Catalogue
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain.
Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Une orthophoto proche infrarouge exploite ce spectre de longueur d'onde habituellement invisible par l'oeil humain. Pour rendre visible ces longueurs d'onde, le spectre de couleur est ainsi ajusté pour représenter l'infrarouge en rouge (ainsi visible par l'oeil humain). Cette orthophoto IR permet ainsi de faire apparaître des informations supplémentaires comme les différences de végétation ou l'humidité des sols. Par exemple, un terrain de football synthétique va apparaitre très différemment en orthophoto IR, alors qu'il semblera similaire sur l'orthophoto classique en vraie couleurs.
http://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/INFORMATIONS_COMPLEMENTAIRES/ORTHOPHOTOS_PROCHE_INFRAROUGE.pdf
Date d'acquisition : Septembre 2021
Couverture des orthophotos SWISSTOPO pour la région lémanique
Date d'acquisition : 2006
Restrictions d'utilisation
1- Les données numériques ne peuvent être utilisées que dans le but mentionné dans la partie -résumé-
2- L'origine des données doit figurer sur toute représentation graphique de celle-ci. La mention suivante sera utilisée : Géodonnées © swisstopo (BDO083287)
3- Une autorisation particulière est nécessaire pour les publications de tout genre. Tous les droits demeurent auprès de la Confédération suisse.
4- Par ailleurs s'appliquent les dispositions des ordonnances du Conseil fédéral du 21 mai 2008 sur la géoinformation et sur la mensuration nationale. (RS 510.620 et 510.626)
Office fédéral de topographie swisstopo
CH-3084 Wabern
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain. Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Date d'acquisition : Mars 2011
Une photo aérienne conventionnelle comporte des décalages qui proviennent de l'inclinaison de la caméra et du relief du terrain.
Elle n'a pas d'échelle uniforme. Il n'est pas possible d'y mesurer une distance comme sur une carte.
Ce n'est en aucun cas une carte.
Une orthophoto est une image aérienne dont les influences de l'inclinaison de la chambre de prise de vue et du relief du terrain sont neutralisés à l'aide d'une ortho-rectification nécessitant un modèle numérique de terrain. Une orthophoto a une échelle uniforme, des distances peuvent être mesurées comme sur une carte.
Il est possible de superposer sur une orthophoto d'autres données géographiques. Il ne devrait pas avoir de décalage.
Date d'acquisition : Mars 2016
La Direction de la mensuration officielle (DMO), en partenariat avec l'institut national français de l'information géographique (IGN), a procédé à près de 1000 clichés aériens nocturnes couvrant une surface au sol de 700 km2 sur le canton de Genève et une partie de la France voisine.
Véritable prouesse technique permettant d'appréhender le territoire sous un nouvel angle.
Les résultats de ce travail permettront, à terme, de mieux gérer et planifier les réseaux d'éclairage public, de favoriser les économies d'énergie et de réduire les nuisances lumineuses sur certaines espèces de la faune et de la flore sauvages.
Les photos aériennes nocturnes offrent au final un nouveau regard sur le territoire, en complément des nombreuses représentations diurnes déjà à disposition.
Le vol pour l'acquisition des images a été réalisé dans la nuit du 14 au 15 avril 2013 entre 23h00 et 03h30 à 4200m d'altitude.
Résolution du pixel au sol de 40 cm.
Les orthophotos sont issues du couple caméra multi-spectrale et caméra panchromatique, de focales respectives 60mm et 120mm. La caméra IGN V2 grand format développée par l'IGN a été utilisée.
Date d'acquisition : Avril 2013
ORTHOPHOTOS SWISSIMAGE SWISSTOPO

Orthophotos aériennes SWISSIMAGE SWISSTOPO
Disponible pour les millésimes :
- 2006
- 2009
- 2012
- 2017
- 2018
OUVRAGE DE GESTION DES CRUES (Surfaces)

OUVRAGE DE TYPE SURFACIQUE DE GESTION DES CRUES
Cette couche resense les ouvrages de gestion des crues, tels que les bassins de rétention à ciel ouvert, zones d'expansion des crues, etc. En général, une photo illustre l'ouvrahe.
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OUVRAGES ART 3D

