Catalogue
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain.
Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Juillet 2018
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain.
Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Septembre 2021
La Direction de la mensuration officielle (DMO), en partenariat avec l'institut national français de l'information géographique (IGN), a procédé à près de 1000 clichés aériens nocturnes couvrant une surface au sol de 700 km2 sur le canton de Genève et une partie de la France voisine.
Véritable prouesse technique permettant d'appréhender le territoire sous un nouvel angle.
Les résultats de ce travail permettront, à terme, de mieux gérer et planifier les réseaux d'éclairage public, de favoriser les économies d'énergie et de réduire les nuisances lumineuses sur certaines espèces de la faune et de la flore sauvages.
Les photos aériennes nocturnes offrent au final un nouveau regard sur le territoire, en complément des nombreuses représentations diurnes déjà à disposition.
Le vol pour l'acquisition des images a été réalisé dans la nuit du 14 au 15 avril 2013 entre 23h00 et 03h30 à 4200m d'altitude.
Résolution du pixel au sol de 40 cm.
Les orthophotos sont issues du couple caméra multi-spectrale et caméra panchromatique, de focales respectives 60mm et 120mm. La caméra IGN V2 grand format développée par l'IGN a été utilisée.
Date d'acquisition : Avril 2013
OUVRAGES ART 3D (3D)
| ProduitLes ouvrages d'art 3D sont des modélisations numériques 3D texturées de ponts, passerelles, tunnels et tranchées couvertes du Canton.
Deux types de modélisations :
Modélisation géométrique : non texturé, ce modèle divise l'ouvrage en 6 classes d’entités distinctes :
- STRUCTURE_PORTEUSE
- TABLIER
- TUBE
- PORTAIL
- ELEMENT_COMPLEMENTAIRE
- SOL
Modélisation texturée : l'ouvrage est composé d'un unique maillage texturé soit avec des photos prises sur site, soit avec des aplats de couleur fidèles à la couleur réelle de l’ouvrage.
Actuellement, 140 ouvrages d'art 3D sont disponibles.
Les ouvrages d'infiltration, ponctuels ou linéaires, permettent d'infiltrer les eaux de pluies progressivement dans le sol, ce qui se rapproche le plus d'une circulation naturelle des eaux, avec un apport aux cours d'eau différé et étalé dans le temps, les préservant au mieux de l'érosion des petites et moyennes crues, et soutenant leurs débits en période d'étiage.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Les ouvrages d'infiltration, ponctuels ou linéaires, permettent d'infiltrer les eaux de pluies progressivement dans le sol, ce qui se rapproche le plus d'une circulation naturelle des eaux, avec un apport aux cours d'eau différé et étalé dans le temps, les préservant au mieux de l'érosion des petites et moyennes crues, et soutenant leurs débits en période d'étiage.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Les souterrains des anciennes fortifications (XVIe-XVIIIe siècle) ont été digitalisés sur la base de plans d'origine et de relevés anciens (XVIIIe-XXe siècle), de relevés effectués dans les années 1970 par le Service cantonal de géologie, de reconstitutions hypothétiques (Louis Blondel et Anastazja Winiger-Labuda) et de relevés réalisés dans les années 2010-2020 par la Direction de l'information du territoire, par mandat (Hydro-Geol, Archéotech) ou en collaboration avec la Brigade Recherches et Technique du Département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS).
Le plan mis ici à disposition résulte par conséquent de l'association de sources très diverses, certaines ne présentant pas une fiabilité absolue.
Néanmoins, les relevés dressés du XVIIIe siècle aux années 1970 ont été analysés, confrontés, comparés et géolocalisés, afin de proposer une hypothèse la plus probable.
Par ailleurs, faute de relevés, une partie du réseau est purement hypothétique, son tracé résulte des logiques du plan d'ensemble et d'emprunts aux caractéristiques des ouvrages connus.
Ces distinctions sont clairement identifiées dans la table attributaire.
La connaissance des souterrains des anciennes fortifications est essentiellement celle des espaces de circulation. Les structures maconnées dans lesquelles ceux-ci s'insèrent sont en revanche très mal connues. Des photographies anciennes et des constats opérés à l'occasion de travaux permettent d'imaginer que les gaines atteignent jusqu'à deux mètres d'épaisseur (ouvrages de 4 à 5 m de largeur en tout) et peuvent se développer en hauteur quasiment jusqu'à la surface (en fonction des démolitions opérées au XIXe siècle).
La couche distingue par conséquent une «emprise bâtie supposée» (2D).
Les premiers éléments de cette couche ont été rassemblés en 2021 par M. Francois Florimond Fluck, dans le cadre d'un stage organisé conjointement par la Direction de l'information du territoire et le Service de l'inventaire des monuments d'art et d'histoire.
