Catalogue
Les données montrent la vitesse du vent (en m/s) dans le canton de Genève qui a été modélisé avec le modèle climatique urbain FITNAH-3D. Les résultats sont basés sur une résolution spatiale horizontale de 10 m et sur une situation météorologique estivale autochtone (condition météorologique de rayonnement à vent faible). Ils sont valables pour la zone de résidence humaine à 2 m du sol et représentent la situation de nuit à 4:00 heures (refroidissement maximal). Le paramètre climatique est considéré à la fois dans sa caractéristique actuelle et future (y compris le changement climatique et le développement futur).
Les augmentations de température supposées pour les périodes futures se réfèrent aux résultats des scénarios climatiques pour la Suisse (CH2018). Les hausses de température correspondent au signal de changement estival moyen du scénario RCP 8.5 pour l'Ouest de la Suisse.
Le produit est constitué d'un raster par période climatique.
Période climatique:
P1: période future 2020-2049 ("2035") -> + 1,5 °C par rapport à P0
Scénario de développement:
P1, P2 et P3: occupation des sols avec les projets qui devraient être réalisés d'ici 2035
Pour les zones hors canton, les données de base relatives à la couverture du sol ont une précision inférieure à Genève. Les arbres isolés et les surfaces d'imperméabilisation autour des bâtiments, deux facteurs qui influencent les paramètres climatiques, n'ont pas pu être intégrés au modèle d'analyse. Il s'agit dès lors de considérer les données hors canton avec prudence.
Rappel : conformément aux CGU, les informations relatives à l'analyse climatique sont sans valeur juridique.
Les données montrent la vitesse du vent (en m/s) dans le canton de Genève qui a été modélisé avec le modèle climatique urbain FITNAH-3D. Les résultats sont basés sur une résolution spatiale horizontale de 10 m et sur une situation météorologique estivale autochtone (condition météorologique de rayonnement à vent faible). Ils sont valables pour la zone de résidence humaine à 2 m du sol et représentent la situation de nuit à 4:00 heures (refroidissement maximal). Le paramètre climatique est considéré à la fois dans sa caractéristique actuelle et future (y compris le changement climatique et le développement futur).
Les augmentations de température supposées pour les périodes futures se réfèrent aux résultats des scénarios climatiques pour la Suisse (CH2018). Les hausses de température correspondent au signal de changement estival moyen du scénario RCP 8.5 pour l'Ouest de la Suisse.
Le produit est constitué d'un raster par période climatique.
Période climatique:
P2: période future 2045-2074 ("2060") -> + 2,6 °C par rapport à P0
Scénario de développement:
P1, P2 et P3: occupation des sols avec les projets qui devraient être réalisés d'ici 2035
Pour les zones hors canton, les données de base relatives à la couverture du sol ont une précision inférieure à Genève. Les arbres isolés et les surfaces d'imperméabilisation autour des bâtiments, deux facteurs qui influencent les paramètres climatiques, n'ont pas pu être intégrés au modèle d'analyse. Il s'agit dès lors de considérer les données hors canton avec prudence.
Rappel : conformément aux CGU, les informations relatives à l'analyse climatique sont sans valeur juridique.
Les données montrent la vitesse du vent (en m/s) dans le canton de Genève qui a été modélisé avec le modèle climatique urbain FITNAH-3D. Les résultats sont basés sur une résolution spatiale horizontale de 10 m et sur une situation météorologique estivale autochtone (condition météorologique de rayonnement à vent faible). Ils sont valables pour la zone de résidence humaine à 2 m du sol et représentent la situation de nuit à 4:00 heures (refroidissement maximal). Le paramètre climatique est considéré à la fois dans sa caractéristique actuelle et future (y compris le changement climatique et le développement futur).
Les augmentations de température supposées pour les périodes futures se réfèrent aux résultats des scénarios climatiques pour la Suisse (CH2018). Les hausses de température correspondent au signal de changement estival moyen du scénario RCP 8.5 pour l'Ouest de la Suisse.
Le produit est constitué d'un raster par période climatique.
