Catalogue
SURFACE AGRICOLE UTILE (SAU) - OPD
| PolygoneLa surface agricole utile (SAU) comprend toutes les surfaces affectées à la production végétale des exploitations agricoles.
Cette couche est une agrégation de la SAU déclarée chaque année par les exploitants au bénéfice des paiements directs. Elle intègre également les surfaces géoréférencées dans le registre des vignes.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
SURFACES AGRICOLES RECENSEES
| PolygoneChaque année depuis 2017, les exploitants agricoles au bénéfice des paiements directs géoréférencent leurs parcelles culturales.
Cette couche intègre toutes ces géométries sous forme d'une représentation annuelle.
Les parcelles sont classées en différentes thématiques selon leur utilisation :
- grandes cultures
- maraîchage
- surfaces herbagères
- viticulture
- arboriculture
- horticulture
- surfaces de promotion de la biodiversité sur terres ouvertes (SPB sur TO)
- surfaces hors surface agricole utile (SAU)
- divers
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
SURFACES D'ASSOLEMENT
| PolygoneLes surfaces d'assolement (SDA) font partie du territoire qui se prête à l'agriculture. Elles se composent des terres cultivables comprenant avant tout les terres ouvertes, les prairies artificielles intercalaires et les prairies naturelles arables.
L'objectif est d'aider à l'examen des requêtes en zone agricole et de gérer les surfaces dans le but de la préservation des SDA.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Les surfaces de promotion de la biodiversité / SPB (anciennement surfaces de compensation écologique / SCE) recensées sur le territoire genevois sont mises en place et entretenues par les exploitants agricoles.
Imposées par la législation agricole, elles représentent des surfaces proches de l'état naturel qui sont composées notamment de prairies extensives, de prairies peu intensives, de jachères, d'ourlets herbeux, de bandes culturales extensives et de haies et bosquets champêtres.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
TERRITOIRE 1800
| RasterL'Atlas du territoire genevois est une cartographie analytique montrant l'évolution du territoire cantonal de la fin du XVIIIème à la fin du XXème siècle. Il s'apparente à un travail d'inventaire où sont identifiées et consignées les transformations du territoire au cours des XIXème et XXème siècles, repérables à travers les modifications parcellaires et certaines affectations du sol.
Date d'acquisition : 2006
Méthode d'acquisition : Scan des plans originaux
Ce travail, réalisé par le centre de recherche sur la rénovation urbaine de l'Ecole d'architecture de l'Université de Genève, a été publié de 1993 à 1999 par le Département des travaux publics du canton de Genève, Service des monuments et des sites, en quatre volumes composé de 14 planches (Georg, éditeur).
TERRITOIRE XIX-XX SIECLES
| RasterL'Atlas du territoire genevois est une cartographie analytique montrant l'évolution du territoire cantonal de la fin du XVIIIème à la fin du XXème siècle. Il s'apparente à un travail d'inventaire où sont identifiées et consignées les transformations du territoire au cours des XIXème et XXème siècles, repérables à travers les modifications parcellaires et certaines affectations du sol.
Date d'acquisition : 2006
Méthode d'acquisition : Scan des plans originaux
Ce travail, réalisé par le centre de recherche sur la rénovation urbaine de l'Ecole d'architecture de l'Université de Genève, a été publié de 1993 à 1999 par le Département des travaux publics du canton de Genève, Service des monuments et des sites, en quatre volumes composé de 14 planches (Georg, éditeur).
