Catalogue
Le cadastre technique du sous-sol (CTSS) a pour but de recenser et reporter l'ensemble des objets des canalisations, des constructions et des accessoires à la construction, occupant le sous-sol privé et public de facon permanente, et ne figurant ni dans le cadastre officiel, ni dans les cadastres spécifiques des services publics.
Le but du cadastre technique est donc de permettre une meilleure maîtrise du sous-sol et de renseigner utilement les requérants et professionnels sur son occupation.
Liste des objets répertoriés dans cette classe d'entités:
- Bassin
- Réservoir enterré
- Citerne
- autres
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Le cadastre technique du sous-sol (CTSS) a pour but de recenser et reporter l'ensemble des objets des canalisations, des constructions et des accessoires à la construction, occupant le sous-sol privé et public de facon permanente, et ne figurant ni dans le cadastre officiel, ni dans les cadastres spécifiques des services publics.
Le but du cadastre technique est donc de permettre une meilleure maîtrise du sous-sol et de renseigner utilement les requérants et professionnels sur son occupation.
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Le cadastre technique du sous-sol (CTSS) a pour but de recenser et reporter l'ensemble des objets des canalisations, des constructions et des accessoires à la construction, occupant le sous-sol privé et public de facon permanente, et ne figurant ni dans le cadastre officiel, ni dans les cadastres spécifiques des services publics.
Le but du cadastre technique est donc de permettre une meilleure maîtrise du sous-sol et de renseigner utilement les requérants et professionnels sur son occupation.
Recensé sur la base des annonces de forage transmises au GESDEC
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CADASTRE TECHNIQUE DU SOUS-SOL (Groupe)
| ProduitLe cadastre technique du sous-sol (CTSS) a pour but de recenser et reporter l'ensemble des objets des canalisations, des constructions et des accessoires à la construction, occupant le sous-sol privé et public de façon permanente, et ne figurant ni dans le cadastre officiel, ni dans les cadastres spécifiques des services publics.
Le but du cadastre technique est donc de permettre une meilleure maîtrise du sous-sol et de renseigner utilement les requérants et professionnels sur son occupation.
Ce groupe contient les données suivantes :
- Chauffage conduite ctss_chauffage_conduite
- Chauffage sonde ctss_chauffage_sonde
- Chauffage zone sondes ctss_chauffage_zone_sondes
- Divers conduite ctss_divers_conduite
- Divers point ctss_divers_point
- Divers_surface ctss_divers_surface
- Geotech ligne ctss_geotech_ligne
- Geotech point ctss_geotech_point
- Geotech surface ctss_geotech_surface
- Télécom tube ctss_telecom_tube
CADASTRE VITICOLE OU VIGNOBLE
| PolygoneLe cadastre viticole délimite les périmètres en dehors desquels la culture de la vigne est interdite. Il est formé de la zone viticole protégée, de la zone viticole non protégée, des vignes hors zone viticole et des vignes non destinées à la production vinicole.
La zone viticole recense les surfaces appropriées à la culture de la vigne à des fins vinicoles. La zone viticole protégée est la partie de la zone viticole destinée à l'exploitation de la vigne, à l'exclusion de toute autre culture pérenne.
On entend par vignes situées en dehors de la zone viticole, celles sur lesquelles la production vinicole à des fins commerciales a été tolérée par la Confédération avant 1999.
Un terrain peut être classé en zone viticole uniquement si son altitude, sa déclivité et son exposition, le climat local, la nature et les conditions hydrologiques du sol sont propices à la culture de la vigne.
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CADRAGE DES ANCIENNES PHOTOS AERIENNES
| PolygoneCadrages des anciennes photos aériennes couvrant les années:
1937 - 1946 - 1954 - 1957 - 1959 - 1963 - 1968 - 1969 - 1972 - 1983 - 1986 - 1991 - 1992 - 1996
Les données décrites dans cette classe d'entités sont des données VECTORIELLES (cadres). Pour obtenir les données RASTER (images), veuillez vous adresser auprès de la Direction de l'information du territoire - Mensuration officielle
Attention: certaines années sont des couvertures partielles du territoire cantonal.
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CAMPAGNES D'ETIAGE
| PointCette couche de données représente les points de mesures de débit d'étiage ou d'observations d'un débit nul, lors d'une campagne d'étiage.
L'organisme responsable de ces mesures est le Département du territoire (DT), Service de l'Ecologie de l'Eau (SECOE), Entité Dynamique de l'Eau.
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 100 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 100 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 100m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 200 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 200 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les deux-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 200m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 300 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 300 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)]. Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les trois-cents premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 300m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES 50 M
| PolygoneCAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE - SONDES DE 50 METRES DE PROFONDEUR
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne sur les cinquante premiers mètres de sol (ou pour des sondes de 50m de profondeur).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CAPACITE CALORIFIQUE MOYENNE DES TERRAINS QUATERNAIRES JUSQU'À LA MOLASSE
La capacité calorifique indique l'aptitude d'un corps (ici le sol) à emmagasiner ou restituer de la chaleur. Dans le cadre de la géothermie, on considère en général la capacité thermique volumique (C), mesurée ici en [MJ/(m3.K)].Il s'agit d'une propriété importante du sous-sol concernant le dimensionnement des champs de sondes, en vue de la mise en place d'un stockage saisonnier de chaleur. La présente représentation cartographique permet de visualiser les variations de la capacité calorifique moyenne des terrains quaternaires (jusqu'à la molasse).
