Catalogue
État et caractéristiques des installations de combustion stationnaires (chaudières) présentes sur le territoire genevois.
Objectif:
Centralisation et mise à disposition de l'information sur les installations de combustion stationnaires (chaudières).
Ces données sont notamment utilisées dans le cadre de la planification énergétique territoriale, pour l'élaboration de concepts énergétiques territoriaux (CET). Elles pourront également servir à l'élaboration d'autres couches de données géo-référencées concernant des indicateurs énergie-territoire, notamment au niveau des sous-secteurs statistiques (GIREC).
Source:
Ces informations sont extraites de l'application ramonage du Portail Energie (base de donnée RAMONAGE).
L'exactitude des données dépend de l'information contenue dans la BD RAMONAGE, laquelle est renseignée :
- pour les installations d'une puissance inférieure à 1000 kW par les Maîtres Ramoneurs,
- pour les installations d'une puissance supérieure ou égale à 1000 kW par le service de l'air,
du bruit et des rayonnements non ionisants (SABRA), et
- pour les installations industrielles par le service de l'environnement des entreprises (SEN),
lors des mises en service et des contrôles périodiques d'émissions conformément à l'OPair.
Le suivi administratif est sous la responsabilité du SABRA pour toutes les puissances.
Précisions IMPORTANTE relatives à la qualité des données de la BD RAMONAGE :
Une partie des données de la base de données RAMONAGE ne sont plus à jour, un travail informatique est en cour afin que ces données soient mises jour d'ici mi 2016.
Le service de l'air, du bruit et des rayonnements non ionisants (SABRA) assure depuis le 2ème semestre 2012 la compétence pour le suivi administratif de l'ensemble des installations de combustion destinées au chauffage des locaux. Selon la volonté du Conseil d'Etat, la priorité du SABRA consiste à garantir que ces chaudières respectent les valeurs limites d'émission prescrites par l'ordonnance sur la protection de l'air (OPair), notamment pour ce qui est des installations situées dans les communes où la qualité de l'air n'est pas satisfaisante (les valeurs limites d'immisssion fixées par l'OPair sont dépassées) .
A ce jour, il n'existe aucun système automatique de remontée des données issues des contrôles des maîtres ramoneurs ou des entreprises de réglages pour les chaudières de puissance inférieure ou égale à 1000 kW. Certaines données relatives à ces installations de combustion sont toutefois saisies manuellement par le SABRA, notamment en cas de non-conformité depuis le second semestre 2012, et sont disponibles dans la couche SCANE_CHAUDIERE.
Le SABRA peut donc garantir l'exactitude des données uniquement pour :
les installations de combustion d'une puissance supérieure à 1000 kW, et ce quel que soit la date de leur contrôle. Le contrôle de la limitation préventive des émissions desdites chaudières est en effet assuré par le SABRA.
les installations d'une puissance inférieure ou égale à 1000 kW qui ont été déclarées non conformes par les entreprises de réglage spécialisées, agréées par le canton, qui ont dû procéder à leur réglage (sur ordre des ramoneurs) et ce depuis 2012.
Remarques concernant le type de combustible (attribut LIBELLE_COMBUSTIBLE) :
Les types: "Bois a", "Bois b", "Bois C", correspondent à la dénomination donnée dans l'annexe 5 de l'OPair:
a. le bois à l'état naturel et en morceaux, y compris son écorce, en particulier les bûches, les briquettes, les brindilles et les pives;
b. le bois à l'état naturel sous une autre forme qu'en morceaux, en particulier les granulés, le bois déchiqueté, les copeaux, la sciure, la poussière d'une ponceuse et les écorces;
c. les résidus de l'industrie du bois et de son artisanat, dans la mesure où le bois n'est pas imprégné d'un enduit ni recouvert d'un revêtement renfermant des composés organo-halogénés.
