Séance du
vendredi 20 janvier 1995 à
17h
53e
législature -
2e
année -
3e
session -
4e
séance
IU 61
M. Philippe Joye, conseiller d'Etat. Dans son interpellation urgente, M. Saurer faisait allusion à l'utilisation de la plate-forme ferroviaire Eaux-Vives/Annemasse.
L'hypothèse d'utiliser la plate-forme ferroviaire Eaux-Vives/Annemasse pour une voie routière a été émise par l'office des transports et de la circulation dans le cadre de la problématique des accès complémentaires à la traversée du petit lac. Cette idée peut présenter un intérêt dans la mesure où le métro transfrontalier emprunterait l'axe de la route de Chêne plutôt que l'emplacement de la voie ferroviaire. Actuellement, les deux variantes ainsi que d'autres sont en pleine étude et il ne faut exclure, à ce stade, aucune hypothèse a priori. Il s'agira aussi, avant de prendre une décision, de connaître l'avis de nos partenaires français sur le projet de métro transfrontalier, le tracé et le choix du système : une voie métrique ou une voie ferroviaire.
Vous serez saisis bientôt de propositions concrètes dans tous ces domaines, faites par la délégation des transports du Conseil d'Etat et, ensuite, vous pourrez vous faire une opinion claire sur les propositions de décision que nous vous soumettrons.
Cette interpellation urgente est close.