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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 200 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les deux-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 200m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 300 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les trois-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 300m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 50 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 50 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les cinquante premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 50m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE DES TERRAINS QUATERNAIRES JUSQU'À LA MOLASSE
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne des terrains quaternaires (jusqu'à la molasse).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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La loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT) oblige les cantons à désigner les parties du territoire qui sont menacées par des forces naturelles ou par des nuisances.
Les dangers représentés dans ce jeu de données, sont les dangers géologiques de chutes de pierres et blocs.
Le danger est classifié selon les recommandations de la Confédération :
danger élevé - rouge = zone d'interdiction;
danger moyen - bleu = zone de réglementation;
danger faible - jaune = zone de sensibilisation;
aucun danger connu - blanc = zone où aucun danger n'est déterminé selon l'état des connaissances actuelles;
Le GESDEC a proposé, en 2012, une transcription simplifiée de la carte des phénomènes (=zones instables* ) en carte des dangers. L'estimation du degré de danger est faite selon une matrice propre au phénomène. Dans celle-ci, les caractéristiques de chaque phénomène sont appliquées et un degré de danger est défini.
Chutes de pierres et blocs (CPB)
Selon les standards fédéraux, les caractéristiques déterminant le danger pour les chutes de pierres et blocs, sont l'intensité (classe d'énergie) ainsi que la période ou temps de retour (= fréquence) considéré selon les cas de figures suivants (illustrés dans la matrice simplifiée dans le lien ci-dessous, adaptée de GESDEC 2012) :
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité faible (E <30 kJ) = Danger moyen
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) = Danger moyen
- Rare (Tr 100) avec une intensité faible (E <30 kJ) = Danger faible
- Rare (Tr 100) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) = Danger moyen
https://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/APERCU/GOL_DANGERS_CPB_MATRIX.png
Chutes de pierres et blocs (CPB)
Selon les standards fédéraux, les caractéristiques déterminant le danger pour les chutes de pierres et blocs, sont l'intensité (classe d'énergie) ainsi que la période ou temps de retour (= fréquence) considéré selon les cas de figures suivants (illustrés dans la matrice simplifiée ci-dessous, adaptée de GESDEC 2012) :
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité faible (E <30 kJ) à Danger moyen
- Fréquent (Tr 30) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) à Danger moyen
- Rare (Tr 100) avec une intensité faible (E <30 kJ) à Danger faible
- Rare (Tr 100) avec une intensité moyenne (E >30 kJ) à Danger moyen
Pour définir le degré de danger, les points suivants ont été considérés :
- Il est admis que les zones cartographiées en chutes de pierres et blocs (carte des zones instables) ont des hauteurs de chute et des volumes limités (énergie en général < 30 kJ, sauf cas particuliers avec haute paroi rocheuse (limite fixée à 10 m).
- Les périodes ou temps de retours sont élevés (
Les mesures de protection collectives existantes, le cas échéant, permettent de réduire le degré de danger (par ex. de moyen à faible). Les situations avec et sans mesures sont alors indiquées.
Le degré de danger dans un secteur ne tient pas compte des mesures de protections à l'objet, qui diminuent la vulnérabilité des constructions, mais ne réduisent par l'intensité du phénomène, ni le degré de danger.
La matrice présentée peut évoluer. La ligne supérieure et la dernière colonne peuvent être modifiées, si des cas ne correspondant pas aux valeurs d'intensité ou Tr devraient se présenter (une période de retour de 300 ans ou des énergies largement supérieures à 30 kJ par exemple).
La carte d'intensité pour le phénomène de chutes de pierres et blocs n'a pas été établie spécifiquement, mais la table d'attributs propose la correspondance danger-intensité (et temps de retour) pour chaque secteur de la carte en tenant compte des principes suivants :
- Le temps de retour étant fixé à 30 ans (dans tous les cas recensés), la hauteur de la paroi fixe la classe d'intensité (énergie) :
• Paroi inférieure à 10 m = intensité faible (< 30 kJ)
• Paroi supérieure à 10 m = intensité moyenne (> 30 kJ)
• Aucune paroi en danger élevé = pas d'intensité élevée (>300 kJ)
* Zones instables, Carte des phénomènes et territoires en mouvement permanent, Carte des dangers, Note explicative GESDEC 2012, non publiée, d'après note explicative GADZ de juin 2001.
