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SYNTHESE DES ANALYSES GEOS
| PointLe réseau GEnevois d'Observation des Sols (GEOS) a pour objectif de réaliser un monitoring à long terme de l'évolution des teneurs en polluants du sol et plus généralement de sa fertilité. Le réseau est constitué de 103 sites de prélèvements représentatifs du territoire genevois. On y réalise tous les cinq ans des prélèvements à une profondeur de 20 cm depuis la surface. Les analyses de monitoring réalisées sur ces prélèvements portent notamment sur qualité des sols (pH, matière organique (MO) et rapport MO/Argile). Des analyses permettant la caractérisation des sites sont réalisées une fois sur chaque site (granulométrie, nutriments, calcaire et capacité d'échange cationique (CEC) effective).
Les sites d'échantillonnage sont fixes, les prélèvements sont effectués exactement au mêmes endroits d'une campagne à l'autre. Ceci permet d'évaluer l'évolution des différents paramètres analysés au cours du temps, en s'affranchissant de leur possible variabilité spatiale. De plus, les sites sont représentatifs de l'occupation des sols du canton. Ils ont été répartis dans huit catégories ans un souci de proportionnalité par rapport à l'occupation de la surface totale des sols du Canton: Grandes Cultures (GC), Cultures Maraîchères (CM), Viticultures (VI), Arboriculture (AR), Prairies (PR), Forêts (FO), Parcs et Jardins (PJ) et Sites Naturels (SN).
La couche GOL_GEOS_SYNTHESE propose la synthèse des analyses de pollution pour chaque site. Ses données sont des résumés statistiques tirés de la couche GOL_GEOS_ANALYSES. Elles permettent d'indiquer, pour chaque site, combien de polluants dépassent les différentes valeurs établies par l'OFEV. L'actualisation de cette couche se ferait donc à la fin de chaque campagne, tous les cinq ans environ.
GEOS a été instauré en 1990 par le Laboratoire Cantonal d'Agronomie de Genève aujourd'hui rattaché à la Hate Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'architecture de Genève (HEPIA), dans le Groupe Sols et Substrats. Des prélèvements ont eu lieu en 1990 (campagne 1990-1994), 1995 (campagne 1995-1999) et 2000 (campagne 2000-2004). En 2010, le GESDEC (Service de Géologie, Sols et Déchet) mandate officiellement le groupe Sols et Substrats de HEPIA pour remettre en oeuvre le suivi du réseau GEOS dans le cadre d'application de l'Ordonnance fédérale sur les atteintes portées aux sols (OSol). Deux campagnes ont depuis été réalisées (de 2010 à 2016 puis de 2017 à 2022).
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TEXTURE DES SOLS CULTIVES
| PointLa texture est une caractéristique fondamentale du sol. Elle est essentielle pour l'évaluation de la qualité, de la fertilité et de l'aptitude culturale des sols. Elle est mesurée sur la fraction minérale fine (diamètre inférieur à 2000 µm) et se détermine en classant les particules minérales du sol en trois catégories de diamètres prédéfinis :
- les argiles ont un diamètre inférieur à 2 µm
- les silts ont un diamètre compris entre 2 et 50 µm
- les sables ont un diamètre compris en 50 et 2000 µm
Les échantillons analysés par la méthode de la pipette dans une colonne de sédimentation sont des échantillons moyens représentatifs de la parcelle agricole. L'échantillon moyen est constitué d'au moins dix carottes de sol, prélevées entre 2 et 20 cm de profondeur. Chaque point de la couche texture des sols cultivés représente une surface d'environ un hectare.
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TRACE DES LIGNES SISMIQUES 2D
| LigneLa carte des lignes sismiques représente le tracé en surface des profils sismiques 2D réalisés sur le territoire dans le cadre de différentes campagnes d'acquisition.
Le principe de cette méthode géophysique dite de "sismique réflexion" consiste à dresser une image acoustique du sous-sol à partir de l'enregistrement du temps et de l'intensité de retour d'un signal acoustique propagé dans le sous-sol à partir d'une source artificielle en surface, le plus souvent par le biais de camions vibreurs.
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ZONES D'AUTORISATION DES GRAVIÈRES
| PolygonePlan de situation et limites des gravières autorisées anciennes et actuelles.
Le plan est divisé en trois types de zones:
- Les zones d'exploitation acceptées
- Les zones refusées
- Les zones caduques: gravières dont l'exploitation n'a pas commencé dans un délai de 2 ans après la publication de l'autorisation dans la feuille d'avis officielle.
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ZONES D'EXPLOITATION DES GRAVIERES
| PolygonePlan de l'état des zones d'exploitation des gravières.
