Catalogue
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain. Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Juin 2009
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun casune carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain. Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Août 2012
Veuillez noter que la partie francaise de l'agglomération n'est pas disponible en mode de diffusion Open Data.
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun casune carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain. Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Juillet 2015
Veuillez noter que la partie francaise de l'agglomération n'est pas disponible en mode de diffusion Open Data.
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain.
Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Juillet 2018
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain.
Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Septembre 2021
La Direction de la mensuration officielle (DMO), en partenariat avec l'institut national français de l'information géographique (IGN), a procédé à près de 1000 clichés aériens nocturnes couvrant une surface au sol de 700 km2 sur le canton de Genève et une partie de la France voisine.
Véritable prouesse technique permettant d'appréhender le territoire sous un nouvel angle.
Les résultats de ce travail permettront, à terme, de mieux gérer et planifier les réseaux d'éclairage public, de favoriser les économies d'énergie et de réduire les nuisances lumineuses sur certaines espèces de la faune et de la flore sauvages.
Les photos aériennes nocturnes offrent au final un nouveau regard sur le territoire, en complément des nombreuses représentations diurnes déjà à disposition.
Le vol pour l'acquisition des images a été réalisé dans la nuit du 14 au 15 avril 2013 entre 23h00 et 03h30 à 4200m d'altitude.
Résolution du pixel au sol de 40 cm.
Les orthophotos sont issues du couple caméra multi-spectrale et caméra panchromatique, de focales respectives 60mm et 120mm. La caméra IGN V2 grand format développée par l'IGN a été utilisée.
Date d'acquisition : Avril 2013
OUVRAGES ART 3D (3D)
| ProduitLes ouvrages d'art 3D sont des modélisations numériques 3D texturées de ponts, passerelles, tunnels et tranchées couvertes du Canton.
Deux types de modélisations :
Modélisation géométrique : non texturé, ce modèle divise l'ouvrage en 6 classes d’entités distinctes :
- STRUCTURE_PORTEUSE
- TABLIER
- TUBE
- PORTAIL
- ELEMENT_COMPLEMENTAIRE
- SOL
Modélisation texturée : l'ouvrage est composé d'un unique maillage texturé soit avec des photos prises sur site, soit avec des aplats de couleur fidèles à la couleur réelle de l’ouvrage.
Actuellement, 140 ouvrages d'art 3D sont disponibles.
Les ouvrages d'infiltration, ponctuels ou linéaires, permettent d'infiltrer les eaux de pluies progressivement dans le sol, ce qui se rapproche le plus d'une circulation naturelle des eaux, avec un apport aux cours d'eau différé et étalé dans le temps, les préservant au mieux de l'érosion des petites et moyennes crues, et soutenant leurs débits en période d'étiage.
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Les ouvrages d'infiltration, ponctuels ou linéaires, permettent d'infiltrer les eaux de pluies progressivement dans le sol, ce qui se rapproche le plus d'une circulation naturelle des eaux, avec un apport aux cours d'eau différé et étalé dans le temps, les préservant au mieux de l'érosion des petites et moyennes crues, et soutenant leurs débits en période d'étiage.
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Les souterrains des anciennes fortifications (XVIe-XVIIIe siècle) ont été digitalisés sur la base de plans d'origine et de relevés anciens (XVIIIe-XXe siècle), de relevés effectués dans les années 1970 par le Service cantonal de géologie, de reconstitutions hypothétiques (Louis Blondel et Anastazja Winiger-Labuda) et de relevés réalisés dans les années 2010-2020 par la Direction de l'information du territoire, par mandat (Hydro-Geol, Archéotech) ou en collaboration avec la Brigade Recherches et Technique du Département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS).
Le plan mis ici à disposition résulte par conséquent de l'association de sources très diverses, certaines ne présentant pas une fiabilité absolue.
Néanmoins, les relevés dressés du XVIIIe siècle aux années 1970 ont été analysés, confrontés, comparés et géolocalisés, afin de proposer une hypothèse la plus probable.
Par ailleurs, faute de relevés, une partie du réseau est purement hypothétique, son tracé résulte des logiques du plan d'ensemble et d'emprunts aux caractéristiques des ouvrages connus.
Ces distinctions sont clairement identifiées dans la table attributaire.
La connaissance des souterrains des anciennes fortifications est essentiellement celle des espaces de circulation. Les structures maconnées dans lesquelles ceux-ci s'insèrent sont en revanche très mal connues. Des photographies anciennes et des constats opérés à l'occasion de travaux permettent d'imaginer que les gaines atteignent jusqu'à deux mètres d'épaisseur (ouvrages de 4 à 5 m de largeur en tout) et peuvent se développer en hauteur quasiment jusqu'à la surface (en fonction des démolitions opérées au XIXe siècle).