La BD RAMONAGE ayant été créée dans le but d'assurer le suivi et le contrôle des émissions dues aux installations de combustion stationnaires (chaudières), la présence de valeurs "Electricité", "Géothermie", "Solaire" est dès lors sujette à caution. Les entités qui ont ces valeurs devraient être utilisées avec beaucoup de prudence, pour plus d'information à ce sujet prendre contact avec le SABRA.
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CONCEPT ENERGETIQUE TERRITORIAL (CET) VALIDE
| PolygoneLe périmètre des CET permet de localiser, à l'échelle du territoire, les études énergétiques réalisées.
L'objectif général d'un concept énergétique territorial (CET) est, à partir d'un état des lieux des ressources, besoins, acteurs et infrastructures, de proposer des stratégies de valorisation des ressources locales et des stratégies d'approvisionnement.
Il vise à satisfaire, à court comme à plus long terme, les besoins du périmètre concerné - voire parvenir à un solde énergétique local positif - en cohérence avec les objectifs de politique énergétique, soit la Société à 2000 Watts sans nucléaire comme vision à long terme.
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INDICE DE DEPENSE DE CHALEUR (IDC) DES BATIMENTS (LEn après le 5.8.2010) - MOYENNE SUR 2 OU 3 ANS
| PolygoneL'indice de dépense de chaleur (IDC) est un indicateur de la consommation d'énergie d'un bâtiment pour couvrir ses besoins de chaleur (chauffage et eau chaude sanitaire 'ECS').
Exprimé en mégajoules par mètre carré et par an (MJ/m2a), il représente la quantité annuelle d'énergie finale consommée pour la production de chaleur, ramenée à un mètre carré de plancher chauffé (SRE) et corrigée en fonction des données climatiques de l'année considérée.
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INVENTAIRE BATIMENTS POTENTIELLEMENT SOUMIS A MESURES DE PROTECTION
Uniquement partenaires SITG | PolygoneSous cette dénomination sont regroupés:
- les bâtiments soumis à des mesures de protection, dans le cadre de la loi cantonale sur la protection des monuments et des sites (LPMNS) du 4 juin 1976,
- les bâtiments situés en zone protégée (périmètre protégé ou zone 4BP),
- les bâtiments construits avant 1945.
Cet inventaire n'est pas exhaustif; il s'agit d'un outil indicatif qui permet une préorientation rapide dans le cadre des procédures liées à l'énergie.
Certains bâtiments désignés peuvent ne pas être protégés (bâtiment sans intérêt au sein d'une zone protégée), et d'autres, non désignés le sont (bâtiment recensé, mais n'ayant pas encore fait l'objet d'une procédure de protection).
POTENTIEL PHOTOVOLTAÏQUE (PV) PAR BATIMENT
| PolygoneProduit secondaire.
La couche du potentiel photovoltaïque par bâtiment (EGID) représente et regroupe les informations relatives au potentiel d'énergie PV. Il est basé sur le potentiel solaire dont l'irradiation est au minimum de 800 kWh/m2/an sur les toitures, tenant compte des ombrages, de la pente et de l'orientation (cf. données relatives à la répartition surfacique de ce potentiel dans la couche OCEN_SOLAIRE_BASE_BATIMENT). Le seuil de 800 kWh/m2/an est choisi de sorte une garantir une production et rentabilité économique minimale. Cela permet d'éliminer les zones d'ombrages majeures, tout en laissant à disposition une grande partie des toitures, y compris celles orientées nord mais faiblement inclinées.
La couche fournit les informations de potentiels sur la quantité d'énergie annuelle, la puissance électrique de crête, la surfaces des capteurs, le potentiel d'autoconsommation de l'électricité, les émissions de GES évitées, les données économiques (frais d'investissement, charges, recettes).
Ces données sont calculées dans le cas d'une rentabilité économique optimale (temps de retour sur investissement) liée à l'autoconsommation du courant produit, tenant compte des tarifs d'achat et de revente de l'électricité en vigueur dans les différentes parties du Grand Genève.
