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CONTINUUM NOCTURNE

La couche « Continuum nocturne » représente les zones sombres du territoire la nuit, théoriquement non impactées par l'éclairage artificiel.
Il s'agit des portions du territoire depuis lesquelles le nombre de sources lumineuse visible est nul (0).
C'est un produit dérivé de la couche « Visibilité de l'éclairage artificiel » (FFP_VISIBILITE_ECLAIRAGE).
Les données de base utilisées pour aboutir à ce résultat sont : l'orthophoto nocturne de 2013 à partir de laquelle sont obtenues les sources lumineuses, les modèles numériques de surface et de terrain de l'agglomération (2014) ainsi que les données d'éclairage public de la ville de Genève (SIG).
Cette donnée est issue d'un travail réalisé par la Haute Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'Architecture de Genève (HEPIA) à l'institut de recherche Terre-Nature-Environnement (InTNE).
Il fait suite au travail de référence publié en collaboration avec l'Université de Genève et l' Office cantonale de l'agriculture et de la nature : https://doi.org/10.1016/j.rsase.2019.100268
Auteurs de la donnée : Laurent Huber, Jessica Ranzoni sous la supervision de Claude Fischer / HEPIA
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Les sous-secteurs statistiques couvrent une entité territoriale à une échelle intermédiaire entre la parcelle et la commune. Ils permettent de distinguer, dans les zones urbaines, les différents quartiers, ou dans les zones rurales, des villages et hameaux des zones agricoles ou forestières.
Le canton de Genève ont été découpées en 394 sous-secteurs en 1990. Une mise à jour en 2004 à fait passer le nombre de sous-secteurs à 475.
Le code d'identification a été complété par un 7ème chiffre
- 1er et 2ème : numéro fédéral de la commune (sur 2 chiffres --> 6638 = 38)
- 3ème et 4ème: numéro du secteur (Ville de Genève uniquement)
- 5ème à 7ème: numéro du sous-secteur
Le 7ème chiffre du code permet d'identifier les modifications par rapport au découpage d'origine
- nn0 sous-secteur sans modification
- nn1 à nn4 sous-secteur créé par subdivision
- nn9 sous-secteur avec adaptation des limites (modifications mineures)
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Les degrés de danger sont délimités pour chaque type de danger (inondation et érosion). La combinaison des classes d'intensité avec les classes de probabilité permettent de décrire les degrés de danger (indexés de 1 à 9). Dans le cas où une surface est menacée par plusieurs types de danger, c'est le degré le plus élevé qui est déterminant.
Les degrés de danger sont les suivants :
- Danger élevé / rouge = zone d'interdiction
- Danger moyen / bleu = zone de réglementation
- Danger faible / jaune = zone de sensibilisation
- Aucun danger connu / blanc
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DOCUMENTS DES PGEE

RESEAU D'ASSAINISSEMENT DES EAUX - DOCUMENTS PGEE
Cette couche permet l'accès, via des hyperliens, à l'ensemble des documents relatifs aux Plans Généraux d'Evacuation des Eaux (PGEE).
Selon leurs état d'avancement (en cours de réalisation, adopté), les thématiques des phases ci-dessous sont documentées:
1 - Diagnostique
- Documents généraux du projet
- Cadastre des canalisations
- Rapport d'état des cours d'eau
- Rapport d'état des eaux claires parasites
- Rapport d'état des canalisations
- Rapport d'état de l'infiltration
- Rapport d'état du bassin versant
- Rapport d'état des zones de danger
- Débits d'eau à évacuer
- Plan d'actions urgentes
- Synthèse
2 - Concept
- Objectifs à atteindre et contraintes liées aux cours d'eau
- Concept d'évacuation des eaux
3 - Plan d'actions
Plan d'actions
Concept d'exploitation
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DOCUMENTS DES PREE

