Catalogue
TRONCONS PISCICOLES DES COURS D'EAU GENEVOIS
Le recensement des espèces de poissons présentes dans les eaux cantonales est encouragé par la Loi fédérale sur la pêche du 21 juin 1991 (art. 11), ainsi que par le règlement d'application du 15 décembre 1999 du canton de Genève (art. 35).
A Genève, un premier inventaire piscicole de l'ensemble des cours d'eau du canton a été réalisé en 2000. Cet inventaire a été complété en 2008-2009 par la compilation des données existantes et la récolte de données supplémentaires au moyen de pêches électriques ou de pointages visuels.
Seuls 46 cours d'eau sont piscicoles sur tout ou partie de leur linéaire, ce qui représente 23% des cours d'eau.
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UNITES DE GESTION EN FORET
| PolygoneLes unités de gestion sont des périmètres rassemblés dans des divisions elles-mêmes appartenant à des grands massifs. Elles rassemblent des zones forestières sur lesquelles une intervention a été effectuée, une planification est projetée où un objectif sylvicole est déterminé. Elles font parties du modèle de gestion GESFOR.
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VEGETATION DES ZONES ALLUVIALES
| PolygoneLes objets de l'inventaire des zones alluviales, ainsi que ceux qui ont été ajoutés ou modifiés par la suite dans le cadre de la mise à jour, ont été saisis puis cartographiés. Les objets cartographiés ont été scannés à partir de films transparents, puis vectorisés, géoréférencés et attribués.
Les nouvelles surfaces ont été saisies par photogrammétrie à partir d'images aériennes infra-rouge.
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VERGERS ET PEPINIERES EN PRODUCTION
| PolygoneVergers et pépinières en production
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VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS CEARD (1837-1840)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur la base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles et fortifications).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le plan Céard
- la comparaison des plans Billon et Grange
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS
- le plan Mayer de 1835
- le plan militaire de 1805
L'identification a été réalisée avant tout en comparant les espaces verts digitalisés sur les plans Grange et Billon, les espaces communs aux deux périodes étant considérés comme existants également du temps de Céard. Le recensement de l'ICOMOS a ensuite permis d'identifier certains espaces arborés déjà présents du temps de Céard. Finalement, le plan Mayer de 1835 et le plan militaire de 1805 ont permis l'identification des différents espaces de promenade, espaces cultivés et fossés sur la ceinture des fortifications. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS GRANGE (1896-1911)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS ;
- le plan Grange
- les plans de ville de l'époque (Mayer 1875 et Briquet 1915)
- l'orthophoto de 1932
- la couche de couverture du sol actuelle
- le plan Billon
L'inventaire de l'ICOMOS a été utilisé prioritairement et a permis d'identifier la majorité des espaces verts. Le plan Grange a permis de localiser certains arbres et talus, tandis que les plans de ville de l'époque (Mayer et Briquet) ont surtout facilité la localisation des alignements d'arbres. L'orthophoto de 1932 et la couche de couverture du sol actuelle ont permis la localisation des espaces arborés. Quant au plan Billon, il a confirmé la présence de jardins en vieille ville. Un avis extérieur de la part du service des espaces verts de la ville de Genève a permis de confirmer l'identification de certains objets. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
VILLE GE SEVE - ARBRES IDENTIFIES POUR L'ABATTAGE
Consultation par géoservices | PointArbres gérés par le SEVE, recensés pour l'abattage prévus dans les semaines à venir.
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VILLE GE SEVE - NOUVEAUX ARBRES PLANTES DEPUIS 3 ANS
Consultation par géoservices | PointNouveaux arbres, gérés par le SEVE, ayant fait l'objet d'une plantation durant les trois dernières années de campagne de plantation de la Ville de Genève.
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VILLE GE SEVE - PARCELLES AVEC ARBRES IDENTIFIES POUR L'ABATTAGE
Consultation par géoservices | PolygoneParcelles cadastrales sur lesquelles des arbres gérés par le SEVE, sont recensés pour l'abattage prévus dans les semaines à venir.
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VISIBILITE DE L'ECLAIRAGE ARTIFICIEL
| RasterLa couche « Visibilité de l'éclairage artificiel » représente pour chaque pixel du territoire le nombre de sources lumineuses visibles la nuit.
Ce modèle prend en compte la topographie tridimensionnelle, un paramètre de décalage vertical par rapport au sol (1 m) et un rayon d'analyse (250 m), représentant le rayon pour lequel la lumière est considérée comme potentiellement impactante pour la faune terrestre.
