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IMAD - ZONE DE MAINTIEN A DOMICILE
| PolygoneEn lien avec la couche IMAD_CENTRE_MAINT_DOMICILE, cette dernière représente les quatre zones d'activités opérationnelles chacune attribuée à un Centre de Maintien à Domicile (CMD) qui en assure la gestion.
Une zone regroupe plusieurs antennes de maintien à domicile (AMD), elles-mêmes divisées en plusieurs équipes (EMD).
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L'indice d'écopotentialité urbaine permet d'évaluer le degré potentiel de biodiversité d'un territoire. Il est constitué de 8 indicateurs et mesure la capacité d'accueil en biodiversité d'un milieu urbain en fonction de la présence de structures - naturelles ou aménagées - favorables à la biodiversité.
Dans le milieu urbain, la biodiversité est contrainte par l'influence humaine dans un contexte de mutation territoriale. Il existe donc un enjeu fort de conservation et d'aménagement des espaces verts en ville, afin de lutter contre la perte et la banalisation des espèces, et de conserver la variété, la taille et la connectivité des espaces semi-naturels urbains. Dans ce contexte, les Conservatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) collaborent depuis 2014 avec l'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN) dans le but de proposer des outils cartographiques utiles à la prise en considération de cette ressource au travers des planifications directrices et localisées. L'écopotentialité est un lot d'indicateurs synthétique de l'état de la biodiversité pour un périmètre donnée (commune, quartier, zone d'affectation). Il a été réfléchi afin de mettre en avant les points forts et les points faibles de la zone d'étude et donc de faire un lien intéressant avec l'aménagement futur.
L'indice est construit sur la base de 8 indicateurs normalisés, c'est-à-dire que chaque plage de valeur des indicateurs est ramenée à une plage normée entre 0 et 1 de manière à permettre une représentation agrégée des 8 indicateurs:
1) Densité de toitures végétalisées (m2/m2) : évaluation de la proportion de surface de toiture végétalisée par rapport aux surfaces bâties d'un périmètre donné.
2) Surface perméable (%) : évaluation du pourcentage de surface de milieux perméables par rapport aux surfaces imperméables
3) Diversité des milieux verts : regroupement des milieux en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux verts.
4) Densité d'arbres (nb/ha): Nombre d'arbre issu de l'identification via des données LIDAR auxquels s'ajoutent les surfaces forestières (densité moyenne de 370 arbres/ha).
5) Fragmentation: Mesure la fragmentation du paysage par la présence de barrières physiques (routes, zones bâties, etc.) pour le déplacement de la faune et de la flore entre deux points.
6) Naturalité : Indice compris entre +/- l'infini, qui distingue les milieux qui ont conservé leurs qualités naturelles (valeurs positives élevées), des milieux affecté par les activités humaines (valeurs négatives élevées).
7) Diversité de milieux aquatiques et humides: regroupement des milieux aquatiques en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux aquatiques.
8) Surface milieux aquatiques: évaluation de la surface de milieu aquatique et humide occupés par rapport à la surface de la zone d'intérêt.
Les données de base utilisées lors des analyses sont notamment la carte des milieux naturels et la couche toitures végétalisées (SIPV_MN_CARTO_5, SIPV_EV_TOIT_VERT).
L'indice permet de faire un lien intéressant avec l'aménagement et la gestion du territoire en identifiant les facteurs manquants ou favorables à la biodiversité sur le périmètre considéré. Les périmètres d'étude vont de l'échelle de la commune, jusqu'à la zone d'aménagement (1500m2).
C'est pourquoi, cet indice a été intégré en annexe du guide de densification de la zone 5 (zone villa) publié par l'Office de l'urbanisme en 2017. Il est par ailleurs utilisé par les communes et leurs mandataires dans le cadre de la révision des plans directeurs communaux et des plans guides des Grands projets.
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Les objets de l'inventaire des zones alluviales, ainsi que ceux qui ont été ajoutés ou modifiés par la suite dans le cadre de la mise à jour, ont été saisis puis cartographiés. Les objets cartographiés ont été scannés à partir de films transparents, puis vectorisés, géoréférencés et attribués. Les nouvelles surfaces ont été saisies par photogrammétrie à partir d'images aériennes infra-rouge.
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Dans cette classe d'entité ont été inventoriées et cartographiées les zones alluviales: - d'au moins 2 ha en bordure des lacs et cours d'eau naturels ou proches de l'état naturel- d'au moins 5 ha en bordure de cours d'eaux corrigés, pour autant que les superficies minimales susmentionnées soient recouvertes d'une végétation typique des zones alluviales.Les objets cartographiés ont été numérisés manuellement à partir de la carte nationale.
