Catalogue
ANALYSES DU RESEAU GEOS
| PointLe réseau GEnevois d'Observation des Sols (GEOS) a pour objectif de réaliser un monitoring à long terme de l'évolution des teneurs en polluants du sol et plus généralement de sa fertilité. Le réseau est constitué de 103 sites de prélèvements représentatifs du territoire genevois. On y réalise tous les cinq ans des prélèvements à une profondeur de 20 cm depuis la surface. Les analyses de monitoring réalisées sur ces prélèvements portent notamment sur qualité des sols (pH, matière organique (MO) et rapport MO/Argile). Des analyses permettant la caractérisation des sites sont réalisées une fois sur chaque site (granulométrie, nutriments, calcaire et capacité d'échange cationique (CEC) effective).
Les sites d'échantillonnage sont fixes, les prélèvements sont effectués exactement au mêmes endroits d'une campagne à l'autre. Ceci permet d'évaluer l'évolution des différents paramètres analysés au cours du temps, en s'affranchissant de leur possible variabilité spatiale. De plus, les sites sont représentatifs de l'occupation des sols du canton. Ils ont été répartis dans huit catégories ans un souci de proportionnalité par rapport à l'occupation de la surface totale des sols du Canton: Grandes Cultures (GC), Cultures Maraîchères (CM), Viticultures (VI), Arboriculture (AR), Prairies (PR), Forêts (FO), Parcs et Jardins (PJ) et Sites Naturels (SN).
La couche GOL_GEOS_ANALYSE contient les résultats d'analyse de suivi de toutes les campagnes déjà réalisées ou en court pour les 103 sites actifs dans le réseau. Les unités de mesure pour les résultats sont: [%] pour MO et MO/Argile.
Certains sites n'ont pas de valeur pour les premières campagnes car ils sont entrés dans le réseau plus tard.
GEOS a été instauré en 1990 par le Laboratoire Cantonal d'Agronomie de Genève aujourd'hui rattaché à la Hate Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'architecture de Genève (HEPIA), dans le Groupe Sols et Substrats. Des prélèvements ont eu lieu en 1990 (campagne 1990-1994), 1995 (campagne 1995-1999) et 2000 (campagne 2000-2004). En 2010, le GESDEC (Service de Géologie, Sols et Déchet) mandate officiellement le groupe Sols et Substrats de HEPIA pour remettre en oeuvre le suivi du réseau GEOS dans le cadre d'application de l'Ordonnance fédérale sur les atteintes portées aux sols (OSol). Deux campagnes ont depuis été réalisées (de 2010 à 2016 puis de 2017 à 2022).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 100 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 100 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 100m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 200 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les deux-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 200m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 300 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les trois-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 300m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 50 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 50 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les cinquante premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 50m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE DES TERRAINS QUATERNAIRES JUSQU'À LA MOLASSE
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne des terrains quaternaires (jusqu'à la molasse).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
La loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT) oblige les cantons à désigner les parties du territoire qui sont menacées par des forces naturelles ou par des nuisances.
Les dangers représentés dans ce jeu de données, sont les dangers géologiques de chutes de pierres et blocs.
Le danger est classifié selon les recommandations de la Confédération :
danger élevé - rouge = zone d'interdiction;
danger moyen - bleu = zone de réglementation;
danger faible - jaune = zone de sensibilisation;
aucun danger connu - blanc = zone où aucun danger n'est déterminé selon l'état des connaissances actuelles;
Le GESDEC a proposé, en 2012, une transcription simplifiée de la carte des phénomènes (=zones instables* ) en carte des dangers. L'estimation du degré de danger est faite selon une matrice propre au phénomène. Dans celle-ci, les caractéristiques de chaque phénomène sont appliquées et un degré de danger est défini.
