Séance du
vendredi 13 mai 2016 à
14h
1re
législature -
3e
année -
4e
session -
18e
séance
M 2268-A
Débat
Le président. Nous arrivons à la M 2268-A... (Brouhaha. Le président agite la cloche.) ...et je donne la parole à M. François Lefort.
M. François Lefort (Ve). Merci, Monsieur le président. Mesdames et Messieurs les députés, depuis la première réponse du Conseil d'Etat à la motion de Mme de Candolle en 2012, motion que nous avions d'ailleurs soutenue, il s'est écoulé trois ans durant lesquels le Conseil d'Etat n'a pas tenu compte de cette demande pourtant exprimée à réitérées reprises au travers de questions écrites urgentes et motions, et le MCG a finalement repris la même motion en 2015 suite à l'absence de réponse satisfaisante.
Je prends la parole pour dire que cette fois-ci, la réponse est satisfaisante, et nous en sommes tout à fait reconnaissants au Conseil d'Etat - comme cela arrive de temps en temps, il faut lui dire que nous en sommes assez contents. Si la solution de l'arrêté que nous avions demandée en 2012 n'a pas été retenue par le Conseil d'Etat, une autre option, celle d'un nouvel article du règlement sur la conservation de la végétation arborée, semble, elle, satisfaisante et à même de réduire les populations de chenilles processionnaires sur les chênes et pins de ce canton, pour le plus grand bien de la population. En résumé, même si nous ne pouvons que prendre acte de ce rapport du Conseil d'Etat, nous le ferons avec satisfaction et reconnaissance.
Présidence de Mme Christina Meissner, première vice-présidente
M. Thierry Cerutti (MCG). Mesdames et Messieurs les députés, en tant que corédacteur de cette deuxième motion - la première était bien entendu celle de Mme de Candolle - je voulais également faire part de ma satisfaction quant à la réponse du Conseil d'Etat. Même s'il a malheureusement fallu deux motions pour en arriver là, je suis heureux d'apprendre qu'il a enfin mis en place des moyens pour éradiquer les chenilles processionnaires.
La présidente. Je vous remercie, Monsieur le député.
Le Grand Conseil prend acte du rapport du Conseil d'Etat sur la motion 2268.