Séance du
vendredi 26 mars 1999 à
17h
54e
législature -
2e
année -
5e
session -
13e
séance
11. Ordre du jour.
Le président. Il reste encore à traiter le rapport sur l'audit. Je ne sais pas s'il est raisonnable de le faire à plus de minuit. Je suggère aux députés qui ont proposé de traiter cet objet en urgence de renoncer et de cesser nos travaux. Mais vous êtes maîtres de votre ordre du jour.
Mme Alexandra Gobet (S). Monsieur le président, il y a plus d'un mois, le Bureau du Grand Conseil a refusé de mettre à l'ordre du jour le rapport de M. David Hiler parce qu'il avait été déposé avec vingt-quatre heures de retard - m'a-t-on expliqué au service du Grand Conseil. J'ai pris la peine de vous écrire avant la séance du Grand Conseil pour vous demander de porter ce point à l'ordre du jour de cette séance. Vous avez soumis cette proposition à ce Grand Conseil, qui l'a acceptée.
Monsieur le président, si les partis représentés à ce Bureau ont été actifs à la commission de la réforme pour déplorer les carences du Conseil d'Etat à faire avancer la réforme de l'Etat, ce soir, moi je déplore que le Bureau du Grand Conseil ait fait aussi peu preuve de diligence pour que cet objet soit traité... Mais nous aurons l'occasion de reparler de cette affaire !
Je persiste à demander que cet objet soit traité maintenant, comme cela aurait déjà dû être le cas depuis des mois.
Le président. Bien, moi je suis à votre disposition. Vous avez décidé de mettre un certain nombre de points à l'ordre du jour. J'accepte. Je ne peux pas faire autrement que de les mettre à l'ordre du jour. Il est minuit dix, j'ai suggéré d'arrêter la séance à 23 h et vous ai incités à raccourcir vos interventions sur des sujets qui me semblaient un petit peu moins importants. Si vous voulez traiter ce point, libre à vous.
Mise aux voix, cette proposition est adoptée.