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Le modèle régional profond (2019) est le résultat d'un travail de modélisation géologique à l'échelle régionale des unités principales de l'intervalle du Mésozoïque, réalisé par l'Université de Genève.
Ce modèle a été établi sur la base de l'état des connaissances du moment et s'appuie sur les données géophysiques (sismique réflexion) acquises sur le territoire jusqu'en 2016, ainsi que sur les données de forage disponibles jusqu'en 2018.
Différentes cartes ont été générées depuis ce modèle régional tridimensionnel et sont à disposition sur le portail du SITG. 2 types de produits y sont proposés:
1. Les données de bases (ayant servi à la construction du modèle géologiques 3D)
2. Les cartes géologiques (produits cartographiques extraits du modèle géologique 3D)
Le produit "Données de base" est constitué des couches suivantes :
- Forages utilisés dans le cadre du projet
- Lignes sismiques 2D
- Zone modélisée.
Par définition, un modèle géologique propose une vision et interprétation non-unique de la réalité qui, selon la sensibilité du modélisateur ainsi que la quantité, répartition et qualité des données et connaissances sur lesquelles il s'appuie, peut varier d'un auteur à l'autre.
Par ailleurs, ce type de modèle et les produits cartographiques qui en découlent sont inévitablement emprunts d'un certain degré d'incertitude inhérent au processus de modélisation géologique. Celui-ci résulte principalement du cumul des sources d'incertitude liées à la qualité et répartition des données de base, à leur interprétation et interpolation en 3 dimensions, ainsi qu'à la conversion en profondeur des objets modélisés.
LIDAR (acronyme anglais de Light Detection And Ranging, détection et télémétrie par ondes lumineuses) est une technique de télédétection optique qui utilise la lumière laser en vue d'un échantillonnage dense de la surface de la Terre, et produit des mesures 3D d'une grande précision.
Les données LIDAR produisent des jeux de données de nuage de points cotés.
Les données LiDAR 2021 de l'Etat de Genève sont issues d'un mandat de recherche sur une zone restreinte aux communes de Thônex et de Chêne-Bourg.
Elle ont la particularité d'avoir une haute densité de 175-220 points au mètre carré. La précision altimétrique est de +/- 4 cm sur surface dure et la précision planimétrique est estimée à 8cm environ.
Date de vol : 10 mars 2021
Une classification succincte a été réalisée automatiquement à partir des données LiDAR 2019.
Chaque point est classifié selon une classe dont les principales sont :
- 1 - Non classifié
- 2 - Sol
- 3 - Basse végétation (<50cm)
- 5 - Haute végétation (>50cm)
- 6 - Bâtiments
- 7 - Points bas ou isolés
- 9 - Eau
- 13 - Ponts, passerelles
- 15 - Sol (points complémentaires)
- 16 - Bruit
- 19 - Points mesurés hors périmètre de l'acquisition
Le morcellement des biens-fonds agricoles est soumis aux dispositions de la législation sur les améliorations foncières lorsqu'il s'agit de terrains compris dans le périmètre d'une entreprise de remaniement parcellaire. Cela ne concerne toutefois que les entreprises ayant bénéficié de l'allocation d'un subside fédéral après le 1er février 1955, date d'entrée en vigueur de l'interdiction de morceler prescrite par la loi fédérale sur l'agriculture du 3 octobre 1951
L'article 89 de la loi cantonale sur les améliorations foncières du 5 juin 1987 prescrit que sous réserve d'une autorisation du département, le morcellement de terrains agricoles remaniés est interdit sans limite dans le temps et quelle que soit la surface des parcelles à créer.
Cette interdiction s'applique uniquement aux terrains situés en tout ou en partie en zone agricole au sens de la législation sur l'aménagement du territoire.
Pour les autres parcelles agricoles, les morcellements sont soumis aux dispositions du droit foncier rural.
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Cette carte a pu être reconstituée grâce à l'assemblage et le géo-référencement de six cartes originales sur support papier, conservées aux Archives d'Etat de Genève (AEG). Les originaux ont été établis en octobre 1933 pour servir aux négociations franco-suisses relatives à la fixation de la limite intérieure de la zone sarde de 1816 Traité de Turin). Arrêté du ministre du budget de la République francaise du 15 décembre 1933 (annexe de Savoie 35).
