospecies). L'absence de données dans l'emprise du projet ne signifie pas que le projet n'aura pas d'impact sur la faune. L'entité référente doit être systématiquement contactée pour une analyse plus fine des enjeux. Les spécialistes faune du Service de la Biodiversité se tiennent également à disposition pour les conseils sur la meilleure manière d'adapter les projets pour préserver la valeur faunistique du site.
Cette couche a les fonctions suivantes :
- Permettre à l'administration traitant les requêtes en autorisation (construction, abattage d'arbres, etc.) susceptibles de causer des dommages à la faune d'identifier celles nécessitant un préavis de l'OCAN (accès complet aux données via un guichet sécurisé interne au Service de la Biodiversité).
- Permettre aux professionnels spécialisés d'identifier les sites pour préserver leur valeur faunistique (accès partiel aux données).
- Permettre au grand public de prendre connaissance d'une grande partie des sites prioritaires pour la conservation de la faune (accès partiel aux données).
Ces données sont compilées par le Service de la Biodiversité (SerBio) de l'OCAN sur la base des informations fournies par ses agents (techniciens et gardes de l'environnement), des ONG spécialisées (CCO-GE, GOBG, KARCH-GE, COR, etc.) et du grand public (notamment par l'intermédiaire de la plateforme faunegeneve.ch).
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SONDAGES PEDOLOGIQUES
| PointLa carte des sondages pédologiques donne des informations sur les sondages qui ont permis l'élaboration de la carte pédologique des sols agricoles. Chaque sondage renseigne sur les types de sols, leur profondeur et leurs propriétés.
Ces sondages ont été levés en 1984 et 1985 par une équipe de pédologues sous la conduite de Michel Gratier et Phillippe de Pury
(1- Voir les éléments liés).
Le mandant était le Service de l'agriculture qui a financé sa finalisation.
Les données de sondages quant à elles n'ont pas été numérisées. Cette carte est un moyen de sauvegarder ces données en complétant la carte pédologique des sols agricoles.
La classification utilisée lors des relevés de sondages est celle de la CPCS (Commission de Pédologie et de Cartographie des Sols)
(2- Voir les éléments liés).
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Le réseau de stations de mesures pour la qualité des eaux de surface (incluant les eaux de baignade du lac) comporte environ 200 stations réparties sur l'ensemble du territoire genevois, ainsi qu'en France voisine.
La qualité des eaux y est mesurée selon des périodicités variables, pour les groupes de paramètres suivants: état sanitaire, macrofaune benthique, algues diatomées et physico-chimie.
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STRATEGIE D'ARBORISATION DE L'AIRE URBAINE
| PolygoneCette couche résume les principales informations de la Stratégie d'arborisation de l'aire urbaine genevoise (SAG). Toutes les données de la SAG se basent sur une représentation du taux de canopée à l'échelle des sous-secteurs statistiques (GIREC). Les GIREC permettent d'illustrer l'hétérogénéité de la situation actuelle de l'aire urbaine en terme de couverture de canopée et de fixer des objectifs propres à leurs caractéristiques.
On retrouve les informations suivantes :
- Le taux de canopée actuel sur l'espace arborisable en 2019 qui constitue l'état de référence.
- Le taux de canopée projeté sur de l'arborisable en 2070 (objectif à viser)
- Le taux d'effort à fournir pour atteindre ce taux de canopée en 2070
- Les zones prioritaires pour les actions d'arborisation. Ces zones cumulent les 3 facteurs suivants:
- la densité de population
- la température ressentie (PET)
- le taux de canopée actuel
Pour plus d'information sur la stratégie, merci de se référer au document de référence.
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