Catalogue
Les points de rejet sont des ouvrages de restitution des eaux pluviales dans le milieu naturel.
Ces objets font également partie du produit "Cadastre du réseau d'assainissement des eaux".
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Cette couche contient les points de mesures effectuées dans les canalisations ainsi que dans les troncons souterrains des cours d'eau par la cellule 'métrologie' de l'OCEau.
Les mesures dans le réseau d'assainissement ont pour but:
- Mesurer le débit du réseau d'assainissement dans le cadre des Plans Régionaux d'Evacuation des Eaux (PREE) et des Schémas de Protection, d'Aménagement et de gestion des Eaux (SPAGE), dans le but de récolter des données de débit par commune ou par principales branches sur le réseau primaire d'assainissement.
- Contrôler le débit au pied des bassins versants (quartier ou village) dont le réseau d'assainissement est en séparatif et réaliser des études spécifiques tels que surveillance de points critiques et connaissance du fonctionnement de certains sites spécifiques. S'assurer de la bienfacture de la mise en séparatif du réseau d'assainissement et déterminer éventuellement la part d'eaux claires qui se retrouvent dans les eaux usées.
Les mesures de débit dans les cours d'eau souterrains ont pour but une meilleure connaissance du fonctionnement des troncons souterrains ainsi que de connaître en permanence les débits d'eaux dans certains de ceux-ci.
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Les regards, chambres de visite ont pour fonctions l'accès au réseau d'assainissement dans le cadre de contrôles et d'entretiens. De plus ils servent de point de raccordement des réseaux secondaire et primaire.
Ces objets font également partie du produit "Cadastre du réseau d'assainissement des eaux".
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Un bassin versant est une portion de territoire dont les eaux ont un exutoire commun. Lorsqu'un bassin versant est subdivisé en de plus petites unités, on parle de sous bassin versant.
En hydrologie urbaine, un bassin ou sous bassin versant, avant de voir ses eaux de ruissellement au final déversées dans un milieu récepteur, dispose la plupart du temps comme exutoire d'un réseau de canalisations.
Cette couche contient autant les sous bassins versant des eaux pluviales que des eaux usées.
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Une station de pompage permet de d'élever les eaux d'un niveau à un autre, soit pour le franchissement d'un obstacle, soit en raison de niveaux de collecteurs incompatibles.
Les stations de pompage appartiennent globalement à deux grandes catégories :
1. Les stations de relèvement, destinées à relever les eaux à faible hauteur et sur une courte distance.
2. Les stations de refoulement, destinées à transporter les effluents d'un point à un autre, sur de longues distances et pour vaincre des dénivelés importants.
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Cette couche contient autant les ouvrages stockant des eaux pluviales ou usées.
Un bassin de rétention d'eaux pluviales a pour but d'écrêter les débits entrant dans celui-ci, soit en vue d'une protection hydraulique du réseau situé en aval, soit en vue d'une protection du milieu récepteur contre les effets néfastes de déversements d'eaux pluviales urbaines sur son hydrologie naturelle.
Afin de limiter le nombre de déversements d'eaux mélangées dans le milieu récepteur en temps de pluie, il est possible d'installer un ouvrage de rétention sur un réseau unitaire, stockant les déversements lors d'épisode pluvieux et les restituant ultérieurement dans le réseau pour traitement à la station d'épuration.
Le fonctionnement est identique à celui d'un bassin de rétention des eaux pluviales.
Il porte généralement le nom de bassin de stockage-restitution (ou BEP pour bassin d'eaux pluviales, terminologie pouvant prêter à confusion avec un bassin de rétention des eaux pluviales).
Ces objets font également partie du produit "Cadastre du réseau d'assainissement des eaux".
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Selon la loi fédérale sur les eaux, le mode d'évacuation des eaux pluviales à envisager en première priorité est l'infiltration.
En fonction du contexte géologique, hydrogéologique et de certaines contraintes locales, le territoire est décomposé en quatre secteurs d'infiltration potentielle :
- Ceux dont le potentiel d'infiltration est favorable.
- Ceux dont le potentiel d'infiltration est défavorable.
- Ceux dont le potentiel d'infiltration est à déterminer au cas par cas.
- Ceux au sein desquels toute infiltration des eaux pluviales est interdite (sites pollués, zones instables, etc.).
La Direction générale de l'eau peut exiger pour certains projets une infiltration des eaux pluviales.
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Le plan général d'évacuation des eaux (PGEE) est un outil communal de planification de l'assainissement.
Le rapport sur l'état des zones de dangers consiste notamment à déterminer le temps que mettrait une source de pollution déversée dans le réseaupour atteindre le milieu naturel ou la station d'épuration.
Les temps de parcours sont exprimés sous la forme de courbes isochrones, ou courbes d'égal temps.
