Catalogue
Les surfaces bien exposées situées sur les bâtiments peuvent être exploitées pour valoriser l'énergie solaire au niveau thermique et couvrir en partie les besoins de CHAUFFAGE et d'ECS. Différents indicateurs énergétiques, économiques et environnementaux ont été calculés.
La couche du potentiel de production de chauffage et d'eau chaude sanitaire (ECS) par bâtiment représente et regroupe les informations relatives au potentiel de production d'énergie thermique tenant compte:
- des surfaces bien exposées (qui ont une irradiation solaire brute annuelle supérieure à 1000 [kWh/m2 an], nommées ci-après surfaces utiles),
- des besoins en chauffage impliquant au préalable une rénovation de l'enveloppe pour les bâtiments anciens et peu performants (Qh - indice utile de chauffage - considéré : max 155 MJ/m2/an),
- des besoins en chaude sanitaire (ECS).
Ces informations de potentiels portent notamment sur la quantité d'énergie thermique annuelle et mensuelle valorisable pour les besoins propres du bâtiment, les éventuels surplus thermiques (en particulier pendant la période estivale), le taux de couverture des besoins, la surface des capteurs, la part de la surface occupée par les capteurs, des données environnementale (tonne de CO2 potentiellement économisée) et des données économiques (frais d'investissement, charges, recettes).
Cette couche est élaborée à l'échelle du Grand Genève qui englobe le Canton de Genève, le District de Nyon (Canton de Vaud) et plusieurs communautés de communes francaises des départements de l'Ain et de la Haute-Savoie.
La présente version de la couche s'appuie sur les données LIDAR 2017 pour le Canton de Genève, LIDAR 2015 pour la partie vaudoise, et LIDAR 2014 pour la partie francaise (les potentiels calculés ne tiennent pas compte de bâtiments construits après cette date).
L'élaboration de cette couche, en automne 2019, s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève.
Plus d'information sur cette couche et sa méthodologie d'élaboration sont disponibles au travers du rapport - CADASTRE SOLAIRE DU CANTON DE GENEVE - Phase 2 - Analyse du potentiel de production énergétique par les panneaux solaires thermique et PV - Rapport final - Hepia v17.10.2014.
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POTENTIEL THEORIQUE DE PRODUCTION DES NAPPES PHREATIQUES GENEVOISES
Uniquement partenaires SITG | PolygoneCette cartographie représente la production potentielle cumulée de chaleur et de froid des nappes genevoises (en GWh/an) pour des installations géothermiques. Elle est calculée en considérant une utilisation de 2000 h/an et un COP de 5 pour les pompes à chaleur et basée sur une estimation globale des paramètres hydrogéologiques moyens de chaque nappe.
Seules les surfaces correspondant aux zones constructibles et de développement ont été prises en compte pour les calculs (possibilités d'exploitation à court et moyen terme). Cette option relativise le potentiel de production de certaines nappes, à fort potentiel unitaire mais situées en zones agricoles (Champagne, Aire...).
De plus, les simulations pour les nappes principales ont été réalisées pour des installations plus importantes que pour les nappes superficielles. La comparaison entre ces deux types de nappes, notamment en termes de puissance unitaire, n'est donc pas directement possible.
Dans la pratique, même pour une nappe considérée comme favorable à l'exploitation, la réalisation d'une étude hydrogéologique spécifique est indispensable pour chaque projet. En effet, les variations de transmissivité peuvent être très importantes, même à l'échelle d'une parcelle, particulièrement dans les nappes superficielles. De plus, la dynamique saisonnière des nappes doit également être bien appréhendée localement pour une valorisation optimale de la ressource.
Enfin, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de géomatériaux.
- le potentiel géothermique.