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La loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT) oblige les cantons à désigner les parties du territoire qui sont menacées par des forces naturelles ou par des nuisances.
Les dangers représentés dans ce jeu de données, sont les dangers géologiques de glissements de terrain permanents profonds.
Le danger est classifié selon les recommandations de la Confédération :
danger élevé - rouge = zone d'interdiction;
danger moyen - bleu = zone de réglementation;
danger faible - jaune = zone de sensibilisation;
aucun danger connu - blanc = zone où aucun danger n'est déterminé selon l'état des connaissances actuelles;
Le GESDEC a proposé, en 2012, une transcription simplifiée de la carte de phénomènes (= zones instables*) en carte des dangers. L'estimation du degré de danger est faite selon une matrice propre au phénomène. Dans celle-ci, les caractéristiques de chaque phénomène sont appliquées et un degré de danger est défini.
Glissements de terrain permanents (GLP):
Selon les standards fédéraux, la caractéristique déterminant le degré de danger pour les glissements de terrain permanents est la vitesse moyenne. Un glissement se définit également par sa profondeur.
Pour les glissements de terrain sur le territoire genevois, la carte des zones instables contient deux catégories de vitesses : peu actif ou lent/très lents (correspondant à une vitesse <5 cm/an) et actif (>5 cm/an) et deux catégories de profondeurs : superficiel (correspondant à une profondeur <2 m) et profond (>2 m).
L'application de la matrice se fait par la simplification suivante : la limite de 2 cm/an donnée par les standards fédéraux, correspond à celle de 5 cm/an de la carte des zones instables selon les cas de figures suivants (illustrées dans la matrice simplifiée dans le lien ci-dessous, adaptée de GESDEC 2012) :
- Superficiel (<2 m) avec une vitesse < 5 cm/an (peu actif) = danger faible
- Superficiel (<2 m) avec une vitesse > 5 cm/an (actif) = danger moyen
- Profond (>2 m) avec une vitesse < 5 cm/an (lent ou très lent) = danger moyen
- Profond (>2 m) avec une vitesse > 5 cm/an (actif) = danger élevé
Les mesures de protection collectives existantes, le cas échéant, permettent de réduire le degré de danger (par ex. de moyen à faible). Les situations avec et sans mesures sont alors indiquées.
https://ge.ch/sitg/geodata/SITG/CATALOGUE/APERCU/GOL_DANGERS_GLP_MATRIX.png
Matrice des dangers pour les glissements de terrain permanents
La matrice présentée peut évoluer. La ligne supérieure et la dernière colonne peuvent être modifiées, si des cas ne correspondant pas aux valeurs de vitesse ou de profondeur devraient se présenter (des profondeurs largement supérieures à 2 m ou des vitesse nettement plus élevées que 5 cm/an par exemple).
La carte d'intensité pour le phénomène de glissement de terrain permanent n'a pas été établie spécifiquement, car l'attribution de « temps de retour » est inadaptée. Le processus étant continu, son intensité est valable à tous les temps de retours et c'est cas le plus défavorable qu'il faut considérer (soit Tr 30 ans). La table d'attributs propose la correspondance danger-intensité pour chaque secteur de la carte en fonction de la vitesse.
Les trois critères complémentaires proposées par l'OFEV pour la détermination de l'intensité (vitesse maximal du glissement [Vmax], mouvements différentiels [md] et épaisseur du glissement [p] n'ont pas été considérés, car jugés non pertinents pour la typologie des glissements sur territoire genevois.
*Zones instables, Carte des phénomènes et territoires en mouvement permanent, Carte des dangers, Note explicative GESDEC 2012, non publiée, d'après note explicative GADZ de juin 2001.
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CARTE DU RISQUE D'EROSION DES SOLS CULTIVES
| PolygoneL'érosion des surfaces agricoles et viticoles doit être évitée pour des raisons d'ordre économique et écologique. Comme la quantité de sol formée chaque année est faible, des pertes de l'ordre d'une tonne par hectare amènent déjà une diminution irréversible du volume d'enracinement pour les plantes.
