République et canton de Genève

Grand Conseil

IU 338
7. Réponse du Conseil d'Etat à l'interpellation urgente de Mme Gabrielle Maulini-Dreyfus sur les motifs du refus du Conseil d'Etat sur le projet de loi concernant les rives du Rhône. ( ) IU338
 Mémorial 1997 : Développée, 2002.

M. Philippe Joye, conseiller d'Etat. Dans ma réponse à l'interpellation urgente de Mme Maulini-Dreyfus du 20 mars 1997 sur le même sujet, j'ai communiqué les précisions désirées au sujet de l'évolution des études et de la préparation des deux projets de lois y relatifs ayant pour objet : l'un, la confrontation du haut du glissement de Chancy et, l'autre, la stabilisation du cours du Rhône en amont du pont de Chancy-Pougny.

Une légère modification d'ordre financier des projets de lois amendés par le Conseil d'Etat en date du 9 avril 1997 a été apportée, si bien que ce dernier prendra sa décision définitive lors de la prochaine séance du 30 avril. Notre Conseil en sera donc nanti en principe très prochainement. En cas d'acceptation rapide de votre part, les travaux pourront démarrer - comme déjà précisé - cette année encore, leur durée étant estimée à douze mois environ.

Je me permets de rappeler que ces phénomènes d'instabilité et de glissement sont particulièrement complexes et difficiles à appréhender et que leur analyse et les mesures palliatives à mettre en place sont à étudier de manière très approfondie. C'est donc à la séance du Grand Conseil du mois de mai que vous devriez - sous réserve de l'accord définitif du Conseil d'Etat - obtenir ces projets de lois.

Cette interpellation urgente est close.