Catalogue
Réseaux écologiques, composés de structures naturelles reliées entre elles telles que
- cordons boisés riverains
- prairies extensives
- jachères florales
- haies composées d'essences indigènes
- allées d'arbres
qui permettent à la grande faune de se déplacer (cerfs, chevreuils, sangliers).
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DONNEES PHENOLOGIQUES (2007-2009) - PARCELLES CLIMATOVIGNES
Uniquement partenaires SITG | PointCARTE DES DONNEES PHENOLOGIQUES (2007-2009) DU RESEAU DE PARCELLES CLIMATOVIGNES
La classe d'entités montre les écarts de précocité en jours entre la parcelle et la moyenne des autres parcelles du réseau pour le débourrement, la floraison et la véraison.
DRAINS AGRICOLES
| LigneEn corrélation avec le plans des périmètres drainés et le plan schématique des collecteurs de drainage, les drains agricoles permettent de visualiser la structure et la typologie des épis de drainage.
La teneur élevée en limons fins et en argiles du sous-sol genevois, ainsi que la présence de moraine à faible profondeur expliquent la forte proportion de terres faisant l'objet d'un drainage agricole, dans le but de prévenir l'asphyxie et la pourriture racinaire des plantes. Le drainage étant indispensable pour permettre une production agricole de qualité et rentable au plan économique, un fonctionnement optimal des réseaux constitue dès lors une condition indispensable au maintien dans notre canton d'une agriculture productive et compétitive.
Sur une surface agricole totale de près de 12'000 ha, on recense environ 4'400 ha drainés.
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EMPLACEMENT CAMPING AUTORISE
| PointLe canton de Genève bénéficie d'une campagne comportant des milieux naturels et agricoles propices aux activités de tourisme rural, dont la pratique du camping fait partie.
La législation genevoise fait la distinction entre les installations qui sont soumis au règlement sur les campings L 5 05.20, soit les campings ouverts au public, de même que les campings privés n'acceptant que des sociétaires et les emplacements qui ne sont pas soumis à ce règlement.
Pour ce qui est de la pratique du camping en dehors des installations soumises au règlement sur les campings, la situation est la suivante:
• Le camping sauvage est généralement interdit, sauf autorisation;
• Le camping en forêt est expressément interdit, sauf sur les emplacements prévus à cet effet, et avec autorisation délivrée par l'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN);
• Le parcage de remorque et véhicules de campings sur les places de parc et sur la voie publique de certaines communes n'est autorisé que pour une durée inférieure à 24h;
• Le camping sur le domaine public est soumis à autorisation de la collectivité publique qui l'administre;
• Le camping sur le domaine privé est subordonné à l'autorisation du propriétaire.
Cette classe d'entités référence les installations soumises au règlement sur les campings ouverts au public ou réservés au sociétaires, ainsi que les emplacements où le camping est toléré en forêt sous réserve de l'obtention d'une autorisation préalable de l'OCAN.
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EMPLACEMENT DES OBSERVATOIRES
| PointL'Etat de Genève est propriétaire ou responsable d'ouvrages assurant une fonction d'accueil du public dans le contexte du tourisme rural dans le canton de Genève.
Parmi ces ouvrages figurent les observatoires à faune. Ces constructions ont une fonction importante dans le dispositif d'accueil du public dans les milieux naturels et dans les réserves naturelles en particulier.
Généralement aménagés à proximité de zones humides ou de lieux de nidification, ils offrent au public un point d'observation de la faune privilégié, tout en préservant sa tranquillité.
La classe d'entités référence les observatoires à faune propriété ou sous responsabilité de l'Etat de Genève, ainsi que certains observatoires d'organisations privées.
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ESPACES INTERDITS AUX CHIENS
| PolygoneLe 17 juin 2007, le peuple genevois a voté, avec une forte majorité, d'importantes modifications de la loi sur la détention des chiens. Celles-ci prévoient notamment que certains lieux publics doivent être interdits aux chiens.
Cette démarche permet ainsi de satisfaire les différentes attentes des usagers de l'espace public :
si les chiens et leurs propriétaires peuvent bénéficier de prérogatives dans certaines zones - les espaces de liberté pour chiens - ils doivent également admettre des restrictions dans d'autres.
Certains parcs sont ainsi interdits aux chiens afin d'y garantir la tranquillité et la sécurité du public et notamment des enfants.
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ESPACES POUR CHIENS EN LIBERTE
| PolygoneLa divagation des chiens mal maîtrisés cause de graves perturbations à la faune sauvage, qui peuvent aller de la mise en fuite à la poursuite, la capture et même la mise à mort d'animaux.
Les expériences ont montré qu'il était souhaitable de créer des espaces dans lesquels les chiens peuvent s'ébattre sans être tenus en laisse tout en restant sous le contrôle permanent de leur maître.