Pour en savoir plus sur la série des plans annexes aux traités entre Genève et ses voisins, voir le descriptif du plan annexe du traité de Paris de 1749.
SECTEURS D'ETUDE CONCERNANT LES SURELEVATIONS DE BATIMENTS
Consultation par géoservices | Polygone15 secteurs représentant les 4 étapes de cartographie des cartes indicatives relatives à la surélévation de bâtiments.
Ces cartes ont été adoptées par le Conseil d'Etat.
Les bâtiment spécialement indiqués sur ces cartes sont susceptible d'être surélevés au sens des articles 23 et 27 de la LCI (loi 10088).
La couche des surélévations se repose sur les informations plus précises décrites dans le guide suivant:
https://www.ge.ch/document/surelevation-immeubles-logements-methode-evaluation
Cette carte est à disposition pour indiquer une potentialité de surélévation de certains immeubles.
AGGLO - ZONES D'EMPLOIS - INSEE 2010

AGGLO - ZONES D'EMPLOIS SELON INSEE EN 2010
Selon l'Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE), une zone d'emploi est un espace géographique à l'intérieur duquel la plupart des actifs résident et travaillent, et dans lequel les établissements peuvent trouver l'essentiel de la main d'oeuvre nécessaire pour occuper les emplois offerts. Les zones d'emploi cartographiées ne concernent que la partie francaise du Grand Genève.
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DLS - INDICE DU SENTIMENT D'INSECURITE PAR ZONE COUVERTE PAR LE DLS
Consultation par géoservices | PolygoneLe Diagnostic local de sécurité est un exercice trisannuel qui a débuté en 2004. Il était initialement concu comme un tableau de bord cantonal de la sécurité publique à Genève. Il s'est progressivement étendu à plusieurs communes du canton. En 2016, la Ville de Genève, Vernier, Meyrin, Carouge et Plan-les-Ouates participent à cet exercice.
L'indice d'insécurité montre le sentiment d'insécurité par zone du DLS.
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L'indice d'écopotentialité urbaine permet d'évaluer le degré potentiel de biodiversité d'un territoire. Il est constitué de 8 indicateurs et mesure la capacité d'accueil en biodiversité d'un milieu urbain en fonction de la présence de structures - naturelles ou aménagées - favorables à la biodiversité.
Dans le milieu urbain, la biodiversité est contrainte par l'influence humaine dans un contexte de mutation territoriale. Il existe donc un enjeu fort de conservation et d'aménagement des espaces verts en ville, afin de lutter contre la perte et la banalisation des espèces, et de conserver la variété, la taille et la connectivité des espaces semi-naturels urbains. Dans ce contexte, les Conservatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) collaborent depuis 2014 avec l'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN) dans le but de proposer des outils cartographiques utiles à la prise en considération de cette ressource au travers des planifications directrices et localisées. L'écopotentialité est un lot d'indicateurs synthétique de l'état de la biodiversité pour un périmètre donnée (commune, quartier, zone d'affectation). Il a été réfléchi afin de mettre en avant les points forts et les points faibles de la zone d'étude et donc de faire un lien intéressant avec l'aménagement futur.
L'indice est construit sur la base de 8 indicateurs normalisés, c'est-à-dire que chaque plage de valeur des indicateurs est ramenée à une plage normée entre 0 et 1 de manière à permettre une représentation agrégée des 8 indicateurs:
1) Densité de toitures végétalisées (m2/m2) : évaluation de la proportion de surface de toiture végétalisée par rapport aux surfaces bâties d'un périmètre donné.
2) Surface perméable (%) : évaluation du pourcentage de surface de milieux perméables par rapport aux surfaces imperméables
3) Diversité des milieux verts : regroupement des milieux en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux verts.
4) Densité d'arbres (nb/ha): Nombre d'arbre issu de l'identification via des données LIDAR auxquels s'ajoutent les surfaces forestières (densité moyenne de 370 arbres/ha).
5) Fragmentation: Mesure la fragmentation du paysage par la présence de barrières physiques (routes, zones bâties, etc.) pour le déplacement de la faune et de la flore entre deux points.
6) Naturalité : Indice compris entre +/- l'infini, qui distingue les milieux qui ont conservé leurs qualités naturelles (valeurs positives élevées), des milieux affecté par les activités humaines (valeurs négatives élevées).