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En fonction de la nature des surfaces sur lesquelles elles ruissellent, les eaux pluviales sont susceptibles de renfermer des concentrations plus ou moins importantes de substances polluantes telles que métaux lourds ou hydrocarbures. Ces substances proviennent du lessivage des surfaces sur lesquelles ruisselle l'eau de pluie et sont souvent fixées à la fraction la plus fine des matières en suspension.
L'admissibilité d'un déversement, avec ou sans traitement préalable, est déterminée en croisant le degré de pollution des eaux pluviales à évacuer avec la sensibilité des eaux superficielles dans lesquelles elles sont rejetées.
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Le réseau de stations de mesures pour la qualité des eaux de surface (incluant les eaux de baignade du lac) comporte environ 200 stations réparties sur l'ensemble du territoire genevois, ainsi qu'en France voisine.
La qualité des eaux y est mesurée selon des périodicités variables, pour les groupes de paramètres suivants: état sanitaire, macrofaune benthique, algues diatomées et physico-chimie.
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STATIONS HYDROLOGIQUES
| PointLe réseau de mesures hydrologiques genevois est constitué des stations hydrologiques (mesures de débit des cours d'eau) et des stations pluviométriques (mesures de la pluviométrie sur le canton). Cette couche de données identifie et localise les stations dans le périmètre du canton de Genève.
Types de stations :
- Limnigraphe
- Pluviographe
L'organisme en charge de ce réseau de mesure du Canton de Genève est le Département du territoire (DT), Service de l'Ecologie de l'Eau (SECOE), Entité Dynamique de l'Eau.
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Le statut des cartes de dangers donne une vue générale sur l'état de disponibilité des cartes à l'échelle cantonale. Il traduit géographiquement l'existence d'informations disponibles par cours d'eau.
trait bleu = carte indicative des dangers disponible
trait vert = carte des dangers existante
trait rouge = carte des dangers en cours de réalisation
trait orange = pas d'études nécessaires d'après les connaissances actuelles
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Cette couche indique les emprises des plan adoptés par le Conseil d'Etat pour les surfaces inconstructibles au bord des cours d'eau, selon l'art. 15 de la loi sur les eaux (L 2 0,5). Un lien vers un fichier pdf permet de visualiser le plan en question.
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TRONCONS PISCICOLES DES COURS D'EAU GENEVOIS
Le recensement des espèces de poissons présentes dans les eaux cantonales est encouragé par la Loi fédérale sur la pêche du 21 juin 1991 (art. 11), ainsi que par le règlement d'application du 15 décembre 1999 du canton de Genève (art. 35).
A Genève, un premier inventaire piscicole de l'ensemble des cours d'eau du canton a été réalisé en 2000. Cet inventaire a été complété en 2008-2009 par la compilation des données existantes et la récolte de données supplémentaires au moyen de pêches électriques ou de pointages visuels.
Seuls 46 cours d'eau sont piscicoles sur tout ou partie de leur linéaire, ce qui représente 23% des cours d'eau.
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ZONES D'OPPORTUNITE LIEES A L'ESPACE MINIMAL DES COURS D'EAU
Les zones d'opportunité, ou "surfaces additionnelles", sont définies en complément à l'espace minimal genevois qui est inconstructible.
Elles ont toutes des restrictions particulières qui dépendent de leur fonction.
1 - Les surfaces inondables essentielles :
Basées sur la carte indicative des dangers, elles désignent les surfaces importantes pour la gestion des eaux. L'objectif général de ces surfaces est le maintien des capacités de rétention d'eau. Les futurs projets à établir devront tenir compte des fonctions hydrauliques à conserver. Ces fonctions doivent être assurées après réalisation du projet. Le maintien de cette capacité permet de préserver des zones densément bâties des inondations et répond à l'article 11 de la loi sur les eaux.
2- Les surfaces nature à conserver :
Souvent des réserves naturelles, il s'agit de zones d'importance pour le fonctionnement naturel (faune-flore) du cours d'eau. L'objectif général de ces zones est leur préservation vu leur fonction importante pour lecours d'eau. Certaines, situées en forêt ne sont pas mentionnées car elles sont déjà protégées par leur statut forestier.
3 - Les surfaces à haut potentiel de renaturation :
Il s'agit de surfaces à réserver pour une éventuelle renaturation. Elles se situent sur des troncons de cours d'eau ou l'espace minimal est restreint à cause du manque d'espace disponible ou à des aménagements de berges qui limitent l'utilisation de l'espace par la faune. La surface indiquée est celle correspondant à la surface inconstructible.
4 - Les surfaces ou de remise à ciel ouvert :
Les surfaces à réserver pour une mise à ciel ouvert sont délimitées par la carte indicative des dangers soit en cas de dysfonctionnement des collecteurs. Elles sont indicatives et situent les zones les plus probables pour les travaux qui répondent à l'article 4 de la loi fédérale sur l'aménagement des cours d'eau, elles représentent le talweg naturel.
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