Le plan d'exploitation des gravières présente trois types de zones:
- Les zones en exploitation: gravières dont l'autorisation d'exploiter a été délivrée par le département du territoire.
- Les zones remblayées: gravières qui, une fois l'exploitation terminée, font l'objet d'un remblayage de manière à permettre (exceptions mises à part) la réintégration du terrain à son affectation initiale, en particulier agricole.
- Les zones remblayées et rendues à l'agriculture
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ZONES D'INONDATIONS ET DE DANGERS DES COURS D'EAU (Groupe)
Ce groupe de couches contient toutes les informations disponibles sur l'évaluation des dangers liés au crues des cours d'eau, soit les inondations et les érosions des berges.
Le rôle des cartes des dangers liés aux crues est de désigner les secteurs du territoire qui sont peu ou pas appropriés pour certaines utilisations en raison des dangers en présence.
Par inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
Ce groupe contient les données suivantes :
INONDATIONS
- Inondation temps de retour 2 ans lce_inondation_2_ans
- Inondation temps de retour 10 ans lce_inondation_10_ans
- Inondation temps de retour 30 ans lce_inondation_30_ans
- Inondation temps de retour 100 ans lce_inondation_100_ans
- Inondation temps de retour 300 ans lce_inondation_300_ans
- Inondation conditionnelle lce_inondation_cond
DANGERS
- Zones de dangers dues aux crues lce_dangers_crues
- Statut des cartes de dangers dues aux crues lce_dangers_statut_cartes
- Zones indicatives de dangers (ZID) lce_dangers_zones_indicatives
- Commentaires concernant les ZID lce_dangers_zid_commentaires
- Photos concernant les ZID lce_dangers_zid_photos
- Degrés de danger dus aux crues des cours d'eau lce_dangers_degres
- Inventaires des érosions dues aux cours d'eau lce_dangers_erosions
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ZONES DE DANGERS DUES AUX CRUES
| PolygoneLa loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT) oblige les cantons de désigner les parties du territoire qui sont gravement menacées par des forces naturelles ou par des nuisances.
L'ordonnance fédérale sur l'aménagement des cours d'eau (OACE) spécifie que les cantons doivent tenir un cadastre des dangers, élaborer et tenir à jour des cartes de dangers.
L'estimation du danger de crues est fait sur la base de la probabilité d'occurrence (temps de retour), de l'intensité du phénomène (hauteur d'eau et vitesse d'écoulement) et de l'érosion des berges.
Le danger est classifié et cartographié selon les recommandations de la confédération:
aucun danger connu - blanc = zone où aucun danger n'est déterminé selon l'état des connaissances actuelles;
danger fort - rouge = zone d'interdiction;
danger moyen - bleu = zone de réglementation;
danger faible - jaune = zone de sensibilisation;
danger résiduels - rayures jaunes = zone de sensibilisation.
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ZONES DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL
Uniquement partenaires SITG | RasterZONE DE LA CARTE DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL ET NON DESSINEE PAR LES VITICULTEURS
Certaine zones du vignoble n'ayant pas été prise en considération par les viticulteurs interrogés, elles ont été obtenues par calcul.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
ZONES INDICATIVES DE DANGERS
| PolygoneLes cartes indicatives de dangers donnent une vue générale sur la situation de danger à l'échelle cantonale. Elles déterminent à une large échelle le lieu et le type de dangers naturels sur lesquels il faudra compter.
A Genève, cette évaluation concerne uniquement les dangers liés aux inondations.
Il est possible de déduire de cette carte les conflits potentiels entre l'aménagement du territoire et les inondations. En d'autres termes, elle traduit géographiquement l'existence d'un potentiel d'inondation, sa position et son étendue maximale, sans notion ni de fréquence ni d'intensité des phénomènes.
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ZONES INSTABLES
| PolygoneOn distingue trois types d'instabilités :
Les glissements superficiels
Dans les pentes où la couche superficielle se trouve en état d'équilibre limite, une dégradation temporaire de la qualité du sol, par saturation lors de pluies notamment, entraîne soit des écoulements sans limites nettes (solifluxion), soit des glissements avec des arrachements superficiels mettant à nu la surface.
Les glissements profonds
Les glissements profonds sont caractérisés par la présence de niches d'arrachement, généralement multiples, bien marquées, avec un déplacement d'une masse de matériaux meubles ou rocheux le long d'une ou de plusieurs surfaces de glissement situées en profondeur et de moindre résistance.
Les éboulements
Ce phénomène s'observe généralement dans les falaises d'alluvion ancienne ou de moraine limoneuse à cailloux très compacte.
Progressivement, dans un processus lent, les zones d'éboulement se couchent et peuvent devenir des glissements superficiels avant de se stabiliser.
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