La couche distingue par conséquent une «emprise bâtie supposée» (2D).
Les premiers éléments de cette couche ont été rassemblés en 2021 par M. Francois Florimond Fluck, dans le cadre d'un stage organisé conjointement par la Direction de l'information du territoire et le Service de l'inventaire des monuments d'art et d'histoire.
La couche publiée a été réalisée en 2022 par M. Juan Felipe Aguilera Barreto, dans le cadre d'une convention de stage passée par l'Office du patrimoine et des sites avec le Département de géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique.
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PERIMETRES DRAINES DE LA ZONE AGRICOLE
| PolygoneLa teneur élevée en limons fins et en argiles du sous-sol genevois, ainsi que la présence de moraine à faible profondeur expliquent la forte proportion de terres faisant l'objet d'un drainage agricole, dans le but de prévenir l'asphyxie et la pourriture racinaire des plantes. Le drainage étant indispensable pour permettre une production agricole de qualité et rentable au plan économique, un fonctionnement optimal des réseaux constitue dès lors une condition indispensable au maintien dans notre canton d'une agriculture productive et compétitive.
Sur une surface agricole totale de près de 12'000 ha, on recense environ 4'400 ha drainés. Les périmètres ont été saisis schématiquement en fonction de l'implantation des épis de drainage. L'espacement et la profondeur des drains sont saisis pour chaque périmètre défini.
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PHOTOMAILLAGE 3D 2019 (3D)
| ProduitUn maillage 3D géoréférencé et texturé a pu être calculé à partir de la campagne d'acquisition des images aériennes brutes nadirales et obliques orientées réalisée en 2019. Le calcul du Photomaillage 3D texturé exploite la pleine résolution des images aériennes, à 7cms de résolution, et possède une radiométire homogène pour l'ensemble de la modélisation. Les nuages de points bruts LiDAR du canton de Genève sont utilisés pour améliorer automatiquement le Photomaillage 3D.
Logiciel utilisé : PhotoMesh (Skyline)
La précision géométrique constatée pour la modélisation 3D est inférieure à 3 pixels.
Le photomaillage obtenu a été exporté dans les formats suivants :
• OBJ en système de coordonnées local ESPG 2056
• SLPK en système de coordonnées local EPSG 2056 et global EPSG 3857
• True Ortho 2D en système de coordonnées local EPSG 2056 au format tif (non compressé) + tfw et au format ecw (compressé de 10%) avec une résolution de 6.8 cm, homogène sur l'ensemble du projet
Le format ESRI I3S SLPK permet la visualisation de différents niveaux de détails. Ceux-ci permettent de visualiser le territoire à différentes échelles, les données affichées devenant de plus en plus détaillées à mesure que l'échelle d'affichage augmente.
Hormis les surface d'eau (lac et fleuves), le résultat du calcul n'a fait l'objet d'aucune correction manuelle, ce qui explique la présence de certains artéfacts ou problèmes de texturage :
- des objets 'flottants en l'air' et isolés (artefact de grue par exemple)
- des objets mal modélisés en raison de leur matériau (par exemple les bâtiments avec habillage en verre)
- des objets dont la structure est trop fine pour être correctement modélisée (par exemple les portiques routiers ou des détails architecturaux)
- les artefacts liés à des objets en mouvement (géométrie et texture)
PISCINES
| PolygonePiscine
Pièce d'eau artificielle à ciel ouvert destinée à la natation. Seules les piscines fixées durablement au sol sont cadastrées.
Bassin
Pièce d'eau à ciel ouvert destinée à l'agrément, à la rétention, à la pisciculture et à la décantation (STEP).
Pour ces deux objets, seul le bord intérieur est déterminé. L'épaisseur de la structure est fixe.
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Le plan d'implantation des sondes géothermiques verticales est effectuée sur la base des modèles des formations attribuées au sommet du toit de l'imperméable (molasse + riss) et du toit de l'alluvion ancienne. Celui-ci est divisé en deux zones.
La première zone représente les lieux où l'implantation de sondes géothermiques est interdite en raison de la présence de nappes d'eau souterraines du domaine public.
La deuxième zone indique les endroits où il est nécessaire de demander, auprès du service de géologie sols et déchets (GESDEC) des renseignements complémentaires.
Remarque importante
Le requérant est tenu de vérifier que l'implantation et la profondeur des forages sont compatibles avec d'éventuelles installations enterrées existantes (canalisations, galeries, tunnels, ancrages, etc).
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POSITION DES PROFILS CULTURAUX DANS LE VIGNOBLE
Uniquement partenaires SITG | PointPOSITION DES PROFILS CULTURAUX DANS LE VIGNOBLE GENEVOIS
Les points représentent la position des profils culturaux relevés lors de l'établissement de la carte des sols du vignoble genevois.