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REG (RESEAU ECOLOGIQUE GENEVOIS) - CORRIDORS
| PolygoneLe réseau écologique genevois (REG) est fondé sur la notion de réseau écologique qui est elle-même étroitement liée à celles de dynamique des populations et d'interconnexion entre biotopes. En effet, des milieux naturels fonctionnels, connectés et maintenus durablement sont la condition pour préserver une biodiversité riche et résiliente et offrir des services écosystémiques qui contribuent pour une part essentielle à la prospérité et à la qualité de vie.
Dans ce cadre, il s'agit notamment de prendre en compte le plan d'action sectoriel des continuums et corridors écologiques dans sa version développée sous la forme du Réseau écologique genevois (REG 2014 annexé au préavis).
Il s'agit dans un premier temps de reporter en ajustant aux réalités de terrain les réservoirs de biodiversités, les corridors fonctionnels à préserver, les corridors à renforcer, de même que les points de conflits à assainir.
Une première version du REG a été établie est 2004. Dix ans après, l'ensemble des couches FFP_REG14 propose une mise à jour.
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Le réseau écologique genevois (REG) est fondé sur la notion de réseau écologique qui est elle-même étroitement liée à celles de dynamique des populations et d'interconnexion entre biotopes. En effet, des milieux naturels fonctionnels, connectés et maintenus durablement sont la condition pour préserver une biodiversité riche et résiliente et offrir des services écosystémiques qui contribuent pour une part essentielle à la prospérité et à la qualité de vie.
Dans ce cadre, il s'agit notamment de prendre en compte le plan d'action sectoriel des continuums et corridors écologiques dans sa version développée sous la forme du Réseau écologique genevois (REG 2014 annexé au préavis).
Il s'agit dans un premier temps de reporter en ajustant aux réalités de terrain les réservoirs de biodiversités, les corridors fonctionnels à préserver, les corridors à renforcer, de même que les points de conflits à assainir.
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Dans ce cadre, il s'agit notamment de prendre en compte le plan d'action sectoriel des continuums et corridors écologiques dans sa version développée sous la forme du Réseau écologique genevois (REG 2014 annexé au préavis).
Il s'agit dans un premier temps de reporter en ajustant aux réalités de terrain les réservoirs de biodiversités, les corridors fonctionnels à préserver, les corridors à renforcer, de même que les points de conflits à assainir.
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Dans ce cadre, il s'agit notamment de prendre en compte le plan d'action sectoriel des continuums et corridors écologiques dans sa version développée sous la forme du Réseau écologique genevois (REG 2014 annexé au préavis).
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Le réseau écologique genevois (REG) est fondé sur la notion de réseau écologique qui est elle-même étroitement liée à celles de dynamique des populations et d'interconnexion entre biotopes. En effet, des milieux naturels fonctionnels, connectés et maintenus durablement sont la condition pour préserver une biodiversité riche et résiliente et offrir des services écosystémiques qui contribuent pour une part essentielle à la prospérité et à la qualité de vie.
Dans ce cadre, il s'agit notamment de prendre en compte le plan d'action sectoriel des continuums et corridors écologiques dans sa version développée sous la forme du Réseau écologique genevois (REG 2014 annexé au préavis).
Il s'agit dans un premier temps de reporter en ajustant aux réalités de terrain les réservoirs de biodiversités, les corridors fonctionnels à préserver, les corridors à renforcer, de même que les points de conflits à assainir.
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RELEVE DE LA LISIERE FORESTIERE
| LigneLe cadastre forestier présente de manière indicative l'étendue de la forêt au sens de la législation forestière.
Sa mise à jour s'effectue par le biais de "constats" ou de "relevés de nature forestière" lors desquels l'appartenance des boisés à la forêt est constatée et la lisière précisément relevée sur les indications de l'inspecteur cantonal des forêts.
Les "constats de nature forestière" font l'objet de publications dans la FAO et comprennent des voies de recours.