Période climatique:
P3: période future 2070-2099 ("2085") -> + 4,6 °C par rapport à P0
Scénario de développement:
P1, P2 et P3: occupation des sols avec les projets qui devraient être réalisés d'ici 2035
Pour les zones hors canton, les données de base relatives à la couverture du sol ont une précision inférieure à Genève. Les arbres isolés et les surfaces d'imperméabilisation autour des bâtiments, deux facteurs qui influencent les paramètres climatiques, n'ont pas pu être intégrés au modèle d'analyse. Il s'agit dès lors de considérer les données hors canton avec prudence.
Rappel : conformément aux CGU, les informations relatives à l'analyse climatique sont sans valeur juridique.
CARTE DU NIVEAU D'EXPOSITION A LA BISE (VENT DU NE)
Uniquement partenaires SITG | RasterLe niveau d'exposition à la bise à été obtenu en éclairant le relief avec une source lumineuse orientée à 45° (N-E). Les zones claires sont exposées.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
CARTE PRECOCITES VIGNOBLES - DONNEES VITICULTEURS
Uniquement partenaires SITG | RasterCARTE DES PRECOCITES DES VIGNOBLES ETABLIE PAR LES DONNEES DES VITICULTEURS
La carte montre les zones précoces et tardives dessinées par 29 producteurs et digitalisées sous format informatique.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
L'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25x25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte COMPOSITION traite des donnnées d'observation d'espèces faune et flore et de la composition en milieux naturels.
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent que la zone se situe dans un cold spot de biodiversité.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des hot spot de biodiversité.
L'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte CONNECTIVITE traite des donnnées d'analyse de connectivité pour des espèces faunistiques (cerf, crapaud commun, lièvre) et de trame noire.
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent des éléments du territoire dont la connectivité a été dégradée, susceptibles d'empêcher les espèces de se déplacer.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des éléments favorable à la connectivité des espèces.
l'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte SERVICE ECOSYSTEMIQUE traite des bienfaits rendus par la nature en lien avec la biodiversité (séquestration du carbone, abondance des pollinisateurs, régulation du microclimat, contrôle de l'érosion, protection contre les crues, cultures intéressantes pour la biodiversité, qualité de l'eau et de l'air).
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent que peu de service sont rendu.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fournis de nombreux services différents.
l'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte STRUCTURE traite des donnnées de structure du paysage à savoir des indices basés sur la carte des milieux naturels de Genève tells que la fragmentation des milieux, la perméabilité, la naturalité ou encore la diversité des milieux.
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent des éléments du territoire dont la fonctionnalité a été dégradée, susceptibles d'empêcher les espèces de se déplacer.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des éléments favorable à la fonctionnalité des habitats.
l'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
Il s'agit de mettre en périmètre protégé 17% de zone terrestre de haute qualité biologique. Toutefois, pour assurer la protection de la biodiversité cantonale, ces hotspots ne se suffisent pas. En effet, selon le Forum Biodiversité Suisse 13 % de zone supplémentaire sont encore nécessaires pour assurer une mise en réseau cohérente, mais aussi la fonctionnalité des écosystèmes et fournir des services écosystémique (SE) tout en participant à la prospérité économique, sociale et environnementale de la population.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle afin d'en estimer la qualité, en compilant des informations d'habitat, de richesse spécifique de structure et fonction des écosystèmes et de service écosystémique.
La carte DIAGNOSTIC BIODIVERSITE est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent que la zone se situe dans un cold spot de biodiversité pour lequel apporter une amélioration serait bénéfique.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des objectifs de protection pour laquelle il faudra être vigilant si un projet d'aménagement voit le jour. Les zones de valeurs intermédiaires n'ont pas moins d'intérêt puisqu'elles peuvent être à l'interface entre des zones de haute qualité et venir les dégrader risquerait de com
Le Modèle Numérique de Surface (MNS) ou Modèle numérique d'Elévation (MNE) est un modèle tridimensionnel représentant, sous forme numérique, le relief d'une portion de territoire, incluant les bâtiments et la végétation.
Ce MNS est le résultat de l'agrégation d'une acquisition LiDAR datant de 2013 pour la partie Suisse du Grand Genève et de 2014 pour la partie Française. Cela peut expliquer certaines incohérence sur les zones proches de la frontière, par exemple sur les zones en chantier.
