Catalogue
TOITS DES BATIMENTS
| PolygoneEmprises des toitures des bâtiments hors-sol, permettant la visualisation des formes de toitures et l'orientation des faces de celles-ci.
Ces informations proviennent de la numérisation 3D des bâtiments
Voir également la classe d'entités CAD_BATIMENTS_HORSOL_TOIT_SP
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TRACE DES LIGNES SISMIQUES 2D
| LigneLa carte des lignes sismiques représente le tracé en surface des profils sismiques 2D réalisés sur le territoire dans le cadre de différentes campagnes d'acquisition.
Le principe de cette méthode géophysique dite de "sismique réflexion" consiste à dresser une image acoustique du sous-sol à partir de l'enregistrement du temps et de l'intensité de retour d'un signal acoustique propagé dans le sous-sol à partir d'une source artificielle en surface, le plus souvent par le biais de camions vibreurs.
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VERANDAS
| PolygoneLa véranda (ou jardin d'hiver) est englobée dans l'emprise du bâtiment hors-sol attenant. Elle est également décrite dans cette couche de données comme un objet divers surfacique Véranda.
Les critères cumulatifs définissant une véranda sont:
- surface brute inférieur à 20 m2,
- entièrement vitrée, y compris la toiture (remontée en dur depuis le sol de 40 cm autorisée) et structure légère,
- non chauffée, avec une fermeture physique entre la véranda et l'habitation (porte-fenêtre).
En dehors de ces critères, la construction est considérée comme un agrandissement du bâtiment hors-sol attenant ou, le cas échéant, comme un bâtiment indépendant.
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VERROUILLE EN 2018 - ESPACES VERTS GRANGE (1896-1911)
Données réservées métiers | PolygoneLes espaces verts ont été digitalisés sur base des limites des autres couches précédemment digitalisées (bâtiments, réseau viaire, parcelles).
Différentes sources ont permis l'identification des espaces verts :
- le recensement des parcs et jardins historiques de Suisse réalisé par l'ICOMOS ;
- le plan Grange
- les plans de ville de l'époque (Mayer 1875 et Briquet 1915)
- l'orthophoto de 1932
- la couche de couverture du sol actuelle
- le plan Billon
L'inventaire de l'ICOMOS a été utilisé prioritairement et a permis d'identifier la majorité des espaces verts. Le plan Grange a permis de localiser certains arbres et talus, tandis que les plans de ville de l'époque (Mayer et Briquet) ont surtout facilité la localisation des alignements d'arbres. L'orthophoto de 1932 et la couche de couverture du sol actuelle ont permis la localisation des espaces arborés. Quant au plan Billon, il a confirmé la présence de jardins en vieille ville. Un avis extérieur de la part du service des espaces verts de la ville de Genève a permis de confirmer l'identification de certains objets. La source de l'identification de chaque espace est reprise dans la table attributaire.
VISIBILITE DE L'ECLAIRAGE ARTIFICIEL
| RasterLa couche « Visibilité de l'éclairage artificiel » représente pour chaque pixel du territoire le nombre de sources lumineuses visibles la nuit.
Ce modèle prend en compte la topographie tridimensionnelle, un paramètre de décalage vertical par rapport au sol (1 m) et un rayon d'analyse (250 m), représentant le rayon pour lequel la lumière est considérée comme potentiellement impactante pour la faune terrestre.
Les données de base utilisées pour aboutir à ce résultat sont : images satellites jilin-1 (2021) à partir de laquelle sont obtenues les sources lumineuses, les modèles numériques de surface et de terrain de l'agglomération (2019) ainsi que les données d'éclairage public de la ville de Genève (SIG).
Cette donnée est la base de la couche dérivée « Continuum nocturne » (FFP_CONTINUUM_NOCTURNE).
Cette donnée est issue d'un travail réalisé par la Haute Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'Architecture de Genève (HEPIA) à l'institut de recherche Terre-Nature-Environnement (InTNE).