Chutes de pierres et blocs (CPB)
Selon les standards fédéraux, les caractéristiques déterminant le danger pour les chutes de pierres et blocs, sont l'intensité (classe d'énergie) ainsi que la période ou temps de retour (= fréquence) considéré selon les cas de figures suivants (illustrés dans la matrice simplifiée dans le lien ci-dessous, adaptée de GESDEC 2012) :
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité faible (E <30 kJ) = Danger moyen
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) = Danger moyen
- Rare (Tr 100) avec une intensité faible (E <30 kJ) = Danger faible
- Rare (Tr 100) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) = Danger moyen
https://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/APERCU/GOL_DANGERS_CPB_MATRIX.png
Chutes de pierres et blocs (CPB)
Selon les standards fédéraux, les caractéristiques déterminant le danger pour les chutes de pierres et blocs, sont l'intensité (classe d'énergie) ainsi que la période ou temps de retour (= fréquence) considéré selon les cas de figures suivants (illustrés dans la matrice simplifiée ci-dessous, adaptée de GESDEC 2012) :
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité faible (E <30 kJ) à Danger moyen
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) à Danger moyen
- Rare (Tr 100) avec une intensité faible (E <30 kJ) à Danger faible
- Rare (Tr 100) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) à Danger moyen
Pour définir le degré de danger, les points suivants ont été considérés :
- Il est admis que les zones cartographiées en chutes de pierres et blocs (carte des zones instables) ont des hauteurs de chute et des volumes limités (énergie en général < 30 kJ, sauf cas particuliers avec haute paroi rocheuse (limite fixée à 10 m).
- Les périodes ou temps de retours sont élevés (
Les mesures de protection collectives existantes, le cas échéant, permettent de réduire le degré de danger (par ex. de moyen à faible). Les situations avec et sans mesures sont alors indiquées.
Le degré de danger dans un secteur ne tient pas compte des mesures de protections à l'objet, qui diminuent la vulnérabilité des constructions, mais ne réduisent par l'intensité du phénomène, ni le degré de danger.
La matrice présentée peut évoluer. La ligne supérieure et la dernière colonne peuvent être modifiées, si des cas ne correspondant pas aux valeurs d'intensité ou Tr devraient se présenter (une période de retour de 300 ans ou des énergies largement supérieures à 30 kJ par exemple).
La carte d'intensité pour le phénomène de chutes de pierres et blocs n'a pas été établie spécifiquement, mais la table d'attributs propose la correspondance danger-intensité (et temps de retour) pour chaque secteur de la carte en tenant compte des principes suivants :
- Le temps de retour étant fixé à 30 ans (dans tous les cas recensés), la hauteur de la paroi fixe la classe d'intensité (énergie) :
• Paroi inférieure à 10 m = intensité faible (< 30 kJ)
• Paroi supérieure à 10 m = intensité moyenne (> 30 kJ)
• Aucune paroi en danger élevé = pas d'intensité élevée (>300 kJ)
* Zones instables, Carte des phénomènes et territoires en mouvement permanent, Carte des dangers, Note explicative GESDEC 2012, non publiée, d'après note explicative GADZ de juin 2001.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
La loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT) oblige les cantons à désigner les parties du territoire qui sont menacées par des forces naturelles ou par des nuisances.
Les dangers représentés dans ce jeu de données, sont les dangers géologiques de glissements de terrain permanents profonds.
Le danger est classifié selon les recommandations de la Confédération :
danger élevé - rouge = zone d'interdiction;
danger moyen - bleu = zone de réglementation;
danger faible - jaune = zone de sensibilisation;
aucun danger connu - blanc = zone où aucun danger n'est déterminé selon l'état des connaissances actuelles;
Le GESDEC a proposé, en 2012, une transcription simplifiée de la carte de phénomènes (= zones instables*) en carte des dangers. L'estimation du degré de danger est faite selon une matrice propre au phénomène. Dans celle-ci, les caractéristiques de chaque phénomène sont appliquées et un degré de danger est défini.
Glissements de terrain permanents (GLP):
Selon les standards fédéraux, la caractéristique déterminant le degré de danger pour les glissements de terrain permanents est la vitesse moyenne. Un glissement se définit également par sa profondeur.
Pour les glissements de terrain sur le territoire genevois, la carte des zones instables contient deux catégories de vitesses : peu actif ou lent/très lents (correspondant à une vitesse <5 cm/an) et actif (>5 cm/an) et deux catégories de profondeurs : superficiel (correspondant à une profondeur <2 m) et profond (>2 m).