L'élaboration de cette couche s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier a permis à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève incluant le canton de Genève, le District de Nyon et les communes francaises limitrophes des départements de l'Ain et de Haute Savoie.
Le cadastre solaire a été calculé sur le Grand Genève en juin 2019 (sur la base des données LIDAR 2017 Genève, 2014 France, 2015 Vaud), puis mis à jour en janvier 2022 uniquement sur le District de Nyon avec les données LIDAR de 2019. Les données calculées ne tiennent pas compte de bâtiments construits après ces dates.
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Produit secondaire
Cette couche contient les données de base permettant d'évaluer le potentiel solaire par bâtiment. Ces données portent notamment sur la répartition des surfaces de toitures par tranche d'irradiation et la répartition mensuelle de l'irradiation solaire. Par exemple, si l'usager souhaite évaluer le potentiel solaire (irradiation) sur les parties de toitures dont l'irradiation est supérieur à 1300 kWh/m2/an, il effectuera la somme pondérée suivante: irradiation solaire totale > 1300 kWh/m2/an = AREA_TOIT * (_13_14 * I_13_14 + _14_20* I_14_20)
L'élaboration de cette couche s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève incluant le canton de Genève, le District de Nyon et les communes francaises limitrophes des départements de l'Ain et de Haute Savoie.
Le cadastre solaire a été calculé sur le Grand Genève en juin 2019 (sur la base des données LIDAR 2017 Genève, 2014 France, 2015 Vaud), puis mis à jour en janvier 2022 uniquement sur le District de Nyon avec les données LIDAR de 2019. Les données calculées ne tiennent pas compte de bâtiments construits après ces dates.
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Cette couche comprend les surfaces utiles où l'irradiation solaire brute annuelle dépasse 1000 kWh/m2.an.
Elle est élaborée à l'échelle du Grand Genève qui englobe le Canton de Genève, le District de Nyon (Canton de Vaud) et plusieurs communautés de communes francaises des départements de l'Ain et de la Haute-Savoie.
Sur le Canton de Genève, les surfaces utiles sont découpées aux limites des toitures (voir la couche CAD_BATIMENT_HORSOL_TOIT). Sur le Canton de Vaud et la partie francaise, les surfaces sont découpées aux limites des bâtiments (voir la couche RTGE_BATIMENT_ENERGIE).
Sur le Canton de Genève, cette couche comprend également les surfaces utiles pouvant se trouver sur des couverts ou des parkings (en tant que couverts potentiels).
La présente version de la couche s'appuie sur les données LIDAR 2017 pour le Canton de Genève, LIDAR 2015 pour la partie vaudoise, et LIDAR 2014 pour la partie francaise (les potentiels calculés ne tiennent pas compte de bâtiments construits après cette date).
L'élaboration de cette couche, en automne 2019, s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève.
Plus d'information sur cette couche et sa méthodologie d'élaboration sont disponibles au travers du rapport - CADASTRE SOLAIRE DU CANTON DE GENEVE - Phase 2 - Analyse du potentiel de production énergétique par les panneaux solaires thermique et PV - Rapport final - Hepia v17.10.2014.
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POTENTIEL SOLAIRE - IRRADIATION BRUTE PAR SURFACE UTILE > 800 kWh/m2/an (y c. couvert et parking)
| PolygoneCette couche comprend les surfaces utiles où l'irradiation solaire brute annuelle dépasse 800 kWh/m2.an.
Elle est élaborée à l'échelle du Grand Genève qui englobe le Canton de Genève, le District de Nyon (Canton de Vaud) et plusieurs communautés de communes francaises des départements de l'Ain et de la Haute-Savoie.
Sur le Canton de Genève, les surfaces utiles sont découpées aux limites des toitures (voir la couche CAD_BATIMENT_HORSOL_TOIT). Sur le Canton de Vaud et la partie francaise, les surfaces sont découpées aux limites des bâtiments (voir la couche RTGE_BATIMENT_ENERGIE).