RESEAU D'ASSAINISSEMENT DES EAUX - DOCUMENTS PREE
Le plan régional d'évacuation des eaux (PREE) est un outil cantonal de planification de l'assainissement.
Il se décline en trois phases :
- Une phase de diagnostic, constituée d'un certain nombre de rapports d'état traitant les différents constituants du cycle dit "urbain" de l'eau (cours d'eau, canalisations, bassins versants et évolution du territoire, eaux claires parasites, zones présentant un danger, débits des eaux à évacuer, infiltration des eaux pluviales).
- Une phase de concept, constituée d'un rapport d'objectifs et d'un ou de plusieurs rapports techniques d'élaboration de variantes.
- Une phase de mise en oeuvre, constituée d'un plan d'actions à un horizon d'une vingtaine d'années.
Les rapports sont accompagnés d'annexes et de cartes.
Les documents mis en ligne sont ceux qui ont fait l'objet d'une validation par la Direction générale de l'eau. Les documents provisoires ne sont pas mis en ligne.
Certaines études annexes aux PREE sont également mises en ligne.
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Cette couche regroupe l'évaluation des 17 indcateurs relevés dans le cadre de la méthode d'analyse de l'écomorphologie des rives lacustres de l'OFEV, ces indicateurs sont les suivants :
- Aménagement de la ligne de rive (B01)
- Connexion avec un cours d'eau (B02)
- Exposition aux vagues (B03)
- Habitation, artisanat et industrie dans la bande riveraine (C01)
- Activités de loisirs dans la bande riveraine (C02)
- Voies et surfaces de circulation dans la bande riveraine (C03)
- Exploitation agricole ou sylvicole de la bande riveraine (C04)
- Aménagement de cours d'eau dans la bande riveraine (C05)
- Végétation riveraine (C06)
- Type de rive (C07)
- Végétation typique des rives (C08)
- Utilisation dans la bande de l'arrière-rive (D01)
- Végétation de transition dans la bande de l'arrière-rive (D02)
- Modifications du fond du lac dans la zone littorale (E01)
- Structures et installations dans la zone littorale (E02)
- Étendue de la zone littorale (E03)
- Végétation émergente de la zone littorale (E04)
Pour chacun d'eux une évaluation est réalisée selon la méthode.
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ESPACE MINIMAL DES COURS D'EAU

L'espace minimal est constitué à partir d'une composante liquide, solide et nature.
La composante liquide est issue de la carte indicative des dangers (CID), le couloir de crue et les zones de stockage proches du cours d'eau.
La composante solide est délimitée à partir des zones instables au bord des cours d'eau.
La composante nature est une largeur définie sur la base d'une liste d'espèces faunistiques typique du cours d'eau.
L'espace issu de la superposition des ces couches est ensuite confronté aux constructions existantes afin de le diminuer aux endroits 'perdus' pour le cours d'eau
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ESPACES INTERDITS AUX CHIENS

Le 17 juin 2007, le peuple genevois a voté, avec une forte majorité, d'importantes modifications de la loi sur la détention des chiens. Celles-ci prévoient notamment que certains lieux publics doivent être interdits aux chiens.
Cette démarche permet ainsi de satisfaire les différentes attentes des usagers de l'espace public :
si les chiens et leurs propriétaires peuvent bénéficier de prérogatives dans certaines zones - les espaces de liberté pour chiens - ils doivent également admettre des restrictions dans d'autres.
Certains parcs sont ainsi interdits aux chiens afin d'y garantir la tranquillité et la sécurité du public et notamment des enfants.
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FONCTION DU PLAN DIRECTEUR FORESTIER

Le Plan Directeur Forestier représente le faîte de la planification forestière. Il vise à défendre les intérêts publics propres à la forêt et à assurer la coordination avec l'aménagement du territoire.
Sa durée de validité a été fixée à 20 ans afin d'assurer une continuité dans la manière de gérer les forêts.
L'attribution d'une fonction prioritaire à une zone forestière représente la volonté d'action et le traitement futur de la forêt à long terme.
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GARES SCHEMA D'AGGLOMERATION 3

