La couche « Visibilité de l'éclairage artificiel » représente pour chaque pixel du territoire le nombre de sources lumineuses visibles la nuit.
Ce modèle prend en compte la topographie tridimensionnelle, un paramètre de décalage vertical par rapport au sol (1 m) et un rayon d'analyse (250 m), représentant le rayon pour lequel la lumière est considérée comme potentiellement impactante pour la faune terrestre.
Les données de base utilisées pour aboutir à ce résultat sont : images satellites jilin-1 (2021) à partir de laquelle sont obtenues les sources lumineuses, les modèles numériques de surface et de terrain de l'agglomération (2019) ainsi que les données d'éclairage public de la ville de Genève (SIG).
Cette donnée est la base de la couche dérivée « Continuum nocturne » (FFP_CONTINUUM_NOCTURNE).
Cette donnée est issue d'un travail réalisé par la Haute Ecole du Paysage, d'Ingénierie et d'Architecture de Genève (HEPIA) à l'institut de recherche Terre-Nature-Environnement (InTNE).
Il fait suite au travail de référence publié en collaboration avec l'Université de Genève et l'Office cantonale de l'agriculture et de la nature:
https://doi.org/10.1016/j.rsase.2019.100268Auteurs de la donnée : Laurent Huber, Jessica Ranzoni sous la supervision de Claude Fischer / HEPIA