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INVENTAIRE BATIMENTS POTENTIELLEMENT SOUMIS A MESURES DE PROTECTION
Uniquement partenaires SITG | PolygoneSous cette dénomination sont regroupés:
- les bâtiments soumis à des mesures de protection, dans le cadre de la loi cantonale sur la protection des monuments et des sites (LPMNS) du 4 juin 1976,
- les bâtiments situés en zone protégée (périmètre protégé ou zone 4BP),
- les bâtiments construits avant 1945.
Cet inventaire n'est pas exhaustif; il s'agit d'un outil indicatif qui permet une préorientation rapide dans le cadre des procédures liées à l'énergie.
Certains bâtiments désignés peuvent ne pas être protégés (bâtiment sans intérêt au sein d'une zone protégée), et d'autres, non désignés le sont (bâtiment recensé, mais n'ayant pas encore fait l'objet d'une procédure de protection).
INDICE D'ECOPOTENTIALITE URBAINE PAR COMMUNE
| PolygoneL'indice d'écopotentialité urbaine permet d'évaluer le degré potentiel de biodiversité d'un territoire. Il est constitué de 8 indicateurs et mesure la capacité d'accueil en biodiversité d'un milieu urbain en fonction de la présence de structures - naturelles ou aménagées - favorables à la biodiversité.
Dans le milieu urbain, la biodiversité est contrainte par l'influence humaine dans un contexte de mutation territoriale. Il existe donc un enjeu fort de conservation et d'aménagement des espaces verts en ville, afin de lutter contre la perte et la banalisation des espèces, et de conserver la variété, la taille et la connectivité des espaces semi-naturels urbains. Dans ce contexte, les Conservatoire et Jardin Botaniques de la Ville de Genève (CJB) collaborent depuis 2014 avec l'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN) dans le but de proposer des outils cartographiques utiles à la prise en considération de cette ressource au travers des planifications directrices et localisées. L'écopotentialité est un lot d'indicateurs synthétique de l'état de la biodiversité pour un périmètre donnée (commune, quartier, zone d'affectation). Il a été réfléchi afin de mettre en avant les points forts et les points faibles de la zone d'étude et donc de faire un lien intéressant avec l'aménagement futur.
L'indice est construit sur la base de 8 indicateurs normalisés, c'est-à-dire que chaque plage de valeur des indicateurs est ramenée à une plage normée entre 0 et 1 de manière à permettre une représentation agrégée des 8 indicateurs:
1) Densité de toitures végétalisées (m2/m2) : évaluation de la proportion de surface de toiture végétalisée par rapport aux surfaces bâties d'un périmètre donné.
2) Surface perméable (%) : évaluation du pourcentage de surface de milieux perméables par rapport aux surfaces imperméables
3) Diversité des milieux verts : regroupement des milieux en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux verts.
4) Densité d'arbres (nb/ha): Nombre d'arbre issu de l'identification via des données LIDAR auxquels s'ajoutent les surfaces forestières (densité moyenne de 370 arbres/ha).
5) Fragmentation: Mesure la fragmentation du paysage par la présence de barrières physiques (routes, zones bâties, etc.) pour le déplacement de la faune et de la flore entre deux points.
6) Naturalité : Indice compris entre +/- l'infini, qui distingue les milieux qui ont conservé leurs qualités naturelles (valeurs positives élevées), des milieux affecté par les activités humaines (valeurs négatives élevées).
7) Diversité de milieux aquatiques et humides: regroupement des milieux aquatiques en 8 catégories assurant des fonctions différentes pour la biodiversité, puis calcul d'un indice de diversité en milieux aquatiques.
8) Surface milieux aquatiques: évaluation de la surface de milieu aquatique et humide occupés par rapport à la surface de la zone d'intérêt.
Les données de base utilisées lors des analyses sont notamment la carte des milieux naturels et la couche toitures végétalisées (SIPV_MN_CARTO_5, SIPV_EV_TOIT_VERT).
L'indice permet de faire un lien intéressant avec l'aménagement et la gestion du territoire en identifiant les facteurs manquants ou favorables à la biodiversité sur le périmètre considéré. Les périmètres d'étude vont de l'échelle de la commune, jusqu'à la zone d'aménagement (1500m2).
