Catalogue
INONDATION CONDITIONNELLE
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 10 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 100 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 2 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 30 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 300 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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La combinaison des classes d'intensité avec les classes de probabilité permettent de décrire les degrés de danger érosion (indexés de 1 à 9).
Pour les érosions, les critères adoptés dépendent de la profondeur moyenne de la brèche (D), mesurée perpendiculairement depuis la surface du talus :
- intensité forte : D > 2 mètres
- intensité moyenne : 2m > D > 0.5 m
- intensité faible : D< 0.5 m
La probabilité d'apparition d'un dommage se définit au moyen de classes. Les limites de classes sont définies de la manière suivante :
- probabilité élevée : T < 30 ans
- probabilité moyenne : 30 ans < T < 100 ans
- probabilité faible : 100 ans < T < 300 ans
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ISOLIGNES CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 100 METRES DE PROFONDEUR
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de capacité calorifique du sous-sol pour des sondes de 100m de profondeur, avec une équidistance de 0,1 [MJ/(m3.K)]. Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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ISOLIGNES CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de capacité calorifique du sous-sol pour des sondes de 200m de profondeur, avec une équidistance de 0,1 [MJ/(m3.K)].Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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ISOLIGNES CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de capacité calorifique du sous-sol pour des sondes de 300m de profondeur, avec une équidistance de 0,1 [MJ/(m3.K)]. Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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ISOLIGNES CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 50 METRES DE PROFONDEUR
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de capacité calorifique du sous-sol pour des sondes de 50m de profondeur, avec une équidistance de 0,1 [MJ/(m3.K)]. Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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ISOLIGNES CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE DES TERRAINS QUATERNAIRES JUSQU'À LA MOLASSE
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de capacité calorifique moyenne des terrains quaternaires (jusqu'à la molasse), avec une équidistance de 0,1 [MJ/(m3.K)]. Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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ISOLIGNES DE LA CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 100 METRES DE PROFONDEUR
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de conductivité thermique du sous-sol pour des sondes de 100m de profondeur, avec une équidistance de 0,2 [W/(mK)]. Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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ISOLIGNES DE LA CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de conductivité thermique du sous-sol pour des sondes de 200m de profondeur, avec une équidistance de 0,2 [W/(mK)]. Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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ISOLIGNES DE LA CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
Les isolignes ont été calculées à partir du modèle numérique représentant les variations de conductivité thermique du sous-sol pour des sondes de 300m de profondeur, avec une équidistance de 0,2 [W/(mK)]. Afin de donner un rendu plus doux les courbes de niveaux ont été retravaillées par le biais d'un lissage qui ne modifie en rien l'information de base.
Modèle numérique avec une maille de 5m.
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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