Catalogue
BATIMENTS BILLON (1726-1728)
| PolygoneLe principe de base consiste à superposer une couche récente de vecteurs sur une image d'un plan raster plus ancien et à les comparer.
La digitalisation des bâtiments Billon a été obtenue par la superposition de la couche DPS_GRANGE_BATIMENT sur le plan raster BILLON (1726-1728) et par comparaison des objets entre eux, selon la méthode régressive, tous les bâtiments présentant la même géométrie que ceux issus de la couche DPS_GRANGE_BATIMENT (1896-1911) ont été récupérés depuis celle-ci et ceux exprimant une différence partielle ou totale ont été digitalisés sur la base des plans rasters BILLON (1726-1728) et CEARD (1837-1840).
Il est utile de préciser que seuls les bâtiments en pierre ainsi que les cours ont été digitalisés. Ces dernières, sont traitées comme des objets distincts des bâtiments et ont été interprétées comme étant des espaces libres de construction à l'intérieur ou à l'extérieur des bâtiments sur une même parcelle.
Les structures en bois, les jardins et les terrasses ne figurent pas.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
BATIMENTS CEARD (1837-1840)
| PolygoneLe principe de base consiste à superposer une couche récente de vecteurs sur une image d'un plan raster plus ancien et à les comparer.
La digitalisation des bâtiments CEARD a été obtenue par la superposition des couches DPS_GRANGE_BATIMENT et DPS_BILLON BATIMENT sur le plan raster de CEARD (1837-1840) et par comparaison entre ces différents éléments, selon la méthode régressive. Ainsi, tous les bâtiments présentant la même géométrie que ceux issus de la couche DPS_GRANGE_BATIMENT (1896-1911) ou DPS_BILLON BATIMENT (1726-1728) ont été récupéré depuis celles-ci et ceux ayant une différence partielle ou totale ont été digitalisés sur la base du plan raster de CEARD (1837-1840).
Il est utile de préciser que seuls les bâtiments en pierre ainsi que les cours ont été digitalisés. Ces dernières, sont traitées comme des objets distincts des bâtiments et ont été interprétées comme étant des espaces libres de construction à l'intérieur ou à l'extérieur des bâtiments sur une même parcelle.
Les structures en bois, les jardins et les terrasses ne figurent pas.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
BATIMENTS GRANGE (1896-1911)
| PolygoneLe principe de base consiste à superposer une couche récente de vecteurs sur une image d'un plan raster plus ancien et à les comparer.
La digitalisation des bâtiments Grange à été obtenue par la superposition de la couche CAD_BATIMENT_HORSOL (2004) sur le plan raster GRANGE (1896-1911) et par comparaison des objets entre eux, selon la méthode régressive, tous les bâtiments présentant la même géométrie que ceux issus de la couche CAD_BATIMENT_HORSOL ont été récupérés depuis celle-ci et ceux exprimant une différence partielle ou totale ont été digitalisés sur la base du plan raster GRANGE (1896-1911).
Les cours, sont traitées comme des objets distincts des bâtiments et ont été interprétées comme étant des espaces libres de construction à l'intérieur ou à l'extérieur des bâtiments sur une même parcelle.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
COURS D'EAU BILLON (1726-1728)
| PolygoneLe pourtour des rives du Rhône en 1726-1728 (Billon) et 1837-1840 (Céard) a été tracé sur la base du plan Billon et de la reconstitution des fortifications au milieu du XVIIIe siècle. Il sera peaufiné dans un deuxième temps pour son extension au-delàdes limites de la ville.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
COURS D'EAU CEARD (1837-1840)
| PolygoneLe pourtour des rives du Rhône en 1726-1728 (Billon) et 1837-1840 (Céard) a été tracé sur la base du plan Billon et de la reconstitution des fortifications au milieu du XVIIIe siècle. Il sera peaufiné dans un deuxième temps pour son extension au-delàdes limites de la ville.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
COURS D'EAU GRANGE (1896-1911)
| PolygoneLe pourtour des rives du Rhône a été tracé sur la base des données fournies par le cadastre Grange (1896-1910). Il sera peaufiné dans un deuxième temps pour son extension au-delà des limites de la ville.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Les souterrains des anciennes fortifications (XVIe-XVIIIe siècle) ont été digitalisés sur la base de plans d'origine et de relevés anciens (XVIIIe-XXe siècle), de relevés effectués dans les années 1970 par le Service cantonal de géologie, de reconstitutions hypothétiques (Louis Blondel et Anastazja Winiger-Labuda) et de relevés réalisés dans les années 2010-2020 par la Direction de l'information du territoire, par mandat (Hydro-Geol, Archéotech) ou en collaboration avec la Brigade Recherches et Technique du Département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS).