C'est pourquoi, cet indice a été intégré en annexe du guide de densification de la zone 5 (zone villa) publié par l'Office de l'urbanisme en 2017. Il est par ailleurs utilisé par les communes et leurs mandataires dans le cadre de la révision des plans directeurs communaux et des plans guides des Grands projets.
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L'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25x25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte COMPOSITION traite des donnnées d'observation d'espèces faune et flore et de la composition en milieux naturels.
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent que la zone se situe dans un cold spot de biodiversité.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des hot spot de biodiversité.
L'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte CONNECTIVITE traite des donnnées d'analyse de connectivité pour des espèces faunistiques (cerf, crapaud commun, lièvre) et de trame noire.
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent des éléments du territoire dont la connectivité a été dégradée, susceptibles d'empêcher les espèces de se déplacer.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des éléments favorable à la connectivité des espèces.
l'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte SERVICE ECOSYSTEMIQUE traite des bienfaits rendus par la nature en lien avec la biodiversité (séquestration du carbone, abondance des pollinisateurs, régulation du microclimat, contrôle de l'érosion, protection contre les crues, cultures intéressantes pour la biodiversité, qualité de l'eau et de l'air).
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent que peu de service sont rendu.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fournis de nombreux services différents.
l'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle.
La carte STRUCTURE traite des donnnées de structure du paysage à savoir des indices basés sur la carte des milieux naturels de Genève tells que la fragmentation des milieux, la perméabilité, la naturalité ou encore la diversité des milieux.
Elle est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent des éléments du territoire dont la fonctionnalité a été dégradée, susceptibles d'empêcher les espèces de se déplacer.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des éléments favorable à la fonctionnalité des habitats.
l'Infrastructure Ecologique genevoise (IE) découle de l'objectif 11 d'Aichi définis dans le Plan Stratégique mondial (CBD, 2010), repris par la confederation et la SBG30.
Il s'agit de mettre en périmètre protégé 17% de zone terrestre de haute qualité biologique. Toutefois, pour assurer la protection de la biodiversité cantonale, ces hotspots ne se suffisent pas. En effet, selon le Forum Biodiversité Suisse 13 % de zone supplémentaire sont encore nécessaires pour assurer une mise en réseau cohérente, mais aussi la fonctionnalité des écosystèmes et fournir des services écosystémique (SE) tout en participant à la prospérité économique, sociale et environnementale de la population.
L'infrastructure écologique est le résultat de l'utilisation d'un logiciel de priorisation spatiale (Zonation).
L'algorithme de Zonation part de l'ensemble des cellules (résolution de 25*25m) d'un territoire donné et supprime à chaque itération la cellule avec la plus petite perte globale de potentiel estimé de biodiversité, pour produire une carte de priorité spatiale classée par ordre d'importance relative pour la protection de la biodiversité (classée entre 1 et 100).
Les inputs sont variés et traitent de la biodiversité de facon multidimensionnelle afin d'en estimer la qualité, en compilant des informations d'habitat, de richesse spécifique de structure et fonction des écosystèmes et de service écosystémique.
La carte DIAGNOSTIC BIODIVERSITE est couvrante sur le territoire, des valeurs faibles indiquent que la zone se situe dans un cold spot de biodiversité pour lequel apporter une amélioration serait bénéfique.
A l'inverse des valeurs élevées (supérieures à 70 sur 100) indiquent que la zone fait partie des objectifs de protection pour laquelle il faudra être vigilant si un projet d'aménagement voit le jour. Les zones de valeurs intermédiaires n'ont pas moins d'intérêt puisqu'elles peuvent être à l'interface entre des zones de haute qualité et venir les dégrader risquerait de com
INONDATION CONDITIONNELLE
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 10 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 100 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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INONDATION TEMPS DE RETOUR 2 ANS
| PolygonePar inondation, on entend le débordement d'un cours d'eau hors de son lit. Le caractère plus ou moins dangereux des inondations dépend de la hauteur d'eau et de la force du courant atteinte, ainsi que de la quantité de matériaux charriés.
La détermination des zones d'inondation se fait par rapport à la topographie. Pour certaines zones, l'apparition d'inondations dépend de conditions particulières concomitantes au déroulement de l'évènement de crue, comme: les embâcles sous les ponts et passerelles, la rupture d'un ouvrage de protection ou les courbes de remous aux points de confluence des cours d'eau ou du lac.
Les périodes de retour pour lesquelles les zones d'inondation ont été déterminées sont de 30, 100 et 300 ans et pour certains cours d'eau 2 et 10 ans. Les zones d'inondation conditionnelle sont représentatives des conditions particulières décrites ci-dessus.
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