Catalogue
RESEAU VIAIRE BILLON (1726-1728)
| PolygoneLa digitalisation du réseau viaire de Billon a été réalisée en deux temps.
Dans un premier temps, le réseau viaire a été obtenu par la soustraction de la couche DPS_BILLON_PARC à un polygone représentant le contour de la ville. Il en a résulté un polygone, qui constitue donc la "négation" de la couche DPS_BILLON_PARC. Ce polygone a ensuite été révisé sur base du plan Billon, afin d'inclure ou d'exclure certains éléments non repris dans le réseau viaire, mais devant y figurer. Certaines routes, allées ou passages ont donc été ajoutés ou supprimés de ce réseau viaire obtenu par négation. Les fontaines et les bâtiments en bois ont également été découpés.
Dans un deuxième temps, le réseau viaire a été étendu à l'extérieur du réseau représenté sur le plan Billon, sur le périmètre des anciennes communes Genève-Cité, Genève-Plainpalais, Genève-Eaux-Vives et Genève-Petit-Saconnex. Pour cela, différentes cartes et couches ont été utilisées : les cartes anciennes de Micheli (1718) et de Mallet (1738) ainsi que la couche du réseau viaire de Céard (DPS_CEARD_VOIRIE) et la couche des fortifications de 1728 (DPS_FORTIFICATIONS_1728). Cette dernière couche a été utilisée pour le tracé des sorties de la ville.
Concernant le réseau viaire extérieur, la présence des routes a tout d'abord pu être confirmée grâce aux plans Micheli et Mallet. Si leur tracé semblait identique à celui de l'époque de Céard, le tracé de la couche du réseau viaire de Céard a été conservé. Sinon, les cartes de Mallet et de Micheli ont été utilisées pour la vectorisation des routes.
Cette couche a été créée en 2012 par Giancarlo Ghilardi dans le cadre d'une convention de stage passée avec le département de Géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique. Elle a été révisée et complétée en 2014 par Florence Herickx, dans le cadre de la même convention de stage.
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RESEAU VIAIRE CEARD (1837-1840)
| PolygoneLa digitalisation du réseau viaire de Céard a été réalisée en deux temps.
Dans un premier temps, le réseau viaire a été obtenu par la soustraction de la couche DPS_CEARD_PARC à un polygone représentant le contour de la ville. Il en a résulté un polygone, qui constitue donc la "négation" de la couche DPS_CEARD_PARC. Ce polygone a ensuite été révisé sur base du plan Céard, afin d'inclure ou d'exclure certains éléments non repris dans le réseau viaire, mais devant y figurer. Certaines routes, allées ou passages ont donc été ajoutés ou supprimés de ce réseau viaire obtenu par négation. Les fontaines et les bâtiments en bois ont également été découpés.
Dans un deuxième temps, le réseau viaire a été étendu à l'extérieur du réseau représenté sur le plan Céard, sur le périmètre des anciennes communes Genève-Cité, Genève-Plainpalais, Genève-Eaux-Vives et Genève-Petit-Saconnex. Pour cela, différentes cartes et couches ont été utilisées : deux cartes Dufour datant de 1837-1838, l'Atlas du territoire de 1800, la couche du réseau viaire de Grange (DPS_GRANGE_VOIRIE) et la couche des fortifications de 1728 (DPS_FORTIFICATIONS_ 1728). Cette dernière couche a été utilisée pour le tracé des sorties de la ville.
Concernant le réseau viaire extérieur, la présence des routes a tout d'abord pu être confirmée grâce aux plans Dufour. Si leur tracé semblait identique à celui de l'époque de Grange, le tracé de la couche du réseau viaire de Grange a été conservé. Sinon, la carte de l'Atlas du territoire de 1800 a été utilisée pour le dessin précis des routes, son géoréférencement étant plus précis que celui des cartes Dufour.
Cette couche a été créée en 2012 par Giancarlo Ghilardi dans le cadre d'une convention de stage passée avec le département de Géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique. Elle a été révisée et complétée en 2014 par Florence Herickx, dans le cadre de la même convention de stage.