La couche publiée a été réalisée en 2022 par M. Juan Felipe Aguilera Barreto, dans le cadre d'une convention de stage passée par l'Office du patrimoine et des sites avec le Département de géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
PERIMETRES DRAINES DE LA ZONE AGRICOLE
| PolygoneLa teneur élevée en limons fins et en argiles du sous-sol genevois, ainsi que la présence de moraine à faible profondeur expliquent la forte proportion de terres faisant l'objet d'un drainage agricole, dans le but de prévenir l'asphyxie et la pourriture racinaire des plantes. Le drainage étant indispensable pour permettre une production agricole de qualité et rentable au plan économique, un fonctionnement optimal des réseaux constitue dès lors une condition indispensable au maintien dans notre canton d'une agriculture productive et compétitive.
Sur une surface agricole totale de près de 12'000 ha, on recense environ 4'400 ha drainés. Les périmètres ont été saisis schématiquement en fonction de l'implantation des épis de drainage. L'espacement et la profondeur des drains sont saisis pour chaque périmètre défini.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
PHOTOMAILLAGE 3D 2019 (3D)
| ProduitUn maillage 3D géoréférencé et texturé a pu être calculé à partir de la campagne d'acquisition des images aériennes brutes nadirales et obliques orientées réalisée en 2019. Le calcul du Photomaillage 3D texturé exploite la pleine résolution des images aériennes, à 7cms de résolution, et possède une radiométire homogène pour l'ensemble de la modélisation. Les nuages de points bruts LiDAR du canton de Genève sont utilisés pour améliorer automatiquement le Photomaillage 3D.
Logiciel utilisé : PhotoMesh (Skyline)
La précision géométrique constatée pour la modélisation 3D est inférieure à 3 pixels.
Le photomaillage obtenu a été exporté dans les formats suivants :
• OBJ en système de coordonnées local ESPG 2056
• SLPK en système de coordonnées local EPSG 2056 et global EPSG 3857
• True Ortho 2D en système de coordonnées local EPSG 2056 au format tif (non compressé) + tfw et au format ecw (compressé de 10%) avec une résolution de 6.8 cm, homogène sur l'ensemble du projet
Le format ESRI I3S SLPK permet la visualisation de différents niveaux de détails. Ceux-ci permettent de visualiser le territoire à différentes échelles, les données affichées devenant de plus en plus détaillées à mesure que l'échelle d'affichage augmente.
Hormis les surface d'eau (lac et fleuves), le résultat du calcul n'a fait l'objet d'aucune correction manuelle, ce qui explique la présence de certains artéfacts ou problèmes de texturage :
- des objets 'flottants en l'air' et isolés (artefact de grue par exemple)
- des objets mal modélisés en raison de leur matériau (par exemple les bâtiments avec habillage en verre)
- des objets dont la structure est trop fine pour être correctement modélisée (par exemple les portiques routiers ou des détails architecturaux)
- les artefacts liés à des objets en mouvement (géométrie et texture)
PISCINES
| PolygonePiscine
Pièce d'eau artificielle à ciel ouvert destinée à la natation. Seules les piscines fixées durablement au sol sont cadastrées.
Bassin
Pièce d'eau à ciel ouvert destinée à l'agrément, à la rétention, à la pisciculture et à la décantation (STEP).
Pour ces deux objets, seul le bord intérieur est déterminé. L'épaisseur de la structure est fixe.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Le plan d'implantation des sondes géothermiques verticales est effectuée sur la base des modèles des formations attribuées au sommet du toit de l'imperméable (molasse + riss) et du toit de l'alluvion ancienne. Celui-ci est divisé en deux zones.
La première zone représente les lieux où l'implantation de sondes géothermiques est interdite en raison de la présence de nappes d'eau souterraines du domaine public.
La deuxième zone indique les endroits où il est nécessaire de demander, auprès du service de géologie sols et déchets (GESDEC) des renseignements complémentaires.
Remarque importante
Le requérant est tenu de vérifier que l'implantation et la profondeur des forages sont compatibles avec d'éventuelles installations enterrées existantes (canalisations, galeries, tunnels, ancrages, etc).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Le réseau GEnevois d'Observation des Sols (GEOS) a pour objectif de réaliser un monitoring à long terme de l'évolution des teneurs en polluants du sol et plus généralement de sa fertilité. Le réseau est constitué de 103 sites de prélèvements représentatifs du territoire genevois. On y réalise tous les cinq ans des prélèvements à une profondeur de 20 cm depuis la surface. Les analyses de monitoring réalisées sur ces prélèvements portent notamment sur qualité des sols (pH, matière organique (MO) et rapport MO/Argile). Des analyses permettant la caractérisation des sites sont réalisées une fois sur chaque site (granulométrie, nutriments, calcaire et capacité d'échange cationique (CEC) effective).