Les ouvrages d'art 3D sont des modélisations numériques 3D texturées de ponts, passerelles, tunnels et tranchées couvertes du Canton.
Deux types de modélisations :
Modélisation géométrique : non texturé, ce modèle divise l'ouvrage en 6 classes d’entités distinctes :
- STRUCTURE_PORTEUSE
- TABLIER
- TUBE
- PORTAIL
- ELEMENT_COMPLEMENTAIRE
- SOL
Modélisation texturée : l'ouvrage est composé d'un unique maillage texturé soit avec des photos prises sur site, soit avec des aplats de couleur fidèles à la couleur réelle de l’ouvrage.
Actuellement, 140 ouvrages d'art 3D sont disponibles.
Les ouvrages d'infiltration, ponctuels ou linéaires, permettent d'infiltrer les eaux de pluies progressivement dans le sol, ce qui se rapproche le plus d'une circulation naturelle des eaux, avec un apport aux cours d'eau différé et étalé dans le temps, les préservant au mieux de l'érosion des petites et moyennes crues, et soutenant leurs débits en période d'étiage.
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Les ouvrages d'infiltration, ponctuels ou linéaires, permettent d'infiltrer les eaux de pluies progressivement dans le sol, ce qui se rapproche le plus d'une circulation naturelle des eaux, avec un apport aux cours d'eau différé et étalé dans le temps, les préservant au mieux de l'érosion des petites et moyennes crues, et soutenant leurs débits en période d'étiage.
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OUVRAGES DE FRANCHISSEMENT

Cette couche recense les ouvrages de franchissement au-dessus des cours d'eau, tels que ponts, passerelles ou voûtages. Aux informations générales de génie civil s'ajoute une évaluation de l'impact écologique de l'ouvrage sur l'environnement. En général une photo illustre l'ouvrage.
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OUVRAGES DE PROTECTION DES RIVES

Cette couche recense les ouvrages de protection des rives et des berges le long des cours d'eau, tels que murs, gabions, digues, etc. Aux informations générales de génie civil s'ajoute une évaluation de l'impact écologique de l'ouvrage sur l'environnement. En général une photo illustre l'ouvrage.
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OUVRAGES DE REGULATION

Cette couche recense les ouvrages de régulation situés dans les cours d'eau. Aux informations générales de génie civil s'ajoute une évaluation de l'impact écologique de l'ouvrage sur l'environnement. En général une photo illustre l'ouvrage.
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OUVRAGES DU LIT DES COURS D'EAU

Cette couche recense les ouvrages situés dans le lit des cours d'eau, tels que cunettes, radiers, rampes, échelles à poissons, etc. Aux informations générales de génie civil s'ajoute une évaluation de l'impact écologique de l'ouvrage sur l'environnement. En général une photo illustre l'ouvrage.
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Les souterrains des anciennes fortifications (XVIe-XVIIIe siècle) ont été digitalisés sur la base de plans d'origine et de relevés anciens (XVIIIe-XXe siècle), de relevés effectués dans les années 1970 par le Service cantonal de géologie, de reconstitutions hypothétiques (Louis Blondel et Anastazja Winiger-Labuda) et de relevés réalisés dans les années 2010-2020 par la Direction de l'information du territoire, par mandat (Hydro-Geol, Archéotech) ou en collaboration avec la Brigade Recherches et Technique du Département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS).
Le plan mis ici à disposition résulte par conséquent de l'association de sources très diverses, certaines ne présentant pas une fiabilité absolue.
Néanmoins, les relevés dressés du XVIIIe siècle aux années 1970 ont été analysés, confrontés, comparés et géolocalisés, afin de proposer une hypothèse la plus probable.
Par ailleurs, faute de relevés, une partie du réseau est purement hypothétique, son tracé résulte des logiques du plan d'ensemble et d'emprunts aux caractéristiques des ouvrages connus.
Ces distinctions sont clairement identifiées dans la table attributaire.
La connaissance des souterrains des anciennes fortifications est essentiellement celle des espaces de circulation. Les structures maconnées dans lesquelles ceux-ci s'insèrent sont en revanche très mal connues. Des photographies anciennes et des constats opérés à l'occasion de travaux permettent d'imaginer que les gaines atteignent jusqu'à deux mètres d'épaisseur (ouvrages de 4 à 5 m de largeur en tout) et peuvent se développer en hauteur quasiment jusqu'à la surface (en fonction des démolitions opérées au XIXe siècle).
La couche distingue par conséquent une «emprise bâtie supposée» (2D).
Les premiers éléments de cette couche ont été rassemblés en 2021 par M. Francois Florimond Fluck, dans le cadre d'un stage organisé conjointement par la Direction de l'information du territoire et le Service de l'inventaire des monuments d'art et d'histoire.
La couche publiée a été réalisée en 2022 par M. Juan Felipe Aguilera Barreto, dans le cadre d'une convention de stage passée par l'Office du patrimoine et des sites avec le Département de géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique.
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