TEXTURE DES SOLS CULTIVES
| PointLa texture est une caractéristique fondamentale du sol. Elle est essentielle pour l'évaluation de la qualité, de la fertilité et de l'aptitude culturale des sols. Elle est mesurée sur la fraction minérale fine (diamètre inférieur à 2000 µm) et se détermine en classant les particules minérales du sol en trois catégories de diamètres prédéfinis :
- les argiles ont un diamètre inférieur à 2 µm
- les silts ont un diamètre compris entre 2 et 50 µm
- les sables ont un diamètre compris en 50 et 2000 µm
Les échantillons analysés par la méthode de la pipette dans une colonne de sédimentation sont des échantillons moyens représentatifs de la parcelle agricole. L'échantillon moyen est constitué d'au moins dix carottes de sol, prélevées entre 2 et 20 cm de profondeur. Chaque point de la couche texture des sols cultivés représente une surface d'environ un hectare.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
VERGERS ET PEPINIERES EN PRODUCTION
| PolygoneVergers et pépinières en production
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS CEARD (1837-1840)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur la base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles et fortifications).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le plan Céard
- la comparaison des plans Billon et Grange
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS
- le plan Mayer de 1835
- le plan militaire de 1805
L'identification a été réalisée avant tout en comparant les espaces verts digitalisés sur les plans Grange et Billon, les espaces communs aux deux périodes étant considérés comme existants également du temps de Céard. Le recensement de l'ICOMOS a ensuite permis d'identifier certains espaces arborés déjà présents du temps de Céard. Finalement, le plan Mayer de 1835 et le plan militaire de 1805 ont permis l'identification des différents espaces de promenade, espaces cultivés et fossés sur la ceinture des fortifications. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS GRANGE (1896-1911)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS ;
- le plan Grange
- les plans de ville de l'époque (Mayer 1875 et Briquet 1915)
- l'orthophoto de 1932
- la couche de couverture du sol actuelle
- le plan Billon
L'inventaire de l'ICOMOS a été utilisé prioritairement et a permis d'identifier la majorité des espaces verts. Le plan Grange a permis de localiser certains arbres et talus, tandis que les plans de ville de l'époque (Mayer et Briquet) ont surtout facilité la localisation des alignements d'arbres. L'orthophoto de 1932 et la couche de couverture du sol actuelle ont permis la localisation des espaces arborés. Quant au plan Billon, il a confirmé la présence de jardins en vieille ville. Un avis extérieur de la part du service des espaces verts de la ville de Genève a permis de confirmer l'identification de certains objets. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
Les zones à risque de dégâts de la faune sur les cultures sont des secteurs sur lesquels la probabilité de dégâts sur des cultures sensibles (notamment maïs et vignes) est particulièrement élevée.
La zone de type A est définie en prenant en compte la proximité de zones naturelles protégées et de cultures sensibles. Dans cette zone, l'OCAN, en application de l'article 22 alinéa 2 de la Loi sur la Faune M5 05, fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (mise en place de clôtures notamment).
La zone de type B complète la zone A et incluant les zones à risques éloignées des zones naturelles protégées. Elle est définie en prenant en compte la répartition des espèces animales (cerfs, sangliers et lièvres) posant localement des problèmes importants aux cultures sensibles, leurs densités de populations et l'importance des dégâts subis les années précédentes. Dans cette zone, l'OCAN fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (prêt de matériel, soutien pour la pose et l'entretien de clôtures).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Les zones à risque de dégâts de la faune sur les cultures sont des secteurs sur lesquels la probabilité de dégâts sur des cultures sensibles (notamment maïs et vignes) est particulièrement élevée.
La zone de type A est définie en prenant en compte la proximité de zones naturelles protégées et de cultures sensibles. Dans cette zone, l'OCAN fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (mise en place de clôtures notamment).
La zone de type B complète la zone A et incluant les zones à risques éloignées des zones naturelles protégées. Elle est définie en prenant en compte la répartition des espèces animales (cerfs, sangliers et lièvres) posant localement des problèmes importants aux cultures sensibles, leurs densités de populations et l'importance des dégâts subis les années précédentes.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
ZONES D'ELIMINATION PREVENTIVES DES COTONEASTERS TRES SENSIBLES AU FEU BACTERIEN
Le feu bactérien est une maladie bactérienne (Erwinia amylovora, organisme de quarantaine) particulièrement dangereuse qui noircit et déforme jusqu'à la mort les arbres fruitiers à pépins (pommiers, poiriers, cognassiers), quelques plantes ornementales (cotonéasters, pyracantha, pommier du Japon) et sauvages (sorbiers, aubépines).
Cette maladie, sans danger pour l'Homme, est présente sur le territoire genevois depuis 2000. Aujourd'hui 10 communes sont touchées. Elle s'est déclarée jusqu'à maintenant uniquement sur les Cotoneasters salicifolius.
- Cotoneaster salicifolius
- Cotoneaster salicifolius 'Herbstfeuer'
- Cotoneaster bullatus
- Cotoneaster watereri
- Cotoneaster watereri 'Cornubia'
- Cotoneaster franchetti
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
ZONES DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL
Uniquement partenaires SITG | RasterZONE DE LA CARTE DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL ET NON DESSINEE PAR LES VITICULTEURS
Certaine zones du vignoble n'ayant pas été prise en considération par les viticulteurs interrogés, elles ont été obtenues par calcul.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
Pages
- « premier
- ‹ précédent
- 1
- 2
- 3
- 4