Catalogue
TEXTURE DES SOLS CULTIVES
| PointLa texture est une caractéristique fondamentale du sol. Elle est essentielle pour l'évaluation de la qualité, de la fertilité et de l'aptitude culturale des sols. Elle est mesurée sur la fraction minérale fine (diamètre inférieur à 2000 µm) et se détermine en classant les particules minérales du sol en trois catégories de diamètres prédéfinis :
- les argiles ont un diamètre inférieur à 2 µm
- les silts ont un diamètre compris entre 2 et 50 µm
- les sables ont un diamètre compris en 50 et 2000 µm
Les échantillons analysés par la méthode de la pipette dans une colonne de sédimentation sont des échantillons moyens représentatifs de la parcelle agricole. L'échantillon moyen est constitué d'au moins dix carottes de sol, prélevées entre 2 et 20 cm de profondeur. Chaque point de la couche texture des sols cultivés représente une surface d'environ un hectare.
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VERGERS ET PEPINIERES EN PRODUCTION
| PolygoneVergers et pépinières en production
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VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS CEARD (1837-1840)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur la base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles et fortifications).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le plan Céard
- la comparaison des plans Billon et Grange
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS
- le plan Mayer de 1835
- le plan militaire de 1805
L'identification a été réalisée avant tout en comparant les espaces verts digitalisés sur les plans Grange et Billon, les espaces communs aux deux périodes étant considérés comme existants également du temps de Céard. Le recensement de l'ICOMOS a ensuite permis d'identifier certains espaces arborés déjà présents du temps de Céard. Finalement, le plan Mayer de 1835 et le plan militaire de 1805 ont permis l'identification des différents espaces de promenade, espaces cultivés et fossés sur la ceinture des fortifications. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS GRANGE (1896-1911)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS ;
- le plan Grange
- les plans de ville de l'époque (Mayer 1875 et Briquet 1915)
- l'orthophoto de 1932
- la couche de couverture du sol actuelle
- le plan Billon
L'inventaire de l'ICOMOS a été utilisé prioritairement et a permis d'identifier la majorité des espaces verts. Le plan Grange a permis de localiser certains arbres et talus, tandis que les plans de ville de l'époque (Mayer et Briquet) ont surtout facilité la localisation des alignements d'arbres. L'orthophoto de 1932 et la couche de couverture du sol actuelle ont permis la localisation des espaces arborés. Quant au plan Billon, il a confirmé la présence de jardins en vieille ville. Un avis extérieur de la part du service des espaces verts de la ville de Genève a permis de confirmer l'identification de certains objets. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
Les zones à risque de dégâts de la faune sur les cultures sont des secteurs sur lesquels la probabilité de dégâts sur des cultures sensibles (notamment maïs et vignes) est particulièrement élevée.
La zone de type A est définie en prenant en compte la proximité de zones naturelles protégées et de cultures sensibles. Dans cette zone, l'OCAN, en application de l'article 22 alinéa 2 de la Loi sur la Faune M5 05, fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (mise en place de clôtures notamment).
La zone de type B complète la zone A et incluant les zones à risques éloignées des zones naturelles protégées. Elle est définie en prenant en compte la répartition des espèces animales (cerfs, sangliers et lièvres) posant localement des problèmes importants aux cultures sensibles, leurs densités de populations et l'importance des dégâts subis les années précédentes. Dans cette zone, l'OCAN fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (prêt de matériel, soutien pour la pose et l'entretien de clôtures).
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Les zones à risque de dégâts de la faune sur les cultures sont des secteurs sur lesquels la probabilité de dégâts sur des cultures sensibles (notamment maïs et vignes) est particulièrement élevée.
La zone de type A est définie en prenant en compte la proximité de zones naturelles protégées et de cultures sensibles. Dans cette zone, l'OCAN fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (mise en place de clôtures notamment).
La zone de type B complète la zone A et incluant les zones à risques éloignées des zones naturelles protégées. Elle est définie en prenant en compte la répartition des espèces animales (cerfs, sangliers et lièvres) posant localement des problèmes importants aux cultures sensibles, leurs densités de populations et l'importance des dégâts subis les années précédentes.