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RESEAU VIAIRE GRANGE (1896-1911)
| PolygoneLa digitalisation du réseau viaire de Grange a été réalisée en deux temps.
Dans un premier temps, le réseau viaire a été obtenu par la soustraction de la couche DPS_GRANGE_PARC à un polygone représentant le contour de la ville. Il en a résulté un polygone, qui constitue donc la "négation" de la couche DPS_GRANGE_PARC.
Ce polygone a ensuite été révisé sur base du plan Grange, afin d'inclure ou d'exclure certains éléments non repris dans le réseau viaire, mais devant y figurer. Certaines routes, allées ou passages ont donc été ajoutés ou supprimés de ce réseau viaire obtenu par négation. Les fontaines ont également été découpées.
Dans un deuxième temps, le réseau viaire a été étendu à l'extérieur du réseau représenté sur le plan Grange, sur le périmètre des anciennes communes Genève-Cité, Genève-Plainpalais, Genève-Eaux-Vives et Genève-Petit-Saconnex.
Pour cela, deux plans ont été utilisés : la carte de l'Atlas du territoire des XIXe et XXe siècles (Territoire XIX-XX) et la carte Siegfried (2e édition, 1898-1915). Le premier, permettant une correspondance assez précise avec le cadastre routier actuel, a servi de base pour le dessin précis des routes. Le second a, quant à lui, permis de confirmer la présence des différentes routes à la période de Grange, mais n'a pas été utilisé pour le dessin des routes, son géoréférencement étant moins précis que celui de l'Atlas du territoire.
Cette couche a été créée en 2012 par Giancarlo Ghilardi dans le cadre d'une convention de stage passée avec le département de Géographie de l'Université de Genève pour le Certificat complémentaire en Géomatique. Elle a été révisée et complétée en 2014 par Florence Herickx, dans le cadre de la même convention de stage.
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RESEAUX AGRO-ENVIRONNEMENTAUX (RAE)
| PolygoneUn réseau agro-environnemental (RAE / application de la législation fédérale) représente un prérimètre dans lequel les surfaces de promotion de biodiversité (Anc SCE) (SPB / surfaces proches de l'état naturel) sont disposées de manière à favoriser les déplacements des espèces. Grâce à des mesures ciblées d'exploitation, fixées en fonction du besoin des espèces, ces espaces deviennent propices au développement de la faune et de la flore.
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RESEAUX PIETONS
Consultation par géoservices | LigneInventaire des cheminements piétons communaux.
Ces chemins sont divisés en deux catégories : ceux en sites propres et ceux longeant une voie ouverte à la circulation, et sont classés selon leur état d'avancement (existant / à améliorer / à créer).
Les informations proviennent principalement des plans directeurs des chemins pour piétons, ainsi que de divers plans d'aménagement (PLQ, PDQ, PSD, etc.).
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RESERVES NATURELLES ET PLANS DE SITE
| PolygoneCouche présentant les différents sites naturels du Canton, bénéficiant d'une protection légale en faveur de la nature.
Ces périmètres ont été définis sur la base d'inventaires fédéraux et cantonaux ou encore de connaissances d'experts. Ils ont été validés par Arrêtés du Conseil d'Etat.
Cette couche répertorie les deux grands types de protections de sites naturels du Canton, précise les bases légales de référence ainsi que la date d'adoption du périmètre par Arrêté du Conseil d'Etat. Ces deux types de protections sont :
- Les réserves naturelles : définies sur la base du règlement sur la protection du paysage, des milieux naturels et de la flore (RPPMF, L 4 05.11).
- Les plans de sites : définies sur la base de la loi sur la protection des monuments, de la nature et des sites (LPMNS, L 4 05).