Une fois la procédure dûment terminée, la lisière précisément relevée et validée est reportée sur le présent plan. Le pourtour du cadastre forestier est adapté en conséquence. La ligne de lisière représente ainsi la lisière ayant force de chose jugée, tout en conservant son caractère dynamique.
Les relevés n'ayant pas été publiés dans la FAO ne figurent pas sur cette couche.
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RESERVES NATURELLES ET PLANS DE SITE
| PolygoneCouche présentant les différents sites naturels du Canton, bénéficiant d'une protection légale en faveur de la nature.
Ces périmètres ont été définis sur la base d'inventaires fédéraux et cantonaux ou encore de connaissances d'experts. Ils ont été validés par Arrêtés du Conseil d'Etat.
Cette couche répertorie les deux grands types de protections de sites naturels du Canton, précise les bases légales de référence ainsi que la date d'adoption du périmètre par Arrêté du Conseil d'Etat. Ces deux types de protections sont :
- Les réserves naturelles : définies sur la base du règlement sur la protection du paysage, des milieux naturels et de la flore (RPPMF, L 4 05.11).
- Les plans de sites : définies sur la base de la loi sur la protection des monuments, de la nature et des sites (LPMNS, L 4 05).
Ces deux types de protection présentent plusieurs différences notoires, les principales étant listées ci-dessous :
Réserve naturelle Plan de site
Base légale L 4 05.11 (art.18 à 21) L 4 05 (art.38 à 41)
Validation Arrêté du Conseil d'Etat Arrêté du Conseil d'Etat
Mention au OUI, dans tous les cas (art.6) Possibilité (at. 64)
Registre Foncier
Durée de validité Illimité Illimité
Accord du OUI, nécessité d'obtenir Non, soumis à enquête
propriétaire un accord signé. public, plan de site
opposable au propriétaire.
Document de Plan de gestion Plan(s) et éventuellement
référence règlement.
Validité du 10 à 15 ans, en principe lllimité. Toute modification
document (pas de contrainte légale) engendre une nouvelle
référence approbation par le Conseil
d'Etat.
Restrictions Toute activité proscrite (art.19) Uniquement maintenir voire
sauf les travaux agricoles et améliorer l'état du site ou
sylvicoles compatibles avec le restrictions précisées dans
but de protection. un éventuel règlement.
Dérogations Activités autorisées Aucune
dans le plan de gestion (art.20)
Les réserves naturelles situées en forêt (soit dans le cadastre forestier selon la loi cantonale sur les forêts M 5 10 ) sont également des réserves forestières, au sens de l'article 36 de la loi cantonale sur les forêts (LForêts M 5 10).
- Les réserves intégrales ou sanctuaires forestiers, où toute exploitation de bois et gestion active de milieux naturels est proscrite, seuls les chemins sont sécurisés.
- Les réserves forestières, correspondent à un mode d'exploitation en taillis sous futaie. Ce type de réserve est historique et correspond à une volonté post seconde guerre mondiale de redéfinir durablement des zones d'exploitation plus traditionnelles et optimales d'un bois de qualité. Ce type de réserve n'est aujourd'hui plus utilisé.
- Les réserves biologiques à gestion dirigée, permettent le maintien de milieux particulièrement intéressants et diversifiés. Elles visent, par des interventions plus ou moins intensives à garantir la présence en forêt de certains milieux de types prairies ou zones humides, mais aussi d'associations phytosociologiques particulièrement rares comme les pinèdes à molinie. Ce type de réserve en forêt est le plus courant sur le canton.
L'accès au public à ces sites est indiqué sur place travers d'une signalisation adaptée reprenant les règles et usages pour chaque site. (art.23; RPPMF; L 4 05.11)
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RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
| ProduitCARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
Ce groupe contient les données suivantes :
- Perte en sol 1 tonne eil_perte_sol_1_tonne
- Perte en sol 2 tonnes eil_perte_sol_2_tonnes
- Perte en sol 4 tonnes eil_perte_sol_4_tonnes
CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (1 tonne)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (2 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (4 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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