Catalogue
Les photos illustrent les commentaires sur les zones indicatives de dangers. Les pictogrammes bleus (superposés aux photos) indiquent le sens des écoulements normaux de la rivière, alors que les pictogrammes roses représentent les débordements et leur sens de propagation.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Le plan d'implantation des sondes géothermiques verticales est effectuée sur la base des modèles des formations attribuées au sommet du toit de l'imperméable (molasse + riss) et du toit de l'alluvion ancienne. Celui-ci est divisé en deux zones.
La première zone représente les lieux où l'implantation de sondes géothermiques est interdite en raison de la présence de nappes d'eau souterraines du domaine public.
La deuxième zone indique les endroits où il est nécessaire de demander, auprès du service de géologie sols et déchets (GESDEC) des renseignements complémentaires.
Remarque importante
Le requérant est tenu de vérifier que l'implantation et la profondeur des forages sont compatibles avec d'éventuelles installations enterrées existantes (canalisations, galeries, tunnels, ancrages, etc).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
PLAN DIRECTEUR DES GRAVIERES
![Open Data](/sitg/sites/default/modules/sitg_catalog/images/opendata-logo.png)
Le plan directeur des gravières est un document qui fixe la politique suivie par le canton en matière d'exploitation des gravières. Il définit, notamment au moyen de cartes, les secteurs où l'extraction de gravier est envisageable. Ce document lie les autorités cantonales et communales mais n'engage pas les propriétaires fonciers et les particuliers.
Le plan directeur présente deux types de zones:
la zone d'exploitation,
qui définit des surfaces pour lesquelles la procédure de demande d'ouverture d'une gravière peut s'engager sans délai.
la zone d'attente,
qui définit des surfaces pour lesquelles les infrastructures de transport sont actuellement insuffisantes pour permettre une exploitation.
Il à été adopté par le Conseil d'Etat en 2010.
Concu comme un outil de gestion pour l'exploitation des graviers dans le canton de Genève, le nouveau plan directeur intègre ces nouvelles contraintes liées à l'environnement et à l'aménagement du territoire.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
PLANS D'EXTRACTION DES GRAVIERES
![Open Data](/sitg/sites/default/modules/sitg_catalog/images/opendata-logo.png)
Les plans d'extraction sont des plans d'affectation adoptés par le Conseil d'Etat ou en cours de projet. Ces plans définissent les zones de gravières qui sont conforment à la loi fédérale sur l'aménagement du territoire, du 4 juin 1987.
Ils permettent d'effectuer une pesée globale de tous les intérêts concernant l'aménagement du territoire, la protection de l'environnement et la protection de la nature et du paysage. Les plans d'extraction font l'objet d'une carte représentant la situation et la limite de ces plans.
Chaque plan est numéroté.
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
- WFS : accéder au service
Le réseau GEnevois d'Observation des Sols (GEOS) a pour objectif de réaliser un monitoring à long terme de l'évolution des teneurs en polluants du sol et plus généralement de sa fertilité. Le réseau est constitué de 103 sites de prélèvements représentatifs du territoire genevois. On y réalise tous les cinq ans des prélèvements à une profondeur de 20 cm depuis la surface. Les analyses de monitoring réalisées sur ces prélèvements portent notamment sur qualité des sols (pH, matière organique (MO) et rapport MO/Argile). Des analyses permettant la caractérisation des sites sont réalisées une fois sur chaque site (granulométrie, nutriments, calcaire et capacité d'échange cationique (CEC) effective).
Les sites d'échantillonnage sont fixes, les prélèvements sont effectués exactement au mêmes endroits d'une campagne à l'autre. Ceci permet d'évaluer l'évolution des différents paramètres analysés au cours du temps, en s'affranchissant de leur possible variabilité spatiale. De plus, les sites sont représentatifs de l'occupation des sols du canton. Ils ont été répartis dans huit catégories ans un souci de proportionnalité par rapport à l'occupation de la surface totale des sols du Canton: Grandes Cultures (GC), Cultures Maraîchères (CM), Viticultures (VI), Arboriculture (AR), Prairies (PR), Forêts (FO), Parcs et Jardins (PJ) et Sites Naturels (SN).
La couche GOL_GEOS_PORTRAIT contient les résultats d'analyses de caractérisation des 103 sites actifs. Ce sont les analyses qui ne sont réalisées qu'une fois par site lorsque le site entre dans le réseau GEOS. Les analyses concernent la granulométrie du sol, les taux de nutriments présents dans le sol, le carbonate, la capacité d'échange cationique effective et la capacité d'échange cationique potentielle ainsi que toutes les composantes liées à la CEC. La CEC effective est une analyse qui a été introduite plus récemment pour remplacer la CEC potentielle. Les sites les plus anciens du réseau ont fait l'objet d'un second prélèvement pour déterminer la CEC effective. On n'analyse plus la CEC potentielle pour les sites qui entrent dans le réseau depuis 2010.