Sur le Canton de Genève, cette couche comprend également les surfaces utiles pouvant se trouver sur des couverts ou des parkings (en tant que couverts potentiels).
La présente version de la couche s'appuie sur les données LIDAR 2017 pour le Canton de Genève, LIDAR 2015 pour la partie vaudoise, et LIDAR 2014 pour la partie francaise (les potentiels calculés ne tiennent pas compte de bâtiments construits après cette date).
L'élaboration de cette couche, en automne 2019, s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève.
Plus d'information sur cette couche et sa méthodologie d'élaboration sont disponibles au travers du rapport - CADASTRE SOLAIRE DU CANTON DE GENEVE - Phase 2 - Analyse du potentiel de production énergétique par les panneaux solaires thermique et PV - Rapport final - Hepia v17.10.2014.
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Produit secondaire
Cette couche ne contient pas de valeur d'irradiations, mais des typologies de surface de base sur lesquelles des valeurs d'irradiations et de production énergétique sont calculées. Chaque surface de base est identifiée par un numéro (ID_Surface).
La couche est élaborée à l'échelle du Grand Genève qui englobe le Canton de Genève, le District de Nyon (Canton de Vaud) et plusieurs communautés de communes francaises des départements de l'Ain et de la Haute-Savoie.
Sur la partie genevoise trois types de surface sont considérés : les toitures (voir la couche CAD_BATIMENT_HORSOL_TOIT), les couverts (voir la couche CAD_COUVERT), les parkings en surface (voir la couche CAD_DOMROUTIER_OBJETS_NIV0). Pour les bâtiments construits après la dernière mise à jour des toitures, la surface des bâtiments (CAD_BATIMENT_HORSOL) est considérée.
Sur les parties vaudoises et francaises, seules les limites des bâtiments sont considérées (voir la couche RTGE_BATIMENT_ENERGIE).
L'élaboration de cette couche, en automne 2019, s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève.
Plus d'information sur cette couche et sa méthodologie d'élaboration sont disponibles au travers du rapport - CADASTRE SOLAIRE DU CANTON DE GENEVE - Phase 2 - Analyse du potentiel de production énergétique par les panneaux solaires thermique et PV - Rapport final - Hepia v17.10.2014
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Les surfaces bien exposées situées sur les bâtiments peuvent être exploitées pour valoriser l'énergie solaire au niveau thermique et couvrir en partie les besoins d'ECS. Différents indicateurs énergétiques, économiques et environnementaux ont été calculés.
La couche du potentiel de production d'eau chaude sanitaire (ECS) par bâtiment représente et regroupe les informations relatives au potentiel de production d'énergie thermique tenant compte:
- des surfaces bien exposées (qui ont une irradiation solaire brute annuelle dépassant 1000 [kWh/m2 an], nommées ci-après surfaces utiles).
- des besoins en eau chaude sanitaire (ECS).
Ces informations de potentiels portent notamment sur la quantité d'énergie thermique annuelle et mensuelle valorisable pour les besoins propres du bâtiment, les éventuels surplus thermiques (en particulier pendant la période estivale), le taux de couverture des besoins, la surfaces des capteurs, la part de la surface occupée par les capteurs, des données environnementale (tonne de CO2 potentiellement économisée) et des données économiques (frais d'investissement, charges, recettes).
Les données par surfaces utiles sont agrégées par bâtiment. Trois technologies de capteurs thermique sont considérées: capteur vitré, capteur non vitré, capteur sous vide.
Cette couche est élaborée à l'échelle du Grand Genève qui englobe le Canton de Genève, le District de Nyon (Canton de Vaud) et plusieurs communautés de communes francaises des départements de l'Ain et de la Haute-Savoie.