Le plan mis ici à disposition résulte par conséquent de l'association de sources très diverses, certaines ne présentant pas une fiabilité absolue.
Néanmoins, les relevés dressés du XVIIIe siècle aux années 1970 ont été analysés, confrontés, comparés et géolocalisés, afin de proposer une hypothèse la plus probable.
Par ailleurs, faute de relevés, une partie du réseau est purement hypothétique ; son tracé résulte des logiques du plan d'ensemble et d'emprunts aux caractéristiques des ouvrages connus.
Ces distinctions sont clairement identifiées dans la table attributaire.
La connaissance des souterrains des anciennes fortifications est essentiellement celle des espaces de circulation. Les structures maconnées dans lesquelles ceux-ci s'insèrent sont en revanche très mal connues. Des photographies anciennes et des constats opérés à l'occasion de travaux permettent d'imaginer que les gaines atteignent jusqu'à deux mètres d'épaisseur (ouvrages de 4 à 5 m de largeur en tout) et peuvent se développer en hauteur quasiment jusqu'à la surface (en fonction des démolitions opérées au XIXe siècle). La couche distingue par conséquent une «emprise bâtie supposée» (2D).
Les premiers éléments de cette couche ont été rassemblés en 2021 par M. Francois Florimond Fluck, dans le cadre d'un stage organisé conjointement par la Direction de l'information du territoire et le Service de l'inventaire des monuments d'art et d'histoire. La couche publiée a été réalisée en 2022 par M. Juan Felipe Aguilera Barreto, dans le cadre d'une convention de stage passée par l'Office du patrimoine et des sites avec le Département de géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Cette couche présente la localisation actuelle des lieux de culte médiévaux dans le canton de Genève. Il est précisé s'ils existent toujours actuellement ou s'ils ont disparu.
Cette couche s'inscrit dans un ensemble de couches thématiques présentant la topographie religieuse médiévale de Genève.
Représentant des données historiques anciennes, elle reflète l'état actuel des connaissances en la matière et peut être modifiée en fonction de l'évolution des recherches.
Cette couche a été réalisée sur la base des sources suivantes :
- BRULHART A. et DEUBER-PAULI E., Arts et monuments
Ville et canton de Genève, Berne, Editions Benteli, 1985, 439p.
- Couche "Lieux de culte au moyen-âge", consultable sur le guichet GeoPatrimoine du SITG
- DE LA CORBIEREM. (dir.), Genève, Ville Forte, Les Monuments d'Art et d'Histoire du Canton de Genève, t. 3, Berne, SHAS, 2010, pp. 18, 20
- Raster "Plan des rez-de-chaussée de la Vieille-Ville 1996", consultable sur le guichet GeoPatrimoine du SITG
- TERRIER J., "Villes et villages. Tombes et églises: la Suisse de l'Antiquité Tardive et du Haut Moyen Age", Revue suisse d'art et d'archéologie, no. 59, 2002, pp. 195-206
- TERRIER J., "Les églises rurales de la région genevoise", dans: L'ancienne église Saint-Mathieude Vuillonnex à Genève, Cahiers d'archéologie romande, no. 149 ; Genève et Lausanne, 2014, pp. 111-125
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
HYDROGRAPHIE AU XV SIECLE
| PolygoneCette couche présente la morphologie approximative des principaux éléments du réseau hydrographique de la commune de Genève au XVème siècle (lac Léman, Rhône, Arve).
Elle a été tracée sur la base du travail effectué pour l'ouvrage "Genève, ville forte", le troisième tome réalisé par le service de l'Inventaire des monuments d'art et d'histoire du canton de Genève (IMAHGe), ainsi que de la "Carte de Genève et des environs (Geneva Civitas)" de Jacques-Barthélemy Micheli du Crest de 1730.
Représentant des données historiques anciennes, elle reflète l'état actuel des connaissances en la matière et peut être modifiée en fonction de l'évolution des recherches.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Représentant des données historiques anciennes, elle reflète l'état actuel des connaissances en la matière et peut être modifiée en fonction de l'évolution des recherches.