GEOS a été instauré en 1990 par le Laboratoire Cantonal d'Agronomie de Genève aujourd'hui rattaché à la Hate Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'architecture de Genève (HEPIA), dans le Groupe Sols et Substrats. Des prélèvements ont eu lieu en 1990 (campagne 1990-1994), 1995 (campagne 1995-1999) et 2000 (campagne 2000-2004). En 2010, le GESDEC (Service de Géologie, Sols et Déchet) mandate officiellement le groupe Sols et Substrats de HEPIA pour remettre en oeuvre le suivi du réseau GEOS dans le cadre d'application de l'Ordonnance fédérale sur les atteintes portées aux sols (OSol). Deux campagnes ont depuis été réalisées (de 2010 à 2016 puis de 2017 à 2022).
Voir la fiche complète
Ouvrir la donnée dans la carte
- Esri ArcGIS Rest : accéder au service
POTENTIEL GEOTHERMIQUE THEORIQUE DES NAPPES PHREATIQUES
Uniquement partenaires SITG | PolygonePOTENTIEL GEOTHERMIQUE THEORIQUE DES NAPPES PHREATIQUES GENEVOISES
Sur la base des informations contenues dans les cartes de potentiel unitaire et de production potentielle et en considérant que les caractéristiques des nappes sont à peu près identiques pour les nappes principales d'une part et pour les nappes superficielles d'autre part (températures, chimie), il est possible d'établir une carte générale, qualitative, du potentiel géothermique des nappes genevoises.
Cette représentation prend en compte le plan d'aménagement cantonal pour nuancer le potentiel d'utilisation des nappes et estimer de l'intérêt de la ressource en fonction du contexte local (possibilités de valorisation). Ainsi, une nappe située dans une partie du canton non habitée et à faible développement n'aura qu'un faible potentiel d'installation géothermique, même si des conditions hydrogéologiques favorables sont réunies. De même, une nappe avec des caractéristiques qui ne permettent son exploitation que par de petites installations ne sera pas utile si elle se situe sous un centre de développement important (immeubles et bâtiments industriels par exemple).
Par ailleurs, les simulations pour les nappes principales ont été réalisées pour des installations plus importantes que pour les nappes superficielles. La comparaison entre ces deux types de nappes, notamment en termes de puissance unitaire, n'est donc pas directement possible.
Dans la pratique, même pour une nappe considérée comme favorable à l'exploitation, la réalisation d'une étude hydrogéologique spécifique est indispensable pour chaque projet. En effet, les variations de transmissivité peuvent être très importantes, même à l'échelle d'une parcelle, particulièrement dans les nappes superficielles. De plus, la dynamique saisonnière des nappes doit également être bien appréhendée localement pour une valorisation optimale de la ressource.
Enfin, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Le rapport complet sur le Potentiel Géothermique Genevois (PGG) est consultable à l'adresse suivante : http://www.ge.ch/energie
POTENTIEL THEORIQUE DE PRODUCTION DES NAPPES PHREATIQUES GENEVOISES
Uniquement partenaires SITG | PolygoneCette cartographie représente la production potentielle cumulée de chaleur et de froid des nappes genevoises (en GWh/an) pour des installations géothermiques. Elle est calculée en considérant une utilisation de 2000 h/an et un COP de 5 pour les pompes à chaleur et basée sur une estimation globale des paramètres hydrogéologiques moyens de chaque nappe.
Seules les surfaces correspondant aux zones constructibles et de développement ont été prises en compte pour les calculs (possibilités d'exploitation à court et moyen terme). Cette option relativise le potentiel de production de certaines nappes, à fort potentiel unitaire mais situées en zones agricoles (Champagne, Aire...).
De plus, les simulations pour les nappes principales ont été réalisées pour des installations plus importantes que pour les nappes superficielles. La comparaison entre ces deux types de nappes, notamment en termes de puissance unitaire, n'est donc pas directement possible.
Dans la pratique, même pour une nappe considérée comme favorable à l'exploitation, la réalisation d'une étude hydrogéologique spécifique est indispensable pour chaque projet. En effet, les variations de transmissivité peuvent être très importantes, même à l'échelle d'une parcelle, particulièrement dans les nappes superficielles. De plus, la dynamique saisonnière des nappes doit également être bien appréhendée localement pour une valorisation optimale de la ressource.
Enfin, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de géomatériaux.
- le potentiel géothermique.
Le rapport complet sur le Potentiel Géothermique Genevois (PGG) est consultable à l'adresse suivante : http://www.ge.ch/energie
Projets guichet GEothermies
Données réservées métiers | PolygoneReprésentation des projets de géothermie qui sont traités par le guichet GEothermies.