Les sites d'échantillonnage sont fixes, les prélèvements sont effectués exactement au mêmes endroits d'une campagne à l'autre. Ceci permet d'évaluer l'évolution des différents paramètres analysés au cours du temps, en s'affranchissant de leur possible variabilité spatiale. De plus, les sites sont représentatifs de l'occupation des sols du canton. Ils ont été répartis dans huit catégories ans un souci de proportionnalité par rapport à l'occupation de la surface totale des sols du Canton: Grandes Cultures (GC), Cultures Maraîchères (CM), Viticultures (VI), Arboriculture (AR), Prairies (PR), Forêts (FO), Parcs et Jardins (PJ) et Sites Naturels (SN).
La couche GOL_GEOS_PORTRAIT contient les résultats d'analyses de caractérisation des 103 sites actifs. Ce sont les analyses qui ne sont réalisées qu'une fois par site lorsque le site entre dans le réseau GEOS. Les analyses concernent la granulométrie du sol, les taux de nutriments présents dans le sol, le carbonate, la capacité d'échange cationique effective et la capacité d'échange cationique potentielle ainsi que toutes les composantes liées à la CEC. La CEC effective est une analyse qui a été introduite plus récemment pour remplacer la CEC potentielle. Les sites les plus anciens du réseau ont fait l'objet d'un second prélèvement pour déterminer la CEC effective. On n'analyse plus la CEC potentielle pour les sites qui entrent dans le réseau depuis 2010.
GEOS a été instauré en 1990 par le Laboratoire Cantonal d'Agronomie de Genève aujourd'hui rattaché à la Hate Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'architecture de Genève (HEPIA), dans le Groupe Sols et Substrats. Des prélèvements ont eu lieu en 1990 (campagne 1990-1994), 1995 (campagne 1995-1999) et 2000 (campagne 2000-2004). En 2010, le GESDEC (Service de Géologie, Sols et Déchet) mandate officiellement le groupe Sols et Substrats de HEPIA pour remettre en oeuvre le suivi du réseau GEOS dans le cadre d'application de l'Ordonnance fédérale sur les atteintes portées aux sols (OSol). Deux campagnes ont depuis été réalisées (de 2010 à 2016 puis de 2017 à 2022).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
POSITION DES PROFILS CULTURAUX DANS LE VIGNOBLE
Uniquement partenaires SITG | PointPOSITION DES PROFILS CULTURAUX DANS LE VIGNOBLE GENEVOIS
Les points représentent la position des profils culturaux relevés lors de l'établissement de la carte des sols du vignoble genevois.
POSITION DES SONDAGES DANS LE VIGNOBLE
Uniquement partenaires SITG | PointPOSITION DES SONDAGES DANS LE VIGNOBLE GENEVOIS
Les points représentent la position des sondages creusés lors de l'établissement de la carte des sols du vignoble genevois.
POTENTIEL GEOTHERMIQUE THEORIQUE DES NAPPES PHREATIQUES
Uniquement partenaires SITG | PolygonePOTENTIEL GEOTHERMIQUE THEORIQUE DES NAPPES PHREATIQUES GENEVOISES
Sur la base des informations contenues dans les cartes de potentiel unitaire et de production potentielle et en considérant que les caractéristiques des nappes sont à peu près identiques pour les nappes principales d'une part et pour les nappes superficielles d'autre part (températures, chimie), il est possible d'établir une carte générale, qualitative, du potentiel géothermique des nappes genevoises.
Cette représentation prend en compte le plan d'aménagement cantonal pour nuancer le potentiel d'utilisation des nappes et estimer de l'intérêt de la ressource en fonction du contexte local (possibilités de valorisation). Ainsi, une nappe située dans une partie du canton non habitée et à faible développement n'aura qu'un faible potentiel d'installation géothermique, même si des conditions hydrogéologiques favorables sont réunies. De même, une nappe avec des caractéristiques qui ne permettent son exploitation que par de petites installations ne sera pas utile si elle se situe sous un centre de développement important (immeubles et bâtiments industriels par exemple).
Par ailleurs, les simulations pour les nappes principales ont été réalisées pour des installations plus importantes que pour les nappes superficielles. La comparaison entre ces deux types de nappes, notamment en termes de puissance unitaire, n'est donc pas directement possible.
Dans la pratique, même pour une nappe considérée comme favorable à l'exploitation, la réalisation d'une étude hydrogéologique spécifique est indispensable pour chaque projet. En effet, les variations de transmissivité peuvent être très importantes, même à l'échelle d'une parcelle, particulièrement dans les nappes superficielles. De plus, la dynamique saisonnière des nappes doit également être bien appréhendée localement pour une valorisation optimale de la ressource.
Enfin, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Le rapport complet sur le Potentiel Géothermique Genevois (PGG) est consultable à l'adresse suivante : http://www.ge.ch/energie