Ces deux types de protection présentent plusieurs différences notoires, les principales étant listées ci-dessous :
Réserve naturelle Plan de site
Base légale L 4 05.11 (art.18 à 21) L 4 05 (art.38 à 41)
Validation Arrêté du Conseil d'Etat Arrêté du Conseil d'Etat
Mention au OUI, dans tous les cas (art.6) Possibilité (at. 64)
Registre Foncier
Durée de validité Illimité Illimité
Accord du OUI, nécessité d'obtenir Non, soumis à enquête
propriétaire un accord signé. public, plan de site
opposable au propriétaire.
Document de Plan de gestion Plan(s) et éventuellement
référence règlement.
Validité du 10 à 15 ans, en principe lllimité. Toute modification
document (pas de contrainte légale) engendre une nouvelle
référence approbation par le Conseil
d'Etat.
Restrictions Toute activité proscrite (art.19) Uniquement maintenir voire
sauf les travaux agricoles et améliorer l'état du site ou
sylvicoles compatibles avec le restrictions précisées dans
but de protection. un éventuel règlement.
Dérogations Activités autorisées Aucune
dans le plan de gestion (art.20)
Les réserves naturelles situées en forêt (soit dans le cadastre forestier selon la loi cantonale sur les forêts M 5 10 ) sont également des réserves forestières, au sens de l'article 36 de la loi cantonale sur les forêts (LForêts M 5 10).
- Les réserves intégrales ou sanctuaires forestiers, où toute exploitation de bois et gestion active de milieux naturels est proscrite, seuls les chemins sont sécurisés.
- Les réserves forestières, correspondent à un mode d'exploitation en taillis sous futaie. Ce type de réserve est historique et correspond à une volonté post seconde guerre mondiale de redéfinir durablement des zones d'exploitation plus traditionnelles et optimales d'un bois de qualité. Ce type de réserve n'est aujourd'hui plus utilisé.
- Les réserves biologiques à gestion dirigée, permettent le maintien de milieux particulièrement intéressants et diversifiés. Elles visent, par des interventions plus ou moins intensives à garantir la présence en forêt de certains milieux de types prairies ou zones humides, mais aussi d'associations phytosociologiques particulièrement rares comme les pinèdes à molinie. Ce type de réserve en forêt est le plus courant sur le canton.
L'accès au public à ces sites est indiqué sur place travers d'une signalisation adaptée reprenant les règles et usages pour chaque site. (art.23; RPPMF; L 4 05.11)
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REVETEMENTS PHONOABSORBANTS
| LigneCarte comprenant les revêtements routiers phonoabsorbants posés, ou planifiés, pour les routes à assainir contre le bruit routier.
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RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
| ProduitCARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL (Groupe)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
Ce groupe contient les données suivantes :
- Perte en sol 1 tonne eil_perte_sol_1_tonne
- Perte en sol 2 tonnes eil_perte_sol_2_tonnes
- Perte en sol 4 tonnes eil_perte_sol_4_tonnes
CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (1 tonne)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (2 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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CARTE DU RISQUE DE PERTES EN SOL PAR EROSION DES SOLS CULTIVES (4 tonnes)
L'érosion des sols cultivés amène dans les eaux de surface des quantités non négligeables de phosphore, de matières organiques et de pesticides. Ces apports nuisent à la qualité des eaux et il convient de les minimiser, , par des mesures de lutte contre l'érosion.
Pour le sol, le risque de diminution de la fertilité dépend essentiellement des quantités de terre perdues par érosion et de l'épaisseur du sol (cf. carte du risque d'érosion pour les sols cultivés). Pour les eaux de surface, la menace est fonction des quantités de terre érodées, des teneurs en substances indésirables (p. ex. le phosphore ou les résidus de pesticides) et de la part de terre érodée qui arrive dans les eaux de surface.
Les cartes du risque de pertes en sol par érosion représentent pour les sols cultivés du canton de Genève (grandes cultures, vignes et herbages permanents) la probabilité (en cinq classes) que les pertes en sol dépassent un seuil prédéfini. Ces seuils ont été fixés à 1, 2 et 4 tonnes de sol par hectare et par an.
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RUCHERS
Uniquement partenaires SITG | PointLocalisation des ruchers sur le territoire genevois et informations physiques les concernant.