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RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
| ProduitCARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
Ce groupe contient les données suivantes :
- Perte en sol 1 tonne eil_perte_sol_1_tonne
- Perte en sol 2 tonnes eil_perte_sol_2_tonnes
- Perte en sol 4 tonnes eil_perte_sol_4_tonnes
CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (1 tonne)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (2 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (4 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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TEXTURE DES SOLS CULTIVES
| PointLa texture est une caractéristique fondamentale du sol. Elle est essentielle pour l'évaluation de la qualité, de la fertilité et de l'aptitude culturale des sols. Elle est mesurée sur la fraction minérale fine (diamètre inférieur à 2000 µm) et se détermine en classant les particules minérales du sol en trois catégories de diamètres prédéfinis :
- les argiles ont un diamètre inférieur à 2 µm
- les silts ont un diamètre compris entre 2 et 50 µm
- les sables ont un diamètre compris en 50 et 2000 µm
Les échantillons analysés par la méthode de la pipette dans une colonne de sédimentation sont des échantillons moyens représentatifs de la parcelle agricole. L'échantillon moyen est constitué d'au moins dix carottes de sol, prélevées entre 2 et 20 cm de profondeur. Chaque point de la couche texture des sols cultivés représente une surface d'environ un hectare.
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CLASSIFICATION DU SOL 2005 - AUTRES
Uniquement partenaires SITG | RasterL'intensité du signal laser en retour a été mesurée lors de l'acquisition du Modèle Numérique de Terrain (MNT).
A partir de cette information et de l'altitude du point mesuré par rapport à son entourage, une classification semi-automatique a permis de répartir les objets des Modèle Numérique de Terrain (MNT) et Modèle Numérique de Surface (MNS) dans catégories suivantes :
- bâtiments
- ponts
- terrain
- végétation
- autre
Date d'acquisition : 2005
Méthode d'acquisition : Méthode LIDAR en fonction de l'intensité du signal mesuré et d'autres paramètres
CLASSIFICATION DU SOL 2005 - BATIMENTS
Uniquement partenaires SITG | RasterL'intensité du signal laser en retour a été mesurée lors de l'acquisition du Modèle Numérique de Terrain (MNT).
A partir de cette information et de l'altitude du point mesuré par rapport à son entourage, une classification semi-automatique a permis de répartir les objets des Modèle Numérique de Terrain (MNT) et Modèle Numérique de Surface (MNS) dans catégories suivantes :
- bâtiments
- ponts
- terrain
- végétation
- autre
Date d'acquisition : 2005
Méthode d'acquisition : Méthode LIDAR en fonction de l'intensité du signal mesuré et d'autres paramètres
CLASSIFICATION DU SOL 2005 - PONTS
Uniquement partenaires SITG | RasterL'intensité du signal laser en retour a été mesurée lors de l'acquisition du Modèle Numérique de Terrain (MNT).
A partir de cette information et de l'altitude du point mesuré par rapport à son entourage, une classification semi-automatique a permis de répartir les objets des Modèle Numérique de Terrain (MNT) et Modèle Numérique de Surface (MNS) dans catégories suivantes :
- bâtiments
- ponts
- terrain
- végétation
- autre
Date d'acquisition : 2005
Méthode d'acquisition : Méthode LIDAR en fonction de l'intensité du signal mesuré et d'autres paramètres
CLASSIFICATION DU SOL 2005 - TERRAIN
Uniquement partenaires SITG | RasterL'intensité du signal laser en retour a été mesurée lors de l'acquisition du Modèle Numérique de Terrain (MNT).
A partir de cette information et de l'altitude du point mesuré par rapport à son entourage, une classification semi-automatique a permis de répartir les objets des Modèle Numérique de Terrain (MNT) et Modèle Numérique de Surface (MNS) dans catégories suivantes :
- bâtiments
- ponts
- terrain
- végétation
- autre
Date d'acquisition : 2005
Méthode d'acquisition : Méthode LIDAR en fonction de l'intensité du signal mesuré et d'autres paramètres
CLASSIFICATION DU SOL 2005 - VEGETATION
Uniquement partenaires SITG | RasterL'intensité du signal laser en retour a été mesurée lors de l'acquisition du Modèle Numérique de Terrain (MNT).
