Séance du
vendredi 29 octobre 1999 à
17h
54e
législature -
2e
année -
11e
session -
48e
séance
IU 736
M. Gérard Ramseyer. La difficulté de garer une voiture en Vieille-Ville est conséquence de la géographie d'une part, et le résultat d'une volonté largement exprimée au sein de la Concertation Vieille-Ville menée avec l'ensemble des milieux intéressés, d'autre part.
Même s'il est vrai qu'il n'est pas aisé d'y garer une voiture, il convient de rappeler que de très nombreuses opportunités se présentent à proximité, ne serait-ce qu'au parking Saint-Antoine, par exemple. Le fait que les voitures se garent sur les places deux-roues pose problème : à la police donc de faire son travail ! Notons simplement que l'interpellateur se plaint simultanément que les amendes soient très salées... L'offre deux-roues peut encore être augmentée pour la prochaine belle saison en périphérie immédiate, si nécessaire, mais forcément au détriment de quelques places pour voitures. Encore faut-il que les usagers potentiels se donnent la peine de marcher au moins une dizaine de mètres.
Mais j'aimerais, Monsieur le député, attirer votre attention sur ceci : l'offre, avant cet été, était de 280 à 300 places, mais avant que nous prenions des mesures cette offre était de 240 places - nous avons donc passé de 240 à 280-300 places - et depuis nous avons encore ajouté 92 places en Vieille-Ville, y compris 13 places réservées aux vélos à la Taconnerie. L'augmentation de cet été avait été promise en concertation, si la demande le nécessitait. Nous cherchons d'autres développements pour la belle saison prochaine, mais vous prions néanmoins instamment de considérer l'effort déjà très dense que nous avons produit dans ce domaine.
Cette interpellation urgente est close.