Afin de favoriser de bonnes conditions d'existence pour les animaux de compagnie , l'OCAN a examiné tous les massifs boisés et propose un certain nombre d'espaces en forêt où il est possible d'accueillir les chiens en liberté sans causer d'impact grave sur la faune.
Ces espaces sont répartis dans tout le canton mais surtout à proximité des agglomérations.
Enfin cette classe d'objet contient également les espaces proposés par les communes.
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FONCTION DU PLAN DIRECTEUR FORESTIER
| PolygoneLe Plan Directeur Forestier représente le faîte de la planification forestière. Il vise à défendre les intérêts publics propres à la forêt et à assurer la coordination avec l'aménagement du territoire.
Sa durée de validité a été fixée à 20 ans afin d'assurer une continuité dans la manière de gérer les forêts.
L'attribution d'une fonction prioritaire à une zone forestière représente la volonté d'action et le traitement futur de la forêt à long terme.
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FORETS PROTECTRICES
| PolygoneForêts de protection contre les dangers naturels tels que l'érosion, les glissements et les chutes de pierres - validées par l'Office fédérale de l'environnement
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FOYERS FEU BACTERIEN
| PointFoyers confirmés
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INDICE D'ECOPOTENTIALITE URBAINE PAR COMMUNE
| PolygoneL'indice d'écopotentialité urbaine permet d'évaluer le degré potentiel de biodiversité d'un territoire. Il est constitué de 8 indicateurs et mesure la capacité d'accueil en biodiversité d'un milieu urbain en fonction de la présence de structures - naturelles ou aménagées - favorables à la biodiversité.
Dans le milieu urbain, la biodiversité est contrainte par l'influence humaine dans un contexte de mutation territoriale. Il existe donc un enjeu fort de conservation et d'aménagement des espaces verts en ville, afin de lutter contre la perte et la banalisation des espèces, et de conserver la variété, la taille et la connectivité des espaces semi-naturels urbains. Dans ce contexte, les Conservatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) collaborent depuis 2014 avec l'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN) dans le but de proposer des outils cartographiques utiles à la prise en considération de cette ressource au travers des planifications directrices et localisées. L'écopotentialité est un lot d'indicateurs synthétique de l'état de la biodiversité pour un périmètre donnée (commune, quartier, zone d'affectation). Il a été réfléchi afin de mettre en avant les points forts et les points faibles de la zone d'étude et donc de faire un lien intéressant avec l'aménagement futur.
L'indice est construit sur la base de 8 indicateurs normalisés, c'est-à-dire que chaque plage de valeur des indicateurs est ramenée à une plage normée entre 0 et 1 de manière à permettre une représentation agrégée des 8 indicateurs:
1) Densité de toitures végétalisées (m2/m2) : évaluation de la proportion de surface de toiture végétalisée par rapport aux surfaces bâties d'un périmètre donné.
2) Surface perméable (%) : évaluation du pourcentage de surface de milieux perméables par rapport aux surfaces imperméables
3) Diversité des milieux verts : regroupement des milieux en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux verts.
4) Densité d'arbres (nb/ha): Nombre d'arbre issu de l'identification via des données LIDAR auxquels s'ajoutent les surfaces forestières (densité moyenne de 370 arbres/ha).
5) Fragmentation: Mesure la fragmentation du paysage par la présence de barrières physiques (routes, zones bâties, etc.) pour le déplacement de la faune et de la flore entre deux points.
6) Naturalité : Indice compris entre +/- l'infini, qui distingue les milieux qui ont conservé leurs qualités naturelles (valeurs positives élevées), des milieux affecté par les activités humaines (valeurs négatives élevées).
7) Diversité de milieux aquatiques et humides: regroupement des milieux aquatiques en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux aquatiques.
8) Surface milieux aquatiques: évaluation de la surface de milieu aquatique et humide occupés par rapport à la surface de la zone d'intérêt.
Les données de base utilisées lors des analyses sont notamment la carte des milieux naturels et la couche toitures végétalisées (SIPV_MN_CARTO_5, SIPV_EV_TOIT_VERT).
L'indice permet de faire un lien intéressant avec l'aménagement et la gestion du territoire en identifiant les facteurs manquants ou favorables à la biodiversité sur le périmètre considéré. Les périmètres d'étude vont de l'échelle de la commune, jusqu'à la zone d'aménagement (1500m2).
C'est pourquoi, cet indice a été intégré en annexe du guide de densification de la zone 5 (zone villa) publié par l'Office de l'urbanisme en 2017. Il est par ailleurs utilisé par les communes et leurs mandataires dans le cadre de la révision des plans directeurs communaux et des plans guides des Grands projets.