Ces indications ont un caractère général et sont insuffisantes au stade d'un projet d'exécution. Elles ne sauraient en aucun cas remplacer la nécessité d'études géotechniques, le cas échéant.
De plus, ces données sont à replacer dans un contexte global de planification multi-usages du sous-sol. Ainsi pour tout projet lié au sous-sol, il conviendra de prendre en compte de nombreuses thématiques complémentaires telles que :
- la protection des nappes phréatiques (eau potable)
- l'utilisation de l'espace (ouvrages, infrastructures et réseaux divers...)
- la possibilité d'extraction de matériaux.
- le potentiel géothermique.
Rapports sur la géothermie genevoise: https://www.ge.ch/publication?titre=g%C3%A9othermie&type=All&dossier=All&organisation=All
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CARTE ALFANI/FORNAZERIS v. 1589
| RasterAvertissement : Ce plan/cette carte n'est pas géométrique. Elle est alignée au mieux sur le plan actuel, de façon indicative, mais des erreurs sont possibles.
La véritable représentation du lac de Genève et de ses alentours (Vero dissegno del lago di Geneva con i luoghi chel circondano) a été dessinée par l'artiste Domenico Alfani et gravée par Jacques Fornazeris. Cette vue à vol d'oiseau est dédiée à l'infante Catherine d'Autriche, fille de Philippe II d'Espagne et duchesse de Savoie. L'image s'inscrit dans la tradition des cartes lémaniques inaugurée par Sebastian Münster (avec une vue de petit format publiée dans sa Cosmographie en 1544) et par Johannes Stumpf (dans son atlas de la Suisse – le premier jamais édité – paru en 1548) ; cette tradition connaît un premier sommet avec la carte de Thomas Schöpf de 1578, qui sert de modèle aux cartographes de la fin du XVIe siècle et du début du XVIIe.
CARTE BLAEU/BORGONIO 1670
| RasterAvertissement : Ce plan/cette carte n'est pas géométrique. Elle est alignée au mieux sur le plan actuel, de façon indicative, mais des erreurs sont possibles.
La carte du duché de Chablais et du Léman avec les régions voisines (Ducatus Chablasius et lacus Lemanus cum regionibus adjacentibus) était destinée à l'illustration du Theatrum Statutum Sabaudie, une description richement illustrée du duché de Savoie que devait éditer l'éditeur cartographe hollandais Johannes Blaeu (1598-1673) – auteur d'une vue de Genève – mais qui parut après sa mort en 1682. La carte se singularise de ses devancières par la sobriété et la clarté de sa présentation qui augmente considérablement sa lisibilité. Les petites localités sont désormais symbolisées par un signe conventionnel et non plus par diverses figurations de bourg et châteaux. Il est ainsi possible de mettre en valeur l'hydrographie et le réseau des voies et chemins qui n'est cependant dessiné que du côté savoyard et genevois.
Auteur :
Les auteurs sont identifiés par leur signature, en bas au centre de l'image : "Th. Borgonius inv. Joannes de Broen sculp." et sur la stèle, en bas à droite, portant les échelles pour l'éditeur ("Joannes Blaeu excudit cum Privilegio Ordinum Hollandiæ et Westfrisiæ"). Johannes de Broen (1596-1673) grava donc la carte dessinée par Giovanni Tomaso Borgonio (vers 1620-vers 1691), un artiste piémontais, actif à la cour de Savoie, resté célèbre pour sa "Carta di Madama Reale" (1680). Broen et Borgonio ont collaboré ensemble à l'illustration du Theatrum Sabaudie, ouvrage édité par Joan Blaeu (1598-1673) pour lequel ils avaient aussi réalisé une carte de Savoie.
CARTE CASSINI 1756-1815
| RasterLa Carte générale de France dite "Carte de Cassini" ou "Carte de l'Académie" doit son nom à une famille d’astronomes et de géographes d’origine italienne établie en France depuis le XVIIe siècle. Elle est lancée en 1747 par Louis XV qui en confie la réalisation à César-François Cassini de Thury et la supervision à l’Académie des Sciences. Il s'agit de "mesurer le Royaume, c’est-à-dire déterminer le nombre innombrable de bourgs, villes et villages semés dans toute son étendue". La carte est réalisée par une triangulation générale du territoire français; en 1744, 3 000 points, obtenus par des observations astronomiques en coordonnées géographiques, forment un réseau à partir duquel sont réalisés les relevés de détail de la carte de France. Chaque feuille a nécessité le calcul de 300 points secondaires. Les relevés seront achevés à la veille de la Révolution française, mais les dernières cartes ne seront publiées qu'en 1815. La carte de Cassini sera notamment utilisée en 1790 pour établir le découpage des départements français.
Au XVIIIe siècle, l'actuel département français de la Haute-Savoie ne faisait pas partie du Royaume de France, mais dépendait du Royaume de Piémont-Sardaigne. Il n'est donc pas représenté sur la carte. En revanche, la plus grande partie du territoire genevois, jusqu'à la ligne de crête du Salève et des Voirons y est figurée.
Auteur :
César-François Cassini de Thury (1714-1784) et Jean-Dominique, comte de Cassini (1748-1845), qui mène à bien l'entreprise.
Sources :
Carte générale de France de Cassini dite aussi carte de l'Académie (1747-1815)
Exemplaire dit de « Marie-Antoinette » composé de 180 feuilles gravées à l'eau-forte, coloriées et entoilées, 154 feuilles au format 73 x 104 cm et 26 de format variable; échelle env. 1: 86 400 (sur la base de levés faits au 1:40 000 env.)
Paris, Bibliothèque nationale de France