L'application de la matrice se fait par la simplification suivante : la limite de 2 cm/an donnée par les standards fédéraux, correspond à celle de 5 cm/an de la carte des zones instables selon les cas de figures suivants (illustrées dans la matrice simplifiée dans le lien ci-dessous, adaptée de GESDEC 2012) :
- Superficiel (<2 m) avec une vitesse < 5 cm/an (peu actif) = danger faible
- Superficiel (<2 m) avec une vitesse > 5 cm/an (actif) = danger moyen
- Profond (>2 m) avec une vitesse < 5 cm/an (lent ou très lent) = danger moyen
- Profond (>2 m) avec une vitesse > 5 cm/an (actif) = danger élevé
Les mesures de protection collectives existantes, le cas échéant, permettent de réduire le degré de danger (par ex. de moyen à faible). Les situations avec et sans mesures sont alors indiquées.
https://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/APERCU/GOL_DANGERS_GLP_MATRIX.png
Matrice des dangers pour les glissements de terrain permanents
La matrice présentée peut évoluer. La ligne supérieure et la dernière colonne peuvent être modifiées, si des cas ne correspondant pas aux valeurs de vitesse ou de profondeur devraient se présenter (des profondeurs largement supérieures à 2 m ou des vitesse nettement plus élevées que 5 cm/an par exemple).
La carte d'intensité pour le phénomène de glissement de terrain permanent n'a pas été établie spécifiquement, car l'attribution de « temps de retour » est inadaptée. Le processus étant continu, son intensité est valable à tous les temps de retours et c'est cas le plus défavorable qu'il faut considérer (soit Tr 30 ans). La table d'attributs propose la correspondance danger-intensité pour chaque secteur de la carte en fonction de la vitesse.
Les trois critères complémentaires proposées par l'OFEV pour la détermination de l'intensité (vitesse maximal du glissement [Vmax], mouvements différentiels [md] et épaisseur du glissement [p] n'ont pas été considérés, car jugés non pertinents pour la typologie des glissements sur territoire genevois.
*Zones instables, Carte des phénomènes et territoires en mouvement permanent, Carte des dangers, Note explicative GESDEC 2012, non publiée, d'après note explicative GADZ de juin 2001.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CARTE HYDROGEOLOGIQUE DU CANTON
| PolygoneLa carte hydrogéologique du canton résulte d'interpolations de relevés de sondages, d'interprétation de mesures géophysiques et de mesures piézométriques sur le terrain.
Elle permet d'identifier: les nappes d'eau souterraines profondes, les nappes d'eau souterraines superficielles et les nappes d'eau souterraines temporaires.
Ce document ne peut prétendre à une délimitation exacte et résume l'état des connaissances à la date de mise à jour. Les indications ont un caractère général et le degré de précision correspond à une carte à l'échelle 1:25'000.
L'intégralité de la base de données des équipements hydrogéologiques peut être téléchargée depuis l'URL suivante:: https://ge.ch/geodata/sitg/SONDAGES_EQUIPEMENTS_HYDRO/BASE_SONDAGES_EQUIPEMENTS_HYDRO.zip
Glossaire
- piézomètre: dispositif consistant en un tube enfoncé verticalement dans le sol par sondage et servant à mesurer le niveau d'eau d'une nappe d'eau souterraine.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 100 METRES DE PROFONDEUR
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 100 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 100m).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 200 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 200m).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 300 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 300m).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE - SONDES 50 M
| PolygoneCONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 50 METRES DE PROFONDEUR
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 50 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 50m).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE DES TERRAINS QUATERNAIRES JUSQU'À LA MOLASSE
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne des terrains quaternaires (jusqu'à la molasse).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
COURBES ALTIMETRIQUES ISOPIEZES
| LigneLes isopièzes (ou hydroisohypses) sont des courbes altimétriques de même niveau d'eau dans le sous-sol.
La connaissance des isopièzes permet de déterminer le sens des écoulements d'une nappe.
L'altitude est calculée sur des moyennes sur plusieurs années en fonction des données des relevés piézométriques effectuées au sein du service de géologie, sols et déchets.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service