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ZONES D'ELIMINATION PREVENTIVES DES COTONEASTERS TRES SENSIBLES AU FEU BACTERIEN
Le feu bactérien est une maladie bactérienne (Erwinia amylovora, organisme de quarantaine) particulièrement dangereuse qui noircit et déforme jusqu'à la mort les arbres fruitiers à pépins (pommiers, poiriers, cognassiers), quelques plantes ornementales (cotonéasters, pyracantha, pommier du Japon) et sauvages (sorbiers, aubépines).
Cette maladie, sans danger pour l'Homme, est présente sur le territoire genevois depuis 2000. Aujourd'hui 10 communes sont touchées. Elle s'est déclarée jusqu'à maintenant uniquement sur les Cotoneasters salicifolius.
- Cotoneaster salicifolius
- Cotoneaster salicifolius 'Herbstfeuer'
- Cotoneaster bullatus
- Cotoneaster watereri
- Cotoneaster watereri 'Cornubia'
- Cotoneaster franchetti
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CARTE DE LA SOMME DES RADIATIONS DE JUIN A AOUT
Uniquement partenaires SITG | RasterLa radiation potentielle à été modélisée par un outil standard qui tient compte de la pente, de l'orientation et des ombres portées.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
CARTE DU NIVEAU D'EXPOSITION A LA BISE (VENT DU NE)
Uniquement partenaires SITG | RasterLe niveau d'exposition à la bise à été obtenu en éclairant le relief avec une source lumineuse orientée à 45° (N-E). Les zones claires sont exposées.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
CARTE PRECOCITES VIGNOBLES - DONNEES VITICULTEURS
Uniquement partenaires SITG | RasterCARTE DES PRECOCITES DES VIGNOBLES ETABLIE PAR LES DONNEES DES VITICULTEURS
La carte montre les zones précoces et tardives dessinées par 29 producteurs et digitalisées sous format informatique.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
| ProduitCARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
Ce groupe contient les données suivantes :
- Perte en sol 1 tonne eil_perte_sol_1_tonne
- Perte en sol 2 tonnes eil_perte_sol_2_tonnes
- Perte en sol 4 tonnes eil_perte_sol_4_tonnes
TERRITOIRE 1800
| RasterL'Atlas du territoire genevois est une cartographie analytique montrant l'évolution du territoire cantonal de la fin du XVIIIème à la fin du XXème siècle. Il s'apparente à un travail d'inventaire où sont identifiées et consignées les transformations du territoire au cours des XIXème et XXème siècles, repérables à travers les modifications parcellaires et certaines affectations du sol.
Date d'acquisition : 2006
Méthode d'acquisition : Scan des plans originaux
Ce travail, réalisé par le centre de recherche sur la rénovation urbaine de l'Ecole d'architecture de l'Université de Genève, a été publié de 1993 à 1999 par le Département des travaux publics du canton de Genève, Service des monuments et des sites, en quatre volumes composé de 14 planches (Georg, éditeur).
TERRITOIRE XIX-XX SIECLES
| RasterL'Atlas du territoire genevois est une cartographie analytique montrant l'évolution du territoire cantonal de la fin du XVIIIème à la fin du XXème siècle. Il s'apparente à un travail d'inventaire où sont identifiées et consignées les transformations du territoire au cours des XIXème et XXème siècles, repérables à travers les modifications parcellaires et certaines affectations du sol.
Date d'acquisition : 2006
Méthode d'acquisition : Scan des plans originaux
Ce travail, réalisé par le centre de recherche sur la rénovation urbaine de l'Ecole d'architecture de l'Université de Genève, a été publié de 1993 à 1999 par le Département des travaux publics du canton de Genève, Service des monuments et des sites, en quatre volumes composé de 14 planches (Georg, éditeur).
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ZONES DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL
Uniquement partenaires SITG | RasterZONE DE LA CARTE DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL ET NON DESSINEE PAR LES VITICULTEURS
Certaine zones du vignoble n'ayant pas été prise en considération par les viticulteurs interrogés, elles ont été obtenues par calcul.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
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