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L'indice d'écopotentialité urbaine permet d'évaluer le degré potentiel de biodiversité d'un territoire. Il est constitué de 8 indicateurs et mesure la capacité d'accueil en biodiversité d'un milieu urbain en fonction de la présence de structures - naturelles ou aménagées - favorables à la biodiversité.
Dans le milieu urbain, la biodiversité est contrainte par l'influence humaine dans un contexte de mutation territoriale. Il existe donc un enjeu fort de conservation et d'aménagement des espaces verts en ville, afin de lutter contre la perte et la banalisation des espèces, et de conserver la variété, la taille et la connectivité des espaces semi-naturels urbains. Dans ce contexte, les Conservatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) collaborent depuis 2014 avec l'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN) dans le but de proposer des outils cartographiques utiles à la prise en considération de cette ressource au travers des planifications directrices et localisées. L'écopotentialité est un lot d'indicateurs synthétique de l'état de la biodiversité pour un périmètre donnée (commune, quartier, zone d'affectation). Il a été réfléchi afin de mettre en avant les points forts et les points faibles de la zone d'étude et donc de faire un lien intéressant avec l'aménagement futur.
L'indice est construit sur la base de 8 indicateurs normalisés, c'est-à-dire que chaque plage de valeur des indicateurs est ramenée à une plage normée entre 0 et 1 de manière à permettre une représentation agrégée des 8 indicateurs:
1) Densité de toitures végétalisées (m2/m2) : évaluation de la proportion de surface de toiture végétalisée par rapport aux surfaces bâties d'un périmètre donné.
2) Surface perméable (%) : évaluation du pourcentage de surface de milieux perméables par rapport aux surfaces imperméables
3) Diversité des milieux verts : regroupement des milieux en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux verts.
4) Densité d'arbres (nb/ha): Nombre d'arbre issu de l'identification via des données LIDAR auxquels s'ajoutent les surfaces forestières (densité moyenne de 370 arbres/ha).
5) Fragmentation: Mesure la fragmentation du paysage par la présence de barrières physiques (routes, zones bâties, etc.) pour le déplacement de la faune et de la flore entre deux points.
6) Naturalité : Indice compris entre +/- l'infini, qui distingue les milieux qui ont conservé leurs qualités naturelles (valeurs positives élevées), des milieux affecté par les activités humaines (valeurs négatives élevées).
7) Diversité de milieux aquatiques et humides: regroupement des milieux aquatiques en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux aquatiques.
8) Surface milieux aquatiques: évaluation de la surface de milieu aquatique et humide occupés par rapport à la surface de la zone d'intérêt.
Les données de base utilisées lors des analyses sont notamment la carte des milieux naturels et la couche toitures végétalisées (SIPV_MN_CARTO_5, SIPV_EV_TOIT_VERT).
L'indice permet de faire un lien intéressant avec l'aménagement et la gestion du territoire en identifiant les facteurs manquants ou favorables à la biodiversité sur le périmètre considéré. Les périmètres d'étude vont de l'échelle de la commune, jusqu'à la zone d'aménagement (1500m2).
C'est pourquoi, cet indice a été intégré en annexe du guide de densification de la zone 5 (zone villa) publié par l'Office de l'urbanisme en 2017. Il est par ailleurs utilisé par les communes et leurs mandataires dans le cadre de la révision des plans directeurs communaux et des plans guides des Grands projets.
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INTERVENTIONS EN FORET
| PolygoneLes interventions réalisées par les techniciens forestiers sont indiquées dans cette couche. Cela permet de renseigner les tâches effectuées, si une planification est projetée où un objectif sylvicole est déterminé. Elles font parties du modèle de gestion GESFOR.
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Les murs, bien qu'étant des éléments artificiels du paysage sont des structures accueillant une grande richesse biologique : champignons, lichens, lézards, fougères, etc. y trouvent refuge. Les mousses notamment les utilisent comme support pour leur croissance, chaque type de mur (calcaire, béton, mortier, etc.) est favorable à des mousses bien spécifiques, ce qui explique en partie la richesse des espèces présentes sur le canton de Genève (plus de 300).
Malheureusement peu pris en considération, ces biotopes artificiels méritent une attention particulière de la part des chargés de l'aménagement du territoire, des services communaux mais aussi des particuliers.
En effet tous ces partenaires sont un jour confrontés à la question du nettoyage et de l'entretien des murs, des interventions qui peuvent conditionner la disparition des espèces qui s'y établissent.
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Les objets de l'inventaire des zones alluviales, ainsi que ceux qui ont été ajoutés ou modifiés par la suite dans le cadre de la mise à jour, ont été saisis puis cartographiés. Les objets cartographiés ont été scannés à partir de films transparents, puis vectorisés, géoréférencés et attribués. Les nouvelles surfaces ont été saisies par photogrammétrie à partir d'images aériennes infra-rouge.
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