Catalogue
VILLE - PLAN BILLON 1726-1728
| RasterLe plan résulte de la numérisation, de la géoréférence et de l'assemblage des 34 planches du plan de la ville de Genève levé entre 1726-1728 par l'architecte Jean-Michel Billon.
Les points de calage ont été définis à partir de l'identification des bâtiments restés inchangés depuis le XVIIIe siècle et d'une comparaison avec les plans Céard et Grange.
La géoréférence et l'assemblage du plan Céard ont été faits sur mandat de l'Inventaire des monuments d'art et d'histoire du canton de Genève (DCTI) par l'entreprise Flotron AG, Meiringen.
Information sur le plan Billon.
Date d'acquisition : 2006
Méthode d'acquisition : Scan de tirages photos des plans originaux.
En complément de cette donnée, vous pouvez obtenir les contours vectorisés des parcelles et des bâtiments, voir :
- PARCELLES BILLON 1726-1728
- BATIMENTS BILLON 1726-1728
VILLE - PLAN CEARD 1837-1840
| RasterLe plan résulte de la numérisation, de la géoréférence et de l'assemblage des 30 planches du plan de la ville de Genève dressé par le géomètre François Janin entre 1837 et 1840.
Les points de calage ont été définis à partir de l'identification des bâtiments restés inchangés depuis le milieu du XIXe siècle et d'une comparaison avec le plan Grange.
Le plan a été réalisé dans le but de faciliter l'usage du plan Céard et permettre sa comparaison avec la situation actuelle de la ville et avec des reconstitutions historiques ou archéologiques de son développement.
Date d'acquisition : 2006
Méthode d'acquisition : Scan de tirages photos des plans originaux
En complément de cette donnée, vous pouvez obtenir les contours vectorisés des parcelles et des bâtiments, voir :
- PARCELLES CEARD 1837-1840
- BATIMENTS CEARD 1837-1840
VILLE - PLAN GRANGE 1896-1911
| RasterLe plan résulte de la numérisation, de la géoréférence et de l'assemblage des 51 planches du plan de la ville de Genève levé entre 1896 et 1911 par le géomètre Jean François Grange.
Date d'acquisition : 2006
Méthode d'acquisition : Scan de tirages photos des plans originaux
En complément de cette donnée, vous pouvez obtenir les contours vectorisés des parcelles et des bâtiments, voir :
- PARCELLES GRANGE (1896-1911)
- BATIMENTS GRANGE (1896-1911)
VILLE - PLAN MICHELI-DU-CREST 1718
| Raster« Plan de Genève, 1718 », manuscrit, non signé. Plume, encre et aquarelle ; 49,4 x 80,3 cm ; échelle : 1 pouce pour 50 toises (Archives d’Etat de Genève, Archives privées 247/V 36a).
Ce plan, œuvre de l’ingénieur genevois Jacques-Barthélemy Micheli du Crest (1690-1766), représente sommairement le tissu urbain, tout en mettant l’accent sur l’enceinte bastionnée, sur la topographie du site et la configuration des environs de la ville. Il a été réalisé au début des grands travaux de fortifications du XVIIIe siècle : on y voit le nouveau front du lac de la rive gauche, achevé en 1717, ainsi que l’ouvrage couronné qui allait disparaître au cours de l’année 1718.
Les points de calage ont été définis à partir de l'identification des bastions et des courtines restés inchangés sur le plan de Jean-Michel Billon (1726-1728)
et d'une comparaison avec les plans de la ville de Billon (1726-1728) et de Céard (1837-1840).
La géoréférence du plan Micheli a été faite sur mandat de l'Inventaire des Monuments d'art et d'histoire du canton de Genève (DU) par l'entreprise Flotron AG, Meiringen.
En complément de cette donnée, vous pouvez obtenir les contours vectorisés des fortifications, voir :
- FORTIFICATIONS_1728 et
- FORTIFICATIONS_EVOLUTION
VILLE - REZ-DE-CHAUSSEE 1996
| RasterLe relevé des rez-de-chaussée de la vieille ville a été établi de 1996 à 2000 à partir des archives des demandes d'autorisations de construire. Il fournit une base d'analyse pour la compréhension du centre historique, marqué par les transformations, démolitions et reconstructions entreprises durant les XIXe et XXe siècles. Sa valeur réside dans la vision architecturale qu'il donne de la ville dans son état actuel.
Date d'acquisition : 2006
VISIBILITE DE L'ECLAIRAGE ARTIFICIEL
| RasterLa couche « Visibilité de l'éclairage artificiel » représente pour chaque pixel du territoire le nombre de sources lumineuses visibles la nuit.
Ce modèle prend en compte la topographie tridimensionnelle, un paramètre de décalage vertical par rapport au sol (1 m) et un rayon d'analyse (250 m), représentant le rayon pour lequel la lumière est considérée comme potentiellement impactante pour la faune terrestre.
Les données de base utilisées pour aboutir à ce résultat sont : images satellites jilin-1 (2021) à partir de laquelle sont obtenues les sources lumineuses, les modèles numériques de surface et de terrain de l'agglomération (2019) ainsi que les données d'éclairage public de la ville de Genève (SIG).
Cette donnée est la base de la couche dérivée « Continuum nocturne » (FFP_CONTINUUM_NOCTURNE).
Cette donnée est issue d'un travail réalisé par la Haute Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'Architecture de Genève (HEPIA) à l'institut de recherche Terre-Nature-Environnement (InTNE).
Il fait suite au travail de référence publié en collaboration avec l'Université de Genève et l'Office cantonale de l'agriculture et de la nature: https://doi.org/10.1016/j.rsase.2019.100268
Auteurs de la donnée : Laurent Huber, Jessica Ranzoni sous la supervision de Claude Fischer / HEPIA
ZONES D'INONDATIONS ET DE DANGERS DES COURS D'EAU (Groupe)
Ce groupe de couches contient toutes les informations disponibles sur l'évaluation des dangers liés au crues des cours d'eau, soit les inondations et les érosions des berges.
Le rôle des cartes des dangers liés aux crues est de désigner les secteurs du territoire qui sont peu ou pas appropriés pour certaines utilisations en raison des dangers en présence.
Par inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
Ce groupe contient les données suivantes :
INONDATIONS
- Inondation temps de retour 2 ans lce_inondation_2_ans
- Inondation temps de retour 10 ans lce_inondation_10_ans
- Inondation temps de retour 30 ans lce_inondation_30_ans
- Inondation temps de retour 100 ans lce_inondation_100_ans
- Inondation temps de retour 300 ans lce_inondation_300_ans
- Inondation conditionnelle lce_inondation_cond
DANGERS
- Zones de dangers dues aux crues lce_dangers_crues
- Statut des cartes de dangers dues aux crues lce_dangers_statut_cartes
- Zones indicatives de dangers (ZID) lce_dangers_zones_indicatives
- Commentaires concernant les ZID lce_dangers_zid_commentaires
- Photos concernant les ZID lce_dangers_zid_photos
- Degrés de danger dus aux crues des cours d'eau lce_dangers_degres
- Inventaires des érosions dues aux cours d'eau lce_dangers_erosions
ZONES DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL
Uniquement partenaires SITG | RasterZONE DE LA CARTE DES PRECOCITES EXTRAPOLEES PAR CALCUL ET NON DESSINEE PAR LES VITICULTEURS
Certaine zones du vignoble n'ayant pas été prise en considération par les viticulteurs interrogés, elles ont été obtenues par calcul.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)