La présente version de la couche s'appuie sur les données LIDAR 2017 pour le Canton de Genève, LIDAR 2015 pour la partie vaudoise, et LIDAR 2014 pour la partie francaise (les potentiels calculés ne tiennent pas compte de bâtiments construits après cette date).
L'élaboration de cette couche, en automne 2019, s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève.
Plus d'information sur cette couche et sa méthodologie d'élaboration sont disponibles au travers du rapport - CADASTRE SOLAIRE DU CANTON DE GENEVE - Phase 2 - Analyse du potentiel de production énergétique par les panneaux solaires thermique et PV - Rapport final - Hepia v17.10.2014.
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La couche du potentiel de production de chaleur sous vide (usages spéciaux) par surface de base (pan de toiture, couvert, parking) représente et regroupe les informations relatives au potentiel de production d'énergie thermique:
- tenant compte des surfaces bien exposées (qui ont une irradiation solaire brute annuelle dépassant 1000 [kWh/m2 an], nommées ci-après surfaces utiles).
- dans cette couche les besoins de chaleurs (ECS et chauffage) du bâtiment recevant les capteurs NE sont volontairement PAS pris en compte. Ceci en vue d'une valorisation thermique spéciale.
Usages spéciaux envisageables: procédés industriels, valorisations au travers d'un chauffage à distance (CAD) et/ou d'un stockage thermique saisonnier, etc. Dans la perspective d'un réseau de chaleur à moyenne voire haute température, on considère une température de production utile par les capteurs sous-vide à 90°C.
Ces informations de potentiels portent notamment sur la quantité d'énergie thermique annuelle, la surface des capteurs, la part de la surface occupée par les capteurs, des données environnementales (tonnes de CO2 potentiellement économisées).
Les données par surfaces utiles sont agrégées par surface de base (pan de toiture, couvert, parking). Seules les surfaces de base ayant des valeurs NON NULL sont considérées. Une seule technologie de capteur thermique est considérée: capteur sous vide.
Cette couche est élaborée à l'échelle du Grand Genève qui englobe le Canton de Genève, le District de Nyon (Canton de Vaud) et plusieurs communautés de communes francaises des départements de l'Ain et de la Haute-Savoie.
La présente version de la couche s'appuie sur les données LIDAR 2017 pour le Canton de Genève, LIDAR 2015 pour la partie vaudoise, et LIDAR 2014 pour la partie francaise (les potentiels calculés ne tiennent pas compte de bâtiments construits après cette date).
L'élaboration de cette couche, en automne 2019, s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève.
Plus d'information sur cette couche et sa méthodologie d'élaboration sont disponibles au travers du rapport - CADASTRE SOLAIRE DU CANTON DE GENEVE - Phase 2 - Analyse du potentiel de production énergétique par les panneaux solaires thermique et PV - Rapport final - Hepia v17.10.2014.
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Les surfaces bien exposées situées sur les bâtiments peuvent être exploitées pour valoriser l'énergie solaire au niveau thermique et couvrir en partie les besoins de CHAUFFAGE et d'ECS. Différents indicateurs énergétiques, économiques et environnementaux ont été calculés.
La couche du potentiel de production de chauffage et d'eau chaude sanitaire (ECS) par bâtiment représente et regroupe les informations relatives au potentiel de production d'énergie thermique tenant compte:
- des surfaces bien exposées (qui ont une irradiation solaire brute annuelle supérieure à 1000 [kWh/m2 an], nommées ci-après surfaces utiles),
- des besoins en chauffage impliquant au préalable une rénovation de l'enveloppe pour les bâtiments anciens et peu performants (Qh - indice utile de chauffage - considéré : max 155 MJ/m2/an),
- des besoins en chaude sanitaire (ECS).
Ces informations de potentiels portent notamment sur la quantité d'énergie thermique annuelle et mensuelle valorisable pour les besoins propres du bâtiment, les éventuels surplus thermiques (en particulier pendant la période estivale), le taux de couverture des besoins, la surface des capteurs, la part de la surface occupée par les capteurs, des données environnementale (tonne de CO2 potentiellement économisée) et des données économiques (frais d'investissement, charges, recettes).
