Séance du
vendredi 19 novembre 1999 à
17h
54e
législature -
3e
année -
1re
session -
55e
séance
IU 758
M. Gérard Ramseyer. Je me réfère essentiellement à ce que je viens de dire à MM. Annen et Ducrest. D'abord, je note que vous reconnaissez vous-même que la situation actuelle n'est pas satisfaisante. Je répète ma volonté de trouver la solution la meilleure avec l'ensemble des milieux concernés, y compris, bien entendu, les usagers professionnels, de manière qu'ils puissent alimenter convenablement le centre-ville. Toutefois, nous aurons un problème sérieux : celui de l'accessibilité par les transporteurs professionnels pendant la durée du chantier.
Vous me dites que la gendarmerie pourrait faire plus. Je vous réponds que ce n'est pas l'envie qui manque, mais les moyens. J'espère vous retrouver aux côtés de la police genevoise, lorsqu'il faudra voter des crédits relatifs aux effectifs.
Ma dernière remarque pour vous dire, Monsieur le député, qu'il est très difficile et très long de modifier les habitudes. Mais, dès qu'un chantier important est ouvert, nécessité fait loi. C'est la raison pour laquelle, en accord avec M. Ferrazino, je crois que nous devons, dès maintenant, travailler tous ensemble, Etat et Ville, sur la situation Bel-Air 2003. C'est l'affaire de tous. C'est bien sûr aussi l'affaire des milieux économiques et des milieux des transporteurs professionnels.
Cette interpellation urgente est close.