Le Modèle Numérique de Terrain (MNT) ou Modèle numérique d'Elévation (MNE) est un modèle tridimensionnel représentant, sous forme numérique, le relief d'une portion de territoire, incluant les bâtiments et la végétation.
Ce MNT est le résultat de l'agrégation d'une acquisition LiDAR datant de 2013 pour la partie Suisse du Grand Genève et de 2014 pour la partie Française. Cela peut expliquer certaines incohérence sur les zones proches de la frontière, par exemple sur les zones en chantier.
Le modèle régional profond (2019) est le résultat d'un travail de modélisation géologique à l'échelle régionale des unités principales de l'intervalle du Mésozoïque, réalisé par l'Université de Genève.
Ce modèle a été établi sur la base de l'état des connaissances du moment et s'appuie sur les données géophysiques (sismique réflexion) acquises sur le territoire jusqu'en 2016, ainsi que sur les données de forage disponibles jusqu'en 2018.
Différentes cartes ont été générées depuis ce modèle régional tridimensionnel et sont à disposition sur le portail du SITG. 2 types de produits y sont proposés:
1. Les données de bases (ayant servi à la construction du modèle géologiques 3D)
2. Les cartes géologiques (produits cartographiques extraits du modèle géologique 3D)
Le produit "Données de base" est constitué des couches suivantes :
- Forages utilisés dans le cadre du projet
- Lignes sismiques 2D
- Zone modélisée.
Par définition, un modèle géologique propose une vision et interprétation non-unique de la réalité qui, selon la sensibilité du modélisateur ainsi que la quantité, répartition et qualité des données et connaissances sur lesquelles il s'appuie, peut varier d'un auteur à l'autre.
Par ailleurs, ce type de modèle et les produits cartographiques qui en découlent sont inévitablement emprunts d'un certain degré d'incertitude inhérent au processus de modélisation géologique. Celui-ci résulte principalement du cumul des sources d'incertitude liées à la qualité et répartition des données de base, à leur interprétation et interpolation en 3 dimensions, ainsi qu'à la conversion en profondeur des objets modélisés.
LIDAR (acronyme anglais de Light Detection And Ranging, détection et télémétrie par ondes lumineuses) est une technique de télédétection optique qui utilise la lumière laser en vue d'un échantillonnage dense de la surface de la Terre, et produit des mesures 3D d'une grande précision.
Les données LIDAR produisent des jeux de données de nuage de points cotés.
Les données LiDAR 2021 de l'Etat de Genève sont issues d'un mandat de recherche sur une zone restreinte aux communes de Thônex et de Chêne-Bourg.
Elle ont la particularité d'avoir une haute densité de 175-220 points au mètre carré. La précision altimétrique est de +/- 4 cm sur surface dure et la précision planimétrique est estimée à 8cm environ.
Date de vol : 10 mars 2021
Une classification succincte a été réalisée automatiquement à partir des données LiDAR 2019.
Chaque point est classifié selon une classe dont les principales sont :
- 1 - Non classifié
- 2 - Sol
- 3 - Basse végétation (<50cm)
- 5 - Haute végétation (>50cm)
- 6 - Bâtiments
- 7 - Points bas ou isolés
- 9 - Eau
- 13 - Ponts, passerelles
- 15 - Sol (points complémentaires)
- 16 - Bruit
- 19 - Points mesurés hors périmètre de l'acquisition
Le morcellement des biens-fonds agricoles est soumis aux dispositions de la législation sur les améliorations foncières lorsqu'il s'agit de terrains compris dans le périmètre d'une entreprise de remaniement parcellaire. Cela ne concerne toutefois que les entreprises ayant bénéficié de l'allocation d'un subside fédéral après le 1er février 1955, date d'entrée en vigueur de l'interdiction de morceler prescrite par la loi fédérale sur l'agriculture du 3 octobre 1951
L'article 89 de la loi cantonale sur les améliorations foncières du 5 juin 1987 prescrit que sous réserve d'une autorisation du département, le morcellement de terrains agricoles remaniés est interdit sans limite dans le temps et quelle que soit la surface des parcelles à créer.
Cette interdiction s'applique uniquement aux terrains situés en tout ou en partie en zone agricole au sens de la législation sur l'aménagement du territoire.
Pour les autres parcelles agricoles, les morcellements sont soumis aux dispositions du droit foncier rural.
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