Il fait suite au travail de référence publié en collaboration avec l'Université de Genève et l'Office cantonale de l'agriculture et de la nature: https://doi.org/10.1016/j.rsase.2019.100268
Auteurs de la donnée : Laurent Huber, Jessica Ranzoni sous la supervision de Claude Fischer / HEPIA
ZONES D'AFFECTATION
| PolygoneLa couche des zones d'affectation a été mise à jour suite à l'introduction du cadastre des restrictions de droit public à la propriété foncière (RDPPF) à Genève.
Certaines géométries ont été ajustées et certaines zones adaptées pour être mises en conformité avec les documents légaux cantonaux et fédéraux.
De ce fait, les surfaces ont pu légèrement évolués.
Cette couche est issue d'une agrégation des couches du cadastre RDPPF relatives aux zones d'affectation primaires et aux périmètres superposés des zones de développement (RDPPF_ZONES_PRIM et RDPPF_ZONES_DEV).
Pour déterminer l'affectation du sol sur l'ensemble du territoire cantonal, celui-ci est réparti en zones, dont les périmètres sont fixés par des plans annexés à la loi d'application de la loi fédérale sur l'aménagement du territoire.
Il y a trois catégories de zones:
- les zones ordinaires
- les zones de développement
- les zones protégées
Le plan de zones fixe pour chaque périmètre les dispositions d'aménagement qui lui sont liées (affectations autorisées, types de constructions, etc.).
On peut ainsi citer les zones 1,2 et 3 du centre urbain, principalement destinées aux grandes maisons d'habitation, aux commerces et autres activités du secteur tertiaire, les zones 5 destinées aux villas, les zones industrielles et artisanales, les zones de verdure etc.
Le projet permet la saisie, la mise à jour, la gestion et la diffusion des plans de zones du canton ainsi que des données quantitatives et qualitatives qui lui sont liées.
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Recensement des zones limitées à 20 ou 30 km/h sur l'ensemble du canton.
Les zones limitées sont signalées par de la signalisation lumineuse et des marquages au sol.
Chaque zone fait l'objet d'un arrêté de circulation pour sa mise en place.
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ZONES DE RESTRICTION - DRONES
Consultation par géoservices | PolygoneZONES DE RESTRICTION DE SURVOL PAR DES DRONES
Cette couche contient les zones de restriction de survol par des drones : restrictions aéronautiques (vol interdit à une altitude supérieure de 150 mètre du sol, Vol interdit à moins de 5 kilomètres des pistes de l'aéroport), Vol interdit à moins de 300 mètres d'un bâtiments/lieux publics, vol interdit dans les zones protégées (OROEM, réserves naturelles).
Dans chacun des cas, une autorisation peut être délivrée par le service concerné.
Voir le site internet des demande d'autorisation de survol des drones:
https://www.ge.ch/faire-voler-drone-geneve/quelles-autorisations-vol-drone
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ZONES DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL
Uniquement partenaires SITG | RasterZONE DE LA CARTE DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL ET NON DESSINEE PAR LES VITICULTEURS
Certaine zones du vignoble n'ayant pas été prise en considération par les viticulteurs interrogés, elles ont été obtenues par calcul.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
ZONES INSTABLES
| PolygoneOn distingue trois types d'instabilités :
Les glissements superficiels
Dans les pentes où la couche superficielle se trouve en état d'équilibre limite, une dégradation temporaire de la qualité du sol, par saturation lors de pluies notamment, entraîne soit des écoulements sans limites nettes (solifluxion), soit des glissements avec des arrachements superficiels mettant à nu la surface.
Les glissements profonds
Les glissements profonds sont caractérisés par la présence de niches d'arrachement, généralement multiples, bien marquées, avec un déplacement d'une masse de matériaux meubles ou rocheux le long d'une ou de plusieurs surfaces de glissement situées en profondeur et de moindre résistance.
Les éboulements
Ce phénomène s'observe généralement dans les falaises d'alluvion ancienne ou de moraine limoneuse à cailloux très compacte.
Progressivement, dans un processus lent, les zones d'éboulement se couchent et peuvent devenir des glissements superficiels avant de se stabiliser.
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