Catalogue
VERGERS ET PEPINIERES EN PRODUCTION
| PolygoneVergers et pépinières en production
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS CEARD (1837-1840)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur la base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles et fortifications).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le plan Céard
- la comparaison des plans Billon et Grange
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS
- le plan Mayer de 1835
- le plan militaire de 1805
L'identification a été réalisée avant tout en comparant les espaces verts digitalisés sur les plans Grange et Billon, les espaces communs aux deux périodes étant considérés comme existants également du temps de Céard. Le recensement de l'ICOMOS a ensuite permis d'identifier certains espaces arborés déjà présents du temps de Céard. Finalement, le plan Mayer de 1835 et le plan militaire de 1805 ont permis l'identification des différents espaces de promenade, espaces cultivés et fossés sur la ceinture des fortifications. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS GRANGE (1896-1911)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS ;
- le plan Grange
- les plans de ville de l'époque (Mayer 1875 et Briquet 1915)
- l'orthophoto de 1932
- la couche de couverture du sol actuelle
- le plan Billon
L'inventaire de l'ICOMOS a été utilisé prioritairement et a permis d'identifier la majorité des espaces verts. Le plan Grange a permis de localiser certains arbres et talus, tandis que les plans de ville de l'époque (Mayer et Briquet) ont surtout facilité la localisation des alignements d'arbres. L'orthophoto de 1932 et la couche de couverture du sol actuelle ont permis la localisation des espaces arborés. Quant au plan Billon, il a confirmé la présence de jardins en vieille ville. Un avis extérieur de la part du service des espaces verts de la ville de Genève a permis de confirmer l'identification de certains objets. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.