Le rapport complet sur le Potentiel Géothermique Genevois (PGG) est consultable à l'adresse suivante : http://www.ge.ch/energie
PROGRAMME DENSIFICATION QUARTIER VILLAS
Consultation par géoservices | PolygoneLors de l'approbation du Plan directeur cantonal (PDCn) 2030, le Conseil fédéral a enjoint le canton à donner la priorité à la densification des zones à bâtir, que ce soit par le renouvellement urbain ou la densification de la zone villas.
En application de la motion 2278 votée à l'unanimité par le Grand Conseil, le Conseil d'Etat a complété les moyens à disposition pour la densification des secteurs de villas par modification de zone prévue dans le PDCn (fiche A03) en mettant en place le dispositif des zones réservées prévu par le droit fédéral (cf classe d'entité RDPPF - ZONES RESERVEES)
Dans ce cadre, pour tout dépôt d'autorisation de construire se trouvant sur des périmètres actuellement en zone villa mais identifié par le PDcn comme à densifier par modification de zone, l'office de l'urbanisme a défini une pratique administrative au travers de trois catégories:
- Modification de Zone en cours
- Zone réservée adoptée
- Pas de dérogations selon l'article 59, alinéa 4 LCI
Les zones réservées faisant l'objet d'une classe d'entité à part entière (cf RDPPF_ZONES RESERVEES) la présente classe d'entité recense les 2 catégories restantes.
Cette classe d'entité est représentée sur la carte du programme de densification des quartiers de villas
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PROJETS AGRO-ENVIRONNEMENTAUX (PAE)
| PolygoneUn projet agro-environnemental (PAE / application de la législation cantonale) représente un prérimètre restreint, au sein d'une exploitation par exemple, dans lequel plusieurs types de promotion de la biodiversité (Anc. SCE) (SPB / surfaces proches de l'état naturel) sont disposées de manière groupée, ceci afin de conserver les espèces présentes ou de favoriser leur développement. Grâce à des mesures ciblées d'exploitation, fixées en fonction du besoin des espèces, ces espaces deviennent propices au développement de la faune et/ou de la flore.
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Projets guichet GEothermies
Données réservées métiers | PolygoneReprésentation des projets de géothermie qui sont traités par le guichet GEothermies.
Les informations contenues dans cette classe d'entités doivent permettre à l'utilisateur de localiser les quais de transfert des déchets incinérables existant sur le territoire francais de l'agglomération Franco-Valdo-Genevoise
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Les informations contenues dans cette classe d'entités doivent permettre à l'utilisateur de localiser les quais de transfert des déchets incinérables existant sur le territoire du canton de Genève.
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Le Service de surveillance et protection des eaux et milieux aquatiques (SSPMA) contrôle l'état sanitaire des 34 accès publics au lac toutes les 3 à 4 semaines, entre les mois d'avril et d'octobre, pour s'assurer que la baignade ne soit pas dangereuse pour la santé.
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Les algues utilisées pour diagnostiquer la qualité de l'eau sont des algues microscopiques vivant sur les cailloux et appelées diatomées. Elles sont récoltées à l'aide d'une brosse spéciale dans chaque station 2 fois par année. La méthode utilisée pour déterminer la qualité de l'eau est l'indice suisse des diatomées (DI-CH). Suivant la sensibilité à la pollution des espèces récoltées et leur valeur bioindicatrice, une note de 1 à 8 est attribuée à chaque station.
La note est répartie en 5 classes:
1.0 - 3.49 Très bonne
3.5 - 4.49 Bonne
4.5 - 5.49 Moyenne
5.5 - 6.49 Médiocre
6.5 - 8.00 Mauvaise
Cette couche représente les moyennes annuelles des dernières campagnes sur les différentes stations.
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Les algues utilisées pour diagnostiquer la qualité de l'eau sont des algues microscopiques vivant sur les cailloux et appelées diatomées. Elles sont récoltées à l'aide d'une brosse spéciale dans chaque station 2 fois par année.
La méthode utilisée pour déterminer la qualité de l'eau est l'indice suisse des diatomées (DI-CH). Suivant la sensibilité à la pollution des espèces récoltées et leur valeur bioindicatrice, une note de 1 à 8 est attribuée à chaque station.
