Séance du
jeudi 24 juin 2004 à
20h30
55e
législature -
3e
année -
10e
session -
51e
séance
Interpellations urgentes écrites
Interpellations urgentes écrites
Le président. Mesdames et Messieurs les députés, vous avez trouvé sur vos places les interpellations urgentes écrites suivantes:
Interpellation urgente écrite de M. Jean Rémy Roulet : Interventionnisme excessif de l'administration dans la gestion privée des entreprises ( IUE 109)
Interpellation urgente écrite de Mme Salika Wenger : Le gouvernement genevois s'est-il suffisamment renseigné sur l'association Cordoue et les personnes qui l'ont constituée avant de permettre une large tribune à un événement prétendument culturel mais qui pourrait servir de cheval de Troie à un mouvement islamiste aussi puissant que dangereux ? ( IUE 110)
Interpellation urgente écrite de Mme Nelly Guichard : Taxes perçues pour les procédures de naturalisation et double nationalité : Le Conseil d'Etat peut-il mieux informer les personnes et familles concernées ? ( IUE 111)
Interpellation urgente écrite de M. Alain Meylan : L'Etat complice du non-respect de la volonté populaire dans le quartier des Eaux-Vives ? En acceptant d'autoriser des aménagements éphémères pour une durée de 60 jours en 2004 au lieu de trois mois comme en 2003, le Conseil d'Etat ne contourne-t-il pas la volonté populaire en excluant toute possibilité de recours ? ( IUE 112)
Interpellation urgente écrite de M. Hugues Hiltpold : Vieux Carouge : que fait la police ? ( IUE 113)
Des voix. C'est vrai ça, Monsieur Hiltpold, que fait la police ?
Le président. Il s'agit bien d'interpellations, mais ce n'est pas une raison pour interpeller l'interpellateur, Mesdames et Messieurs les radicaux !
Conformément à l'article 162D de notre règlement, le Conseil d'Etat, respectivement le conseiller d'Etat interpellé, répond par écrit, au plus tard lors de la session suivante.
Mesdames et Messieurs les députés, nous reprenons le cours de notre ordre du jour.