7) Diversité de milieux aquatiques et humides: regroupement des milieux aquatiques en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux aquatiques.
8) Surface milieux aquatiques: évaluation de la surface de milieu aquatique et humide occupés par rapport à la surface de la zone d'intérêt.
Les données de base utilisées lors des analyses sont notamment la carte des milieux naturels et la couche toitures végétalisées (SIPV_MN_CARTO_5, SIPV_EV_TOIT_VERT).
L'indice permet de faire un lien intéressant avec l'aménagement et la gestion du territoire en identifiant les facteurs manquants ou favorables à la biodiversité sur le périmètre considéré. Les périmètres d'étude vont de l'échelle de la commune, jusqu'à la zone d'aménagement (1500m2).
C'est pourquoi, cet indice a été intégré en annexe du guide de densification de la zone 5 (zone villa) publié par l'Office de l'urbanisme en 2017. Il est par ailleurs utilisé par les communes et leurs mandataires dans le cadre de la révision des plans directeurs communaux et des plans guides des Grands projets.
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Les objets de l'inventaire des zones alluviales, ainsi que ceux qui ont été ajoutés ou modifiés par la suite dans le cadre de la mise à jour, ont été saisis puis cartographiés. Les objets cartographiés ont été scannés à partir de films transparents, puis vectorisés, géoréférencés et attribués. Les nouvelles surfaces ont été saisies par photogrammétrie à partir d'images aériennes infra-rouge.
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MACROPHYTES DU LAC - ZONES SENSIBLES

Les zones sensibles des macrophytes du lac sont issues du relevé des herbiers (Classe: LCE_HYB_MACROPHYTES_LAC_HERBE).
Les zones sensibles ont été définies comme celles regroupant des herbiers moyennement denses (11-50%) à denses (>50%) et la présence
d'espèces qualifiées ''d'intérêt'' parmi les espèces suivantes:
- Chara aspera
- Groenlandia densa
- Potamogeton crispus
- Potamogeton lucens
- Potamogeton x decipiens
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PERIMETRES DES ZONES INDUSTRIELLES FTI

Périmètre des zones industrielles gérées par la Fondation pour les terrains industriels de Genève.
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RDPPF - ZONES RESERVEES

La zone réservée désigne un territoire dans lequel des plans d'affectation doivent être élaborés ou adaptés. La décision de délimiter une zone réservée est prise par l'autorité compétente et déploie immédiatement des effets juridiques. À l'intérieur de ces zones, rien ne doit être entrepris qui puisse entraver l'établissement (futur) du plan d'affectation.
Une zone réservée permet, dans des périmètres identifiés par le plan directeur cantonal, de refuser à titre conservatoire pour un délai de cinq ans, les autorisations de construire qui prétériteraient des développements futurs.
Actuellement, il n'y a aucune zone réservée en vigueur.
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AGGLO - COURTES DISTANCES - AGREGATION ZONE MMT
Uniquement partenaires SITG | PolygoneÀ partir de bases de données d'équipements (STATENT, BPE, OSM, DonkeyRepublic et d'autres) au sein du territoire de l'agglomération, des bassins de chalandises ont été attribués aux types d'équipements pour ensuite qualifier un carroyage de 25 mètres au sein de l'ensemble du territoire du Grand Genève.
Un traitement par clustering des carreaux a ensuite permis d'établir une typologie de territoire en 7 catégories.
Les 7 catégories établies
- Territoire de proximité intense
- Territoire de proximité
- Territoire de proximité réduite
- Equipement basique
- Equipement faible
- Polarité ferroviaire peu équipée
- Zone de nature
rendent compte à la fois de la densité et l'abondance d'équipements de même que de leur variété.
Cette couche contient la typologie prédominante au niveau de la zone MMT.
Cette couche permet de visualiser les différence de l'affectation du sol du Grand Genève entre 2010 et 2014.
Référez vous aux couches originales AGGLO_ZONE_AFF_SIMPLIFIEE et leur millésimes pour plus de détails sur la méthodologie.
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Cette couche permet de visualiser les différence de l'affectation du sol du Grand Genève entre 2015 et 2020.
Référez vous aux couches originales AGGLO_ZONE_AFF_SIMPLIFIEE et leur millésimes pour plus de détails sur la méthodologie.
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