Cette couche est élaborée à l'échelle du Grand Genève qui englobe le Canton de Genève, le District de Nyon (Canton de Vaud) et plusieurs communautés de communes francaises des départements de l'Ain et de la Haute-Savoie.
La présente version de la couche s'appuie sur les données LIDAR 2017 pour le Canton de Genève, LIDAR 2015 pour la partie vaudoise, et LIDAR 2014 pour la partie francaise (les potentiels calculés ne tiennent pas compte de bâtiments construits après cette date).
L'élaboration de cette couche, en automne 2019, s'inscrit dans le cadre du programme INTERREG V France-Suisse et du projet G2 Solaire. Ce dernier permet à la fois de mettre à jour le précédent cadastre solaire genevois de 2016 (sous mandat de l'OCEN - Office cantonal de l'énergie - et des SIG - Services industriels genevois), et de l'étendre sur le reste du Grand Genève.
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RAYONNEMENT THERMIQUE DES TOITURES
| PolygoneClassification en 6 niveaux des déperditions thermiques des toitures mesurées à l'aide d'une caméra embarquée sur hélicoptère.
Les données sont acquises à 500 mètres d'altitude à une vitesse de 70 à 120 km/h à l'aide d'une caméra infrarouge thermique centrée sur 9,75 microns.
L'information thermique acquise est retraitée après la reclassification afin de tenir compte de l'environnement proche des bâtiments (présence d'arbres, relief, etc.)
L'attribut NIVEAU_DEPERDITION renseigne le niveau de déperdition thermique. Objectif Vol hélicoptère effectué les 16 et 17 mars 2009, entre 7h00 et 8h30, hygrométrie 65%, temp. ext. au sol 0 à -1°C, vitesse du vent 2km/h NNE.
Aucune précipitation depuis 120 heures
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Cette couche représente les relations entre les chaudières dites "centralisées" et les bâtiments qu'elles desservent. Il existe des chaudières centralisées qui alimentent en chaleur plusieurs bâtiments. Les relations chaudières indiquent quels sont les bâtiments qui sont alimentés par une même chaudière centralisée.
Les données proviennent de l'application TopoIDC (OCEN).
Elles sont saisies par des concessionnaires mandatés par le propriétaire du bâtiment ou son répondant (par exemple une régie), les concessionnaire sont accrédités par l'OCEN, et sont responsables de saisir les données et calculer l'IDC (indice de dépense de chaleur) en conséquence.
Seuls les bâtiment ayant fait l'objet d'un calcul d'IDC sont renseignés.
L'exactitude de la donnée dépend de la qualité de saisie effectuée par les concessionnaires, ces relations ne sont pas systématiquement contrôlées par l'OCEN.
La fréquence de mise à jour dépend de la saisie de l'IDC, soit en principe une par année, mais les données saisie sont mises à jour en continue (au plus de manière hebdomadaire).
Le Code ICF correspond l'identifiant unique de chaudière (ICF : anciennement Inspection Cantonale du Feu).
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Le Conseil d'Etat a approuvé les cartes 2030 et 2050 du plan directeur des énergies de réseau (PDER) et intégré celles-ci au plan directeur des énergies.
Cette couche contient les zones de développement des réseaux thermiques structurants aux horizons 2030, 2040 et 2050.
Une zone froid est desservie par un réseau froid type GeniLac, dans ce cas, seuls les bâtiments avec à la fois des besoins de chaleur et de rafraichissement sont raccordés.
Une zone chaud est desservie par un réseau froid type GeniTerre, dans ce cas seuls les besoins de chaleur des bâtiments sont adressés.
Une zone chaud-froid est desservie par plusieurs types de réseaux thermiques et tous les besoins (chaleur et rafraichissement) sont adressés.
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