A partir de cette information et de l'altitude du point mesuré par rapport à son entourage, une classification semi-automatique a permis de répartir les objets des Modèle Numérique de Terrain (MNT) et Modèle Numérique de Surface (MNS) dans catégories suivantes :
- bâtiments
- ponts
- terrain
- végétation
- autre
Date d'acquisition : 2005
Méthode d'acquisition : Méthode LIDAR en fonction de l'intensité du signal mesuré et d'autres paramètres
BATIMENTS SOUTERRAINS
| PolygoneLes bâtiments sous-sol sont des constructions durables, établies sous le sol pour au moins la moitié de leur surface et servent à l'habitat, à l'artisanat ou à l'industrie au sens large.Le sous-sol d'une construction hors-sol n'est cadastré que s'il dépasse de manière significative l'enveloppe du bâtiment hors-sol; dans le cas contraire l'attribut NIVEAUX_SSOL (nombre de niveaux sous-sol) du bâtiment hors-sol informe de la présence de sous-sol.
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CARTE DE LA SOMME DES RADIATIONS DE JUIN A AOUT
Uniquement partenaires SITG | RasterLa radiation potentielle à été modélisée par un outil standard qui tient compte de la pente, de l'orientation et des ombres portées.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
POTENTIEL PHOTOVOLTAÏQUE (PV) PAR BATIMENT
| PolygoneProduit secondaire.
La couche du potentiel photovoltaïque par bâtiment (EGID) représente et regroupe les informations relatives au potentiel d'énergie PV. Il est basé sur le potentiel solaire dont l'irradiation est au minimum de 800 kWh/m2/an sur les toitures, tenant compte des ombrages, de la pente et de l'orientation (cf. données relatives à la répartition surfacique de ce potentiel dans la couche OCEN_SOLAIRE_BASE_BATIMENT). Le seuil de 800 kWh/m2/an est choisi de sorte une garantir une production et rentabilité économique minimale. Cela permet d'éliminer les zones d'ombrages majeures, tout en laissant à disposition une grande partie des toitures, y compris celles orientées nord mais faiblement inclinées.
La couche fournit les informations de potentiels sur la quantité d'énergie annuelle, la puissance électrique de crête, la surfaces des capteurs, le potentiel d'autoconsommation de l'électricité, les émissions de GES évitées, les données économiques (frais d'investissement, charges, recettes).
Ces données sont calculées dans le cas d'une rentabilité économique optimale (temps de retour sur investissement) liée à l'autoconsommation du courant produit, tenant compte des tarifs d'achat et de revente de l'électricité en vigueur dans les différentes parties du Grand Genève.
L'élaboration de cette couche s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier a permis à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève incluant le canton de Genève, le District de Nyon et les communes francaises limitrophes des départements de l'Ain et de Haute Savoie.
Le cadastre solaire a été calculé sur le Grand Genève en juin 2019 (sur la base des données LIDAR 2017 Genève, 2014 France, 2015 Vaud), puis mis à jour en janvier 2022 uniquement sur le District de Nyon avec les données LIDAR de 2019. Les données calculées ne tiennent pas compte de bâtiments construits après ces dates.
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SUPERSTRUCTURES DES TOITS DES BATIMENTS
| PolygoneEmprises des superstructures en toitures des bâtiments hors-sol, permettant la visualisation des formes des superstructures et les positions de celles-ci.
Ces informations proviennent de la numérisation 3D des bâtiments
Voir également la classe d'entités CAD_BATIMENTS_HORSOL_TOIT
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TOITS DES BATIMENTS
| PolygoneEmprises des toitures des bâtiments hors-sol, permettant la visualisation des formes de toitures et l'orientation des faces de celles-ci.
Ces informations proviennent de la numérisation 3D des bâtiments
Voir également la classe d'entités CAD_BATIMENTS_HORSOL_TOIT_SP
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