Les archives familiales :
Lorsque l'on entreprend une généalogie, la première démarche est de consulter ses archives familiales (livrets de famille, bibles de mariage, actes notariés, albums de photographies) qui permettent souvent de remonter les trois ou quatre premières générations.
Les généalogies imprimées et en ligne :
Il convient de s’assurer que la recherche que l’on se propose d’accomplir n’a pas déjà été faite, ne serait-ce que partiellement. Pour cela, les AEG disposent d’un répertoire dactylographié des patronymes étudiés dans les généalogies imprimées genevoises. Ce document, disponible en ligne , recense notamment les généalogies contenues dans les sept volumes des Notices généalogiques sur les familles genevoises de J.A. Galiffe, les trois volumes consacrés à Genève du Recueil généalogique suisse, les Généalogies genevoises d’A. Choisy et les Filiations protestantes d’É. Bungener.
Les généalogies manuscrites :
Un fichier consultable dans la salle de lecture de l'Ancien Arsenal recense les généalogies manuscrites déposées aux AEG, ainsi que celles de la Société d'histoire et d'archéologie de Genève, conservées au département des manuscrits de la Bibliothèque de Genève. Elles sont de qualité inégale et pas toujours très fiables.
Les noms de famille suisses :
Le recours aux trois volumes du Répertoire des noms de famille suisses est conseillé afin de s’assurer qu’un patronyme étudié est bien d’origine genevoise.
Ce répertoire contient les noms de chaque famille possédant en 1962 le droit de cité d'une commune suisse (les patronymes aujourd’hui disparus et les personnes isolées n'ont pas été retenus). Il donne les noms des communes d'origine (on peut en avoir plusieurs en Suisse, alors qu'en France par exemple, le lieu d'origine est le lieu de naissance) ainsi que l'année ou l'époque à laquelle le droit de cité a été acquis.