Schéma d'agglomération de 3ème génération (2016)
- les gares avec desserte nationale ou internationale constituent les noeuds principaux du réseau ferroviaire d'agglomération : elles desservent les zones les plus denses et offrent des correspondances optimales entre des différents niveaux d'offres (RER, RE, IR, IC, ICN, international) et les réseaux urbains.
- les gares avec desserte régionale ou RER desservent des zones urbaines denses et certains centres locaux et bénéficient de rabattement locaux.
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INDICE D'ECOPOTENTIALITE URBAINE PAR COMMUNE

L'indice d'écopotentialité urbaine permet d'évaluer le degré potentiel de biodiversité d'un territoire. Il est constitué de 8 indicateurs et mesure la capacité d'accueil en biodiversité d'un milieu urbain en fonction de la présence de structures - naturelles ou aménagées - favorables à la biodiversité.
Dans le milieu urbain, la biodiversité est contrainte par l'influence humaine dans un contexte de mutation territoriale. Il existe donc un enjeu fort de conservation et d'aménagement des espaces verts en ville, afin de lutter contre la perte et la banalisation des espèces, et de conserver la variété, la taille et la connectivité des espaces semi-naturels urbains. Dans ce contexte, les Conservatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) collaborent depuis 2014 avec l'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN) dans le but de proposer des outils cartographiques utiles à la prise en considération de cette ressource au travers des planifications directrices et localisées. L'écopotentialité est un lot d'indicateurs synthétique de l'état de la biodiversité pour un périmètre donnée (commune, quartier, zone d'affectation). Il a été réfléchi afin de mettre en avant les points forts et les points faibles de la zone d'étude et donc de faire un lien intéressant avec l'aménagement futur.
L'indice est construit sur la base de 8 indicateurs normalisés, c'est-à-dire que chaque plage de valeur des indicateurs est ramenée à une plage normée entre 0 et 1 de manière à permettre une représentation agrégée des 8 indicateurs:
1) Densité de toitures végétalisées (m2/m2) : évaluation de la proportion de surface de toiture végétalisée par rapport aux surfaces bâties d'un périmètre donné.
2) Surface perméable (%) : évaluation du pourcentage de surface de milieux perméables par rapport aux surfaces imperméables
3) Diversité des milieux verts : regroupement des milieux en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux verts.
4) Densité d'arbres (nb/ha): Nombre d'arbre issu de l'identification via des données LIDAR auxquels s'ajoutent les surfaces forestières (densité moyenne de 370 arbres/ha).
5) Fragmentation: Mesure la fragmentation du paysage par la présence de barrières physiques (routes, zones bâties, etc.) pour le déplacement de la faune et de la flore entre deux points.
6) Naturalité : Indice compris entre +/- l'infini, qui distingue les milieux qui ont conservé leurs qualités naturelles (valeurs positives élevées), des milieux affecté par les activités humaines (valeurs négatives élevées).
7) Diversité de milieux aquatiques et humides: regroupement des milieux aquatiques en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux aquatiques.
8) Surface milieux aquatiques: évaluation de la surface de milieu aquatique et humide occupés par rapport à la surface de la zone d'intérêt.
Les données de base utilisées lors des analyses sont notamment la carte des milieux naturels et la couche toitures végétalisées (SIPV_MN_CARTO_5, SIPV_EV_TOIT_VERT).
L'indice permet de faire un lien intéressant avec l'aménagement et la gestion du territoire en identifiant les facteurs manquants ou favorables à la biodiversité sur le périmètre considéré. Les périmètres d'étude vont de l'échelle de la commune, jusqu'à la zone d'aménagement (1500m2).
C'est pourquoi, cet indice a été intégré en annexe du guide de densification de la zone 5 (zone villa) publié par l'Office de l'urbanisme en 2017. Il est par ailleurs utilisé par les communes et leurs mandataires dans le cadre de la révision des plans directeurs communaux et des plans guides des Grands projets.
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INONDATION CONDITIONNELLE

Par inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 10 ANS

Par inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 100 ANS

Par inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 2 ANS

Par inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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