Lorsque les phénomènes érosifs se répètent fréquemment, la capacité du sol à remplir ses fonctions (production, rétention de l'eau, filtration et adsorption de substances toxiques) diminue, et ceci d'autant plus que les pertes sont importantes et que l'épaisseur du sol est faible.
La carte du risque d'érosion représente pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité que la fertilité du sol soit menacée.
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CARTE HYDROGEOLOGIQUE DU CANTON
| PolygoneLa carte hydrogéologique du canton résulte d'interpolations de relevés de sondages, d'interprétation de mesures géophysiques et de mesures piézométriques sur le terrain.
Elle permet d'identifier: les nappes d'eau souterraines profondes, les nappes d'eau souterraines superficielles et les nappes d'eau souterraines temporaires.
Ce document ne peut prétendre à une délimitation exacte et résume l'état des connaissances à la date de mise à jour. Les indications ont un caractère général et le degré de précision correspond à une carte à l'échelle 1:25'000.
L'intégralité de la base de données des équipements hydrogéologiques peut être téléchargée depuis l'URL suivante:: https://ge.ch/geodata/sitg/SONDAGES_EQUIPEMENTS_HYDRO/BASE_SONDAGES_EQUIPEMENTS_HYDRO.zip
Glossaire
- piézomètre: dispositif consistant en un tube enfoncé verticalement dans le sol par sondage et servant à mesurer le niveau d'eau d'une nappe d'eau souterraine.
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CARTE PEDOLOGIQUE DES SOLS AGRICOLES
| PolygoneLa carte pédologique des sols agricoles du Canton de Genève donne des indications sur les types de sols, les aptitudes à la mise en valeur, les dynamiques et réserves en eau et les textures de surface. Elle a été réalisée en 1985 par une équipe de pédologue sous la conduite de Michel Gratier et Philippe de Pury. Le mandant était le Service de l'agriculture qui a financé sa réalisation. La digitalisation a été effectuée par le Conservatoire du jardin botanique (Nicolas Wyler).
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CARTE PRECOCITES VIGNOBLES - DONNEES VITICULTEURS
Uniquement partenaires SITG | RasterCARTE DES PRECOCITES DES VIGNOBLES ETABLIE PAR LES DONNEES DES VITICULTEURS
La carte montre les zones précoces et tardives dessinées par 29 producteurs et digitalisées sous format informatique.
Ce raster à été élaboré par l'Ecole d'Ingénieurs de Changins - Groupe Sol - Stéphane Burgos, sur mandat de la Direction Générale de l'Agriculture (DGA)
Les commentaires sur les zones de dangers indicatives décrivent les hypothèses de cheminement des eaux. Cette estimation de propagation des écoulements est basée à partir soit d'une visite de terrain, soit d'une interprétation du modèle numérique d'altitude (MNA).
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CONCEPT ENERGETIQUE TERRITORIAL (CET) VALIDE
| PolygoneLe périmètre des CET permet de localiser, à l'échelle du territoire, les études énergétiques réalisées.
L'objectif général d'un concept énergétique territorial (CET) est, à partir d'un état des lieux des ressources, besoins, acteurs et infrastructures, de proposer des stratégies de valorisation des ressources locales et des stratégies d'approvisionnement.
Il vise à satisfaire, à court comme à plus long terme, les besoins du périmètre concerné - voire parvenir à un solde énergétique local positif - en cohérence avec les objectifs de politique énergétique, soit la Société à 2000 Watts sans nucléaire comme vision à long terme.
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CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 100 METRES DE PROFONDEUR
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 100 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 100m).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 200 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 200m).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CONDUCTIVITE THERMIQUE MOYENNE POUR DES SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
La conductivité thermique caractérise l'aptitude d'un corps (ici le sol) à conduire la chaleur. Elle s'exprime en Watt par mètre-kelvin [W/(mK)]. Il s'agit d'une propriété importante concernant le dimensionnement des sondes géothermiques verticales (SGV) puisque plus la conductivité thermique d'un sol est élevée, plus il sera facile d'en extraire de la chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la conductivité thermique moyenne sur les 300 premiers mètres de sols (ou pour un sonde de 300m).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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