Cette couche représente toutes les mesures effectuée sur les différentes stations depuis 1997.
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Des contrôles bactériologiques sont effectués périodiquement sur l'ensemble des rivières genevoises. Ils ont pour but de dénombrer les Escherichia coli, une bactérie indicatrice de pollution fécale. La méthode employée est celle qui est habituellement appliquée pour la surveillance de la qualité hygiénique des eaux de baignade (OFSP et al., 1990).
Cette couche représente les moyennes annuels des dernières campagnes sur les différentes stations.
L'interprétation des résultats se base sur la grille d'appréciation de l'état sanitaire des cours d'eau du canton de Genève (Service de l'écologie de l'eau, 2007). Les valeurs sont exprimées en UFC/ml (Unités Formant Colonie) et sont réparties en 5 classes, Très bonne, Bonne, Moyenne, Médiocre, Mauvaise.
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Des contrôles bactériologiques sont effectués périodiquement sur l'ensemble des rivières genevoises. Ils ont pour but de dénombrer les Escherichia coli, une bactérie indicatrice de pollution fécale. La méthode employée est celle qui est habituellement appliquée pour la surveillance de la qualité hygiénique des eaux de baignade (OFSP et al., 1990).
Cette couche représente toutes les mesures effectuée sur les différentes stations depuis 1995.
L'interprétation des résultats se base sur la grille d'appréciation de l'état sanitaire des cours d'eau du canton de Genève (Service de l'écologie de l'eau (SECOE), 2007). Les valeurs sont exprimées en UFC/ml (Unités Formant Colonie).
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L'ensemble des larves d'insectes, des vers, des mollusques et des petits crustacés peuplant le fond de nos rivières forme la macrofaune benthique. Elle est récoltée à l'aide d'un filet, dans chaque station, 4 fois par année. La méthode utilisée pour déterminer la qualité de l'eau est l'Indice Biologique Global Normalisé (IBGN). Suivant le degré de sensibilité à la pollution des petits animaux récoltés et la diversité du peuplement, une note de 1 à 20 est attribuée à chaque station. L'objectif de qualité biologique des rivières fixé par le canton de Genève est, au minimum, la note 12.
Cette couche représente les moyennes annuels des dernières campagnes sur les différentes stations.
Les résultats sont classés comme ci-dessous:
1 - 4.9 Mauvais
5 - 8.9 Médiocre
9 - 11.9 Moyen
12 - 13.9 Bon
14 - 20 Très bon
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L'ensemble des larves d'insectes, des vers, des mollusques et des petits crustacés peuplant le fond de nos rivières forme la macrofaune benthique. Elle est récoltée à l'aide d'un filet, dans chaque station, 4 fois par année.
La méthode utilisée pour déterminer la qualité de l'eau est l'Indice Biologique Global Normalisé (IBGN). Suivant le degré de sensibilité à la pollution des petits animaux récoltés et la diversité du peuplement, une note de 1 à 20 est attribuée à chaque station.
L'objectif de qualité biologique des rivières fixé par le canton de Genève est, au minimum, la note 12.
Cette couche représente toutes les mesures effectuée sur les différentes stations depuis 1983.
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Toute une série d'analyses physico-chimiques sont effectuée sur des échantillons instantanés prélevés mensuellement. 21 paramètres classiques sont mesurés à l'aide de méthodes standard. De plus, 22 métaux sont analysés par ICP-MS. Ces méthodes sont régulièrement vérifiées par comparaisons inter-laboratoires dans le cadre de la CIPEL.
Cette couche représente les moyennes des dernières campagnes sur les différentes stations.
Elle est représentée suivant l'indice de qualité IPM ou selon l'indice de qualité IPM sans Cr ou encore selon le module Physico-Chimique agrégé.
Ces différents indices sont répartis en 5 classes:
Très bonne, Bonne, Moyenne, Médiocre, Mauvaise
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