Séance du
jeudi 30 novembre 2000 à
17h
54e
législature -
4e
année -
2e
session -
55e
séance
I 2024
M. Christian Brunier (S). Dans un document intitulé «Vision stratégique 2003», préparé par le comité directeur de la HES-SO, la haute école spécialisée de Suisse occidentale, on annonçait la suppression de plusieurs filières d'études à l'école d'ingénieurs de Genève, notamment le génie chimique, la microtechnique et le génie civil.
Depuis, les professeurs de l'EIG ont élaboré des scénarios alternatifs et la présidente du DIP a instauré une politique de dialogue, reconnue aujourd'hui par les professeurs de l'EIG. La concertation a donc succédé - on peut s'en réjouir - à une longue période de conflit entre le DIP et les enseignants de l'EIG. Dans ce contexte, étant donné qu'il y a un véritable dialogue aujourd'hui entre le DIP et cette école, je renonce à mon interpellation !
La présidente. Madame la conseillère d'Etat, vous pouvez répondre à cette non-interpellation !
Mme Martine Brunschwig Graf. J'aimerais remercier M. le député Brunier de renoncer à son interpellation. La politique menée non seulement par les enseignants, mais par l'ensemble de l'école d'ingénieurs de Genève, cadres et direction compris, et les propositions qui se sont dégagées ont fait école sur le plan romand, en Suisse occidentale, et la stratégie proposée à Genève a été présentée comme étant celle de Suisse occidentale aux délégués de la commission fédérale qui terminaient leur mandat. Tout ceci se présente donc sous les meilleurs auspices.
La présidente. Nous considérons donc cette «non-interpellation» comme close, et passons au point suivant de l'ordre du jour !
Cette interpellation est close.