Les données de base utilisées pour aboutir à ce résultat sont : images satellites jilin-1 (2021) à partir de laquelle sont obtenues les sources lumineuses, les modèles numériques de surface et de terrain de l'agglomération (2019) ainsi que les données d'éclairage public de la ville de Genève (SIG).
Cette donnée est la base de la couche dérivée « Continuum nocturne » (FFP_CONTINUUM_NOCTURNE).
Cette donnée est issue d'un travail réalisé par la Haute Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'Architecture de Genève (HEPIA) à l'institut de recherche Terre-Nature-Environnement (InTNE).
Il fait suite au travail de référence publié en collaboration avec l'Université de Genève et l'Office cantonale de l'agriculture et de la nature: https://doi.org/10.1016/j.rsase.2019.100268
Auteurs de la donnée : Laurent Huber, Jessica Ranzoni sous la supervision de Claude Fischer / HEPIA
Les zones à risque de dégâts de la faune sur les cultures sont des secteurs sur lesquels la probabilité de dégâts sur des cultures sensibles (notamment maïs et vignes) est particulièrement élevée.
La zone de type A est définie en prenant en compte la proximité de zones naturelles protégées et de cultures sensibles. Dans cette zone, l'OCAN, en application de l'article 22 alinéa 2 de la Loi sur la Faune M5 05, fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (mise en place de clôtures notamment).
La zone de type B complète la zone A et incluant les zones à risques éloignées des zones naturelles protégées. Elle est définie en prenant en compte la répartition des espèces animales (cerfs, sangliers et lièvres) posant localement des problèmes importants aux cultures sensibles, leurs densités de populations et l'importance des dégâts subis les années précédentes. Dans cette zone, l'OCAN fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (prêt de matériel, soutien pour la pose et l'entretien de clôtures).
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Les zones à risque de dégâts de la faune sur les cultures sont des secteurs sur lesquels la probabilité de dégâts sur des cultures sensibles (notamment maïs et vignes) est particulièrement élevée.
La zone de type A est définie en prenant en compte la proximité de zones naturelles protégées et de cultures sensibles. Dans cette zone, l'OCAN fournit une assistance particulière aux exploitants agricoles pour la prévention de ces dégâts (mise en place de clôtures notamment).
La zone de type B complète la zone A et incluant les zones à risques éloignées des zones naturelles protégées. Elle est définie en prenant en compte la répartition des espèces animales (cerfs, sangliers et lièvres) posant localement des problèmes importants aux cultures sensibles, leurs densités de populations et l'importance des dégâts subis les années précédentes.
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ZONE DE LUTTE ET DE SURVEILLANCE FOURMIS TAPINOMA
Uniquement partenaires SITG | PolygoneLa fourmi Tapinoma magnum est une espèce exotique envahissante dont les observations se multiplient dans le canton depuis sa découverte en 2018. Afin de limiter les nuisances pour la population et l'impact sur la biodiversité locale il est encore possible de retarder l'expansion de cet insecte en évitant l'implantation de nouvelles colonies et en luttant activement contre l'expansion de ses populations.
La présente carte identifie toutes les stations répertoriées de Tapinoma magnum pour lesquelles un périmètre de lutte est mis en place. Ce dernier s'accompagne d'un périmètre de surveillance permettant d'évaluer l'expansion de la colonie. Chaque station est suivie deux fois par an (en début et en fin de saison) et les périmètres sont mis à jour en conséquence.
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ZONES DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL
Uniquement partenaires SITG | RasterZONE DE LA CARTE DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL ET NON DESSINEE PAR LES VITICULTEURS
Certaine zones du vignoble n'ayant pas été prise en considération par les viticulteurs interrogés, elles ont été obtenues par calcul.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
ZONES HUMIDES - CONVENTION DE RAMSAR
| PolygoneZONES HUMIDES LIEES A LA CONVENTION DE RAMSAR
La Convention de Ramsar relative aux zones humides d'importance internationale particulièrement comme habitats des oiseaux d'eau a été signée en 1971 dans la ville iranienne de Ramsar.
La Suisse a ratifié cette convention en 1976.
Le périmètre du site Ramsar à Genève est identique à celui de la réserve d'oiseaux d'eau (OROEM). La Suisse possède trois inventaires actuels de zones humides/cours d'eau d'importance internationale : la liste de la Convention de Ramsar, l'inventaire des zones d'oiseaux d'eau d'importance internationale élaborée par la Station ornithologique suisse (Marti et Schifferli 1987) qui constitue la base pour le troisième inventaire, l'inventaire fédéral des réserves d'oiseaux d'eau et de migrateurs d'importance internationale et nationale (OROEM).
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