Cette couche a été réalisée sur la base des sources suivantes :
- BONNET Ch. et al., "Les fouilles de la cathédrale Saint-Pierre de Genève : Les édifices chrétiens et le groupe épiscopal", MDG 65, Genève, SHAG, 2012, pp. 88
- BONNET Ch. et al., "Présentation des églises fouillées dans le canton de Genève par le Service d'archéologie (1967-1997)", dans : Patrimoine et architecture, no 3, août 1997
- BONNET Ch., "Chroniques des découvertes archéologiques dans le canton de Genève en 1984 et 1985", dans: Genava, t. 34, 1986, pp. 60-62
- BONNET Ch., "L'ancienne église de Collonge",dans: Genava, t. 20, 1972, pp. 131-203
- BONNET ch., "L'église de Jussy", dans: Genava, t. 25, 1977, pp. 63-119
- BONNET Ch., "L'église du prieuré de Russin", dans: Genava, t. 19, 1971, pp. 5-109
- BONNET Ch., "L'église Saint-Georges et l'ancien bourgd'Hermance", dans: Genava, t. 21, 1973, pp. 5-107
- BRULHART A. et DEUBER-PAULI E., Arts et monuments
Ville et canton de Genève, Berne, Editions Benteli, 1985, 439p.
- BUJARD J., "L'église Saint-Hippolyte du Grand-Saconnex", dans: Genava, t. 38, 1990, pp. 29-81
- DE LA CORBIERE M. (dir.), Genève, Ville Forte, Les Monuments d'Art et d'Histoire du Canton de Genève, t. 3, Berne, SHAS, 2010, pp. 18, 20, 117
- DEUBER G., "Le temple et le presbytère de Russin. Fouille complémentaire 1996", Dans Genava,t. 46, 1998, pp. 31-41
- FATIO G., Céligny, commune genevoise et enclave en pays de Vaud, Commune de Céligny, 1998, pp. 381-392
- PLAN I., "Corsier, une continuité d'occupation", dans: "Archéologie genevoise 2012-2013", Patrimoine et architecture, série archéologie, no. 2, Office du patrimoine et des sites, service cantonal d'archéologie, Genève, mai 2015, pp. 57-79
- TERRIER J. , L'ancienne église Saint-Mathieu de Vuillonnex à Genève, Cahiers d'archéologie romande, no. 149 ; Genève et Lausanne, 2014
- TERRIER J. et al., "Meinier, travaux autour de l'église Saints-Pierre-et-Paul", dans: Genava, t. 52, 2004, p. 215-310
- TERRIER J. et PLAN I., L'église Saint-Sylvestre de Compesières, Saltkine, Genève, 2011
- TERRIER J., "Découvertes archéologiques dans le canton de Genève en 2004 et 2005", dans: Genava, t. 54, 2006, pp. 325-370
- TERRIER J., "L'église Saint-Pierre de Thônex", dans: Genava, t. 42, 1994, pp. 55-119
- BLONDEL L., "Les premiers édifices chrétiens de Genève : de la fin de l'époque romaine à l'époque romane", dans : Genava, t. 11, 1933, pp. 77-101
- "Plan de la ville et des fortifications de Genève et de la situation des environs tout à l'entour à la portée du canon", Jean Gabriel Mallet, Jean Michel Billon, 1735, côte AEG P. R. 9
15
- BLONDEL L., "Chronique archéologique pour 1944", dans : Genava, t. 23, 1945, pp. 21-43
- BLONDEL L., "Chronique archéologique pour 1951 et 1952", dans : Genava, t. 1, 1953, pp. 69-84
- BLONDEL L., Les Faubourgs de Genève au XVème siècle, série in-4, t. 5, Genève, SHAG, 1919, carte no 2
- Couche de Fortifications de 1477
- DEUBER G., La cathédrale Saint-Pierre de Genève, Guides des monuments suisses, Berne, SHAS, 2002, rabat no 2
- Plan Billon de 1726-1728, côte AEG Cadastre A2
- Raster "Plan des rez-de-chaussée de la Vieille-Ville de 1996", consultable sur le guichet GeoPatrimoine du SITG
- TERRIER J., "Découvertes archéologiques dans le canton de Genève en 1998 et 1999", dans Genava, t. 48, 2000, pp. 163-203
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
LIMITES DES PAROISSES
| PolygoneCette couche présente la digitalisation des limites de paroisses sur le territoire actuel de la commune de Genève. Elle s'inscrit dans un ensemble de couches thématiques présentant la topographie religieuse médiévale de Genève.
Cette couche représentantdes données historiques anciennes, elle reflète l'état actuel des connaissances en la matière et peut être modifiée en fonction de l'évolution des recherches.
Ce travail se base sur les sources suivantes:
- Pour le centre-ville (Genève-cité): carte de l'IMAHGe "Les paroisses de Genève à la fin du Moyen Age", DE LA CORBIERE M. (dir.), Genève, Ville Forte, Les Monuments d'Art et d'Histoire du Canton de Genève, t. 3, Berne, SHAS, 2010, p. 20.
- Pour les limites extérieures à la cité, jusqu'aux frontières du canton: "Plan de Genève avec les limites des franchises et des paroisses en 1477", réalisé par Louis Blondel en 1919, BLONDEL L., Les Faubourgs de Genève au XVème siècle, série in-4, t. 5, Genève, SHAG, 1919, carte no 1.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Les souterrains des anciennes fortifications (XVIe-XVIIIe siècle) ont été digitalisés sur la base de plans d'origine et de relevés anciens (XVIIIe-XXe siècle), de relevés effectués dans les années 1970 par le Service cantonal de géologie, de reconstitutions hypothétiques (Louis Blondel et Anastazja Winiger-Labuda) et de relevés réalisés dans les années 2010-2020 par la Direction de l'information du territoire, par mandat (Hydro-Geol, Archéotech) ou en collaboration avec la Brigade Recherches et Technique du Département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS).
Le plan mis ici à disposition résulte par conséquent de l'association de sources très diverses, certaines ne présentant pas une fiabilité absolue.
Néanmoins, les relevés dressés du XVIIIe siècle aux années 1970 ont été analysés, confrontés, comparés et géolocalisés, afin de proposer une hypothèse la plus probable.
Par ailleurs, faute de relevés, une partie du réseau est purement hypothétique, son tracé résulte des logiques du plan d'ensemble et d'emprunts aux caractéristiques des ouvrages connus.
Ces distinctions sont clairement identifiées dans la table attributaire.
La connaissance des souterrains des anciennes fortifications est essentiellement celle des espaces de circulation. Les structures maconnées dans lesquelles ceux-ci s'insèrent sont en revanche très mal connues. Des photographies anciennes et des constats opérés à l'occasion de travaux permettent d'imaginer que les gaines atteignent jusqu'à deux mètres d'épaisseur (ouvrages de 4 à 5 m de largeur en tout) et peuvent se développer en hauteur quasiment jusqu'à la surface (en fonction des démolitions opérées au XIXe siècle).
La couche distingue par conséquent une «emprise bâtie supposée» (2D).
Les premiers éléments de cette couche ont été rassemblés en 2021 par M. Francois Florimond Fluck, dans le cadre d'un stage organisé conjointement par la Direction de l'information du territoire et le Service de l'inventaire des monuments d'art et d'histoire.
La couche publiée a été réalisée en 2022 par M. Juan Felipe Aguilera Barreto, dans le cadre d'une convention de stage passée par l'Office du patrimoine et des sites avec le Département de géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
PARCELLES BILLON (1726-1728)
| PolygoneLe principe de base consiste à superposer une couche vecteurs récente sur une image d'un plan raster plus ancien et à les comparer.
La digitalisation des parcelles Billon à été obtenue par la superposition de la couche DPS_GRANGE_PARC sur le plan raster BILLON (1726-1728) et par comparaison des objets entre eux, selon la méthode régressive, toutes les parcelles présentant la même géométrie que celles issues de la couche DPS_GRANGE_PARC ont été récupérées depuis celle-ci et celles exprimant une différence partielle ou totale ont été digitalisées sur la base du plan raster BILLON (1726-1728).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
PARCELLES CEARD (1837-1840)
| PolygoneLe principe de base consiste à superposer une couche de vecteurs récente sur une image d'un plan raster plus ancien et à les comparer.
La digitalisation des parcelles Céard a été obtenue par la superposition de la couche DPS_BILLON_PARC sur le plan raster CEARD (1837-1840) et par comparaison des objets entre eux, toutes les parcelles présentant la même géométrie que celles issues de la couche DPS_BILLON_PARC (1726-1728) ont été récupérées depuis celle-ci. Celles exprimant une différence partielle ou totale ont été comparées avec les parcelles issues de la couche DPS_GRANGE_PARC (1896-1911) et récupérées de celle-ci si elles présentaient la même géométrie. Les parcelles ayant une géométrie différente de celle issue des couches DPS_BILLON_PARC et DPS_GRANGE_PARC ont été digitalisées sur la base du plan raster CEARD (1837-1840).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
PARCELLES GRANGE (1896-1911)
| PolygoneLe principe de base consiste à superposer une couche vecteurs récente sur une image d'un plan raster plus ancien et à les comparer.
La digitalisation des parcelles Grange à été obtenue par la superposition de la couche CAD_PARCELLE_MENSU (2004) sur le plan raster GRANGE (1896-1911) et par comparaison des objets entre eux, selon la méthode régressive, toutes les parcelles présentant la même géométrie que celles issues de la couche CAD_PARCELLE_MENSU ont été récupérées depuis celle-ci et celles exprimant une différence partielle ou totale ont été digitalisées sur la base du plan raster GRANGE (1896-1911).
Cette couche a été créée en 2004 par Monsieur Sylvain Ponserre et Madame Sokhna N'Diaye dans le cadre d'une convention de stage passée avec le